DCB/DBC Mobile beta
+

Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

              61 à 80 (de 650)
              1...2  3  4  5  6  ...33
               
              rôle des femmes dans la classe commerçante de l’époque. Sa connaissance des affaires et la poursuite du commerce de son mari, qu’elle assuma après la mort de ce dernier, en sont des caractéristiques. Si
              ferme, tâches typiques des femmes esclaves en Nouvelle-Écosse et au Nouveau-Brunswick [V. Lydia
              caressait ses enfants, qui travaillait et se fatiguait pour eux, tout en étant, à l’instar de sa femme, d’une grande charité envers les pauvres, « surtout les veuves et les orphelins dont il avait
              Canada. L’année suivante, sa femme et ses autres enfants furent emprisonnés par les rebelles, et Butler ne les revit que grâce à un échange de prisonniers en 1780. À Montréal, Johnson proposa au gouverneur
               
              charmant, au monde, que celui-ci, terre des châteaux princiers de France et des Très riches heures du duc de Berry, mais Cadet et sa femme, deux Canadiens exilés, d’un certain âge, avaient la
              -France. De sa femme légitime Sarah Stevenson, Christie eut un fils, Napier, et deux filles : Catherine, née le 15 janvier 1772, et
              , important poste administratif et judiciaire dans le gouvernement local. Il établit alors sa demeure dans la spacieuse résidence de sa femme à La Nouvelle-Orléans, tenue par huit esclaves
               
              accorda l’autorisation de ramener sa famille de France en Angleterre (il avait épousé, en 1755, une femme issue d’une famille bordelaise) et lui assura une pension annuelle de £200, augmentée de £50 l’année
              , en femme prudente qui a bien failli tout perdre, elle met aussi ses conditions : ses filles et elle seront dispensées de l’enseignement et fermeront l’école que les frères hospitaliers tenaient
               
              Abénaquis en octobre 1759 ; mais sa femme et ses deux enfants furent emmenés en captivité, et seul Antoine survécut. Après la Conquête, Gill fut, en plusieurs circonstances, le porte-parole de la tribu
               
              pas s’aventurer par le chemin du roi, semé d’éclaireurs, et suggère de passer par les bois de Sainte-Marguerite et la région des forges du Saint-Maurice. Mais il dépêche en même temps sa femme auprès du
              existence la décrit comme une jeune femme en 1791) sont contradictoires. L’afflux de loyalistes noirs, tel Boston King*, dans les Maritimes à la suite
              canadiennes en opposition avec celui des femmes des colonies anglaises « qui se sont donné de fait la liberté de rejeter tout le fardeau des travaux domestiques sur leurs maris ». Dans ses manuscrits
              dernière femme de Brant », affirma « avoir appris, il y a de cela bien des années, de vieillards agniers, que la mère de Brant était une fille du vieux King Hendrick ». Charlotte, petite
              hommes et capturant les femmes et les enfants. Mikak fut conduite à la baie des Châteaux avec les autres prisonniers et elle passa l’hiver au fortin. Son intelligence manifeste attira l’attention du
              missionnaires et les communautés de femmes – mais non point les jésuites, récollets et sulpiciens. L’expérience de Murray, pendant la guerre, ne l’avait nullement prédisposé en faveur du clergé. Il voyait en lui
               
              prospérait à Kingston. En 1788, lui et sa femme avaient déjà reçu 700 acres du gouvernement. Ses propriétés comprenaient des lots de choix sur le lac Ontario et d’autres sur les deux rives de la rivière
              tâches de domestique. En 1786, alors que les travaux sur sa propriété se poursuivaient, Jones partit une fois de plus vers le sud pour emmener sa femme et son fils
               
              l’affirmation de Hearne qu’il menait une vie de débauche, entretenant cinq ou six des plus belles filles indigènes pour ses plaisirs et empoisonnant sans hésiter tout homme qui lui refusait sa femme ou sa fille
              OSBORN, ELIZABETH (Myrick ; Paine ; Doane), sage-femme, née en 1715, probablement à Sandwich, Massachusetts, fille de
              61 à 80 (de 650)
              1...2  3  4  5  6  ...33