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français en Amérique du Nord. Elle témoigne du talent de dessinateur de son auteur. Bien que ne portant ni date ni signature, elle a évidemment été établie après la carte « Jolliet » de 1674, mais
 
 août 1757 à Québec, fils de Jean Taché* et de Marie-Anne Jolliet de Mingan ; le 25 septembre 1785, il épousa à Kamouraska
 
bâtiments suivants : (1) En 1683, Baillif s’engageait par contrat à construire une maison pour Louis Jolliet dans la basse ville. Comme il était alors
 
le 1er mai 1709 à Québec, deuxième fils de Joseph de Fleury* de La Gorgendière et de Claire Jolliet
(Thwaites).— Campbell, Pioneer priests, I : 119, 121, 147–164.— Delanglez, Jolliet.— Gilbert J. Garraghan, The Jesuits of the middle United States (3 vol., New
 
noces à Saint-Pierre, dans l’île d’Orléans, le 30 janvier 1764, Claire Jolliette, veuve de François Volant de Chamblain, capitaine de navire
 
Jolliette ; le 11 janvier 1790, il épousa à Saint-Jean-Port-Joli, Québec, Catherine Gaspé, fille d’Ignace-Philippe Aubert
 
MONTIGNY, FRANÇOIS DE (appelé parfois, mais à tort, François Jolliet de Montigny), prêtre, curé, grand vicaire
composant la biographie de deux personnages du xviie siècle, l’explorateur canadien Louis Jolliet* et le
Outaouais en 1660, soit Jean-François Pouteret de Bellecourt, dit Colombier ; Adrien, frère aîné de Louis Jolliet
, Canada’s first engineer : Jean Bourdon 1601–1668, CCHA Report, 1956–57 : 87–104.— Delanglez, Jolliet, 245–262.— Éloge de la famille Bourdon (Lettre
 
, petite-fille de Louis Hébert* et belle-sœur de Louis Jolliet*, et ils eurent deux fils
 
placements. Celui-ci avait fait l’acquisition de la seigneurie Jolliet, dans la Beauce, en 1837. Quant à ses lieux de résidence, ils comptèrent parmi les plus prestigieux à Québec. Vers la fin des années 1830
 
Dablon* et Druillettes* dans leur expédition vers la baie d’Hudson en 1661 (V. Jean Delanglez, Life and voyages of Louis Jolliet
Fleury* de La Gorgendière et de Claire Jolliet, qui avait su lui plaire. Il revient à Québec en 1732, à bord du Rubis, et se marie l’année suivante, le 2 mai, à Québec. Le
 
Jolliet* et fonde au retour une mission (Saint-François-Xavier) à Nemiskau, à mi-chemin entre la baie James et le grand lac Mistassini. En 1684
 
de La Richardière. Il se peut que durant les années 1690 il ait appris à naviguer et à piloter avec Louis Jolliet* et peut-être plus tard
rencontre décisive. Le frère de Louis Jolliet, Adrien, s’y trouve depuis la veille, de retour d’une mission aux Grands
Taché*, commerçant de Paris, s’était établi à Québec en 1730. Il y était devenu un des principaux négociants de la colonie et le principal armateur du port de Québec. Son mariage à Marie-Anne Jolliet
 
Jolliet* avaient établi des postes de traite aux confins du territoire inuit entre le détroit de Belle-Isle et Mingan. Leur but était même de nouer des relations amicales avec ce peuple et de le faire
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