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’ « Albyn » et de « The Bard of Ellenvale ». Son ouvrage intitulé The witch of the Westcot ; a tale of Nova-Scotia, in three cantos est plus ambitieux : c’est un
description de la vie rurale ontarienne dans Judith Moore, trouva à redire contre A daughter of witches […] (Toronto, 1900) parce que ce roman se passait aux États-Unis et émit l’avis que le
 
, à l’ouest du lac Winnipegosis. Cocking hiverna au lac Witch (peut-être le lac Good Spirit, Saskatchewan). Aucunement effrayé, il décrivit ce nouveau pays dans son journal et s’efforça d’attacher à la
grâce aux trois saynètes de Hilda Mary Hooke, The witch-house at Baldoon, Widows’ scarlet et More things in heaven, publiées dans son ouvrage One act plays from Canadian history
également deux pièces de théâtre poétiques sur des thèmes bibliques : The witch of Endor, en 1916, dédiée à Blackburn, et The man of Kerioth, en 1919, où Norwood explique pourquoi Judas
l’agence du lac Crooked, et son père Qui-witch. Le livre d’Amelia Anne McLean Paget, The people of the plains, est remarquable. Il se distingue
débrouilla bien, avec déférence et fermeté. Son statut lui assurait aussi des invitations aux adresses anglaises les plus huppées (elle se lia d’amitié avec la future femme politique Nancy Witcher Langhorne
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