postes. Boucherville informa immédiatement le nouveau premier ministre du pays, sir John Sparrow David Thompson*, qu’il refuserait
lieutenant-gouverneur David Laird pour les Métis et les Amérindiens. Il estimait urgent de renforcer la Police à cheval
d’accorder 130 000 $ à son beau-frère David Alexander Dunlap pour régler un différend sur une concession minière à Cobalt. Aux élections de juin 1908, Cochrane fut joliment récompensé de sa
le gouvernement du Canada, Decorby tenta d’aider les Métis de la région de la Qu’Appelle à obtenir des garanties sur des terres et d’autres droits. Il écrivit à Taché et à David
indiennes et de devenir en plus lieutenant-gouverneur des Territoires du Nord-Ouest à l’expiration du mandat de David Laird
FORGET, sir RODOLPHE (baptisé Joseph-David-Rodolphe), homme d’affaires, homme
-Écosse, fils de David Graham et de Mary Elizabeth Bigelow ; le 16 juin 1875, il épousa à Cornwallis, Nouvelle-Écosse, Annie M. Lyons (décédée en 1926), et ils eurent deux filles et un
cession, on n’avait pas mentionné que H’damani portait le titre de chef. Ainsi finit la petite réserve. L’année suivante, le commissaire aux Affaires indiennes, David
LAIRD, DAVID, rédacteur en chef et éditeur d’un journal, homme politique et fonctionnaire, né le 12 mars
droits et intérêts des clients avec une clarté et une précision remarquables. Un autre membre du conseil d’administration de la Canadian Northern Railway Company, David Blythe
disponible, ni sir Richard John Cartwright, impopulaire auprès des Canadiens français et des manufacturiers, ni David Mills*, qui manquait de cran. Sans
.
Lorsque le gouvernement du Canada négocia le traité no 7 avec les tribus pieds-noirs en 1877, le lieutenant-gouverneur David
Macdonald, John MacDonald* of Glenaladale, catholique, fut le dernier d’une lignée de lairds écossais à porter le titre de Glenaladale
directement au commissaire des Affaires indiennes David Laird pour obtenir son appui. En partie à cause de ces ripostes
Laird*, et Lillian Frances Massey accepta de financer la construction d’un édifice. Mis en chantier en 1908 et ouvert en 1913, il était considéré comme la meilleure installation du continent et
Affaires indiennes, David Laird, exposa les conditions de traité offertes par le gouvernement et souligna que, loin
d’accompagner le commissaire des Affaires indiennes David Laird et James Hamilton
Parlement, des parents qui soutenaient tout l’éventail possible des positions sur ces questions. Ainsi, une de ses sœurs était mariée à David
*, le ministre de l’Intérieur, et de Francis (Frank) Pedley, le surintendant général adjoint des Affaires indiennes. David
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