HAYS, CHARLES MELVILLE, administrateur ferroviaire, né le 16 mai 1856 à Rock Island, Illinois ; le 13 octobre
Hay et l’homme d’affaires, homme politique et socialiste fabien Warren Franklin Hatheway*, tous deux membres de la
. S. Spencer, secretary-treasurer’s records and letter-books.— By grace co-workers : building the Anglican diocese of Toronto, 1780–1989, A. L. Hayes, édit. (Toronto, 1989
une certaine négligence dans sa comptabilité personnelle, servirent d’arguments dans la lutte de pouvoir entre Powderly et John W. Hayes. La victoire de ce dernier mit fin à l’opportunisme de
Hays] – même à l’époque où la Banque de commerce finançait le Canadian Northern – et de celui de la Dominion Iron and Steel Company Limited de Sydney, en Nouvelle-Écosse [V
rise of the high school in nineteenth-century Ontario (Montréal et Kingston, Ontario, 1990).— A. L. Hayes, « The struggle for the rights of the laity in the diocese of
(Morgan ; 1898 et 1912).— A. [K.] Carr, « From William Hay to Burke, Horwood & White : a case history in Canadian architectural draughting style », Soc. for the Study
Hay [V. William Losee*]. Il prononça souvent des conférences sur la fédération universitaire et le méthodisme dans le centre du Canada, ce qui
Falconer : a biography (Toronto, 1988).— A. L. Hayes, « The struggle for the rights of the laity in the diocese of Toronto, 1850–1879 », Canadian Church Hist. Soc., Journal
Hays]. Il était aussi devenu un partisan déclaré de la réciprocité. Au moins à compter de 1903, il ne cessa pas, dans des discours et des entrevues, d’exposer les « nouvelles tendances du
Hays, qui déployait son système dans l’Est du pays. En 1903, Laurier fit quasi complètement sien ce grand projet, comme s’il désirait que son nom fût associé à une entreprise précise à
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