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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              7 décembre 1858 à Pointe-Lévy (Lévis, Québec), fils de Léon Roy et de Marguerite Lavoie ; le 26 mai 1885, il épousa à Lévis Lucienne Carrier, et ils n’eurent pas d’enfants
              de caisses populaires, né le 5 novembre 1854 à Lévis, Bas-Canada, fils de François Roy, dit Desjardins, et de Clarisse Miville, dit Deschênes ; le 2 septembre 1879, il épousa à
              fut chargé de la cure de Notre-Dame-de-la-Victoire, à Lévis. Trois événements marquèrent plus spécialement son séjour dans cette paroisse. C’est grâce à lui qu’en 1886 fut confiée aux Frères maristes la
              Denaston Breakey et de Theresa Murray ; le 5 novembre 1867, il épousa à Lévis, Québec, Helen Anderson, demi-sœur du révérend Duncan Anderson, et ils eurent quatre fils et cinq filles ; décédé le 26
              Édouard-Gaston Deville* et Otto Julius Klotz* un « levé spécial » le
               
              le 11 décembre. En mars 1915, il était établi à Lauzon (Lévis) et se disait manufacturier. Il joignit alors les rangs du détachement de Québec du 41e bataillon commandé par le
               
              Martigny fait ses études classiques au collège de Lévis de 1881 à 1885 et les poursuit au collège Sainte-Marie, à Montréal, en 1885–1886. Il fréquente ensuite la faculté de médecine de l’université Laval à
               
              qu’il entreprend au collège de Lévis (1866–1869) et poursuit au petit séminaire de Québec (1869–1875). Brousseau laisse dans cet dernier établissement le souvenir d’un élève effacé, un peu paysan, mais
              venait faire des levés préliminaires sur le littoral ouest. Tout naturellement, on décida de faire une étude géographique et topographique de Terre-Neuve ; Murray en devint le premier directeur en
               
              Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique qui partait de Skagway, en Alaska. Le Sophia leva l’ancre le 23 octobre. Le lendemain matin, au cours d’une tempête, il échoua sur le récif Vanderbilt
              électorales comme député de Lévis à l’Assemblée législative de 1898 à 1901. Vient alors pour Langelier la récompense politique, qui le déçoit cependant. Il
              tout nouveau collège de Lévis. Il n’y reste que deux ans. De 1857 à 1866, il fait ses études classiques au petit séminaire de Québec. D’un tempérament bouillant, il s’enrôle en 1862 dans le Corps des
               
              (Lévis, Québec, 1905).— Benjamin Sulte, Histoire de la milice canadienne française, 1760–1897 (Montréal, 1897).
              lève pas. Quant aux attaques personnelles (sa marque de commerce), on en trouve un exemple dans un couplet de The gull decoy, chanson qu’il
              de son ami Bernard P. McEnaney, qui n’avait pu faire le voyage pour cause de maladie. James F. Whitson, chef adjoint des levés provinciaux, rapporta : « on peut apercevoir des
               
               ; journal de Placide Vigneau [...] (Lévis, Québec, 1969).
              l’association que le cabinet britannique avait exprimé des doutes quant à la capacité de la population japonaise de la Colombie-Britannique de lever et de maintenir un bataillon complet, c’est-à-dire 1 000
               
              transport, il se montra visionnaire lorsqu’il proposa, le 19 mars 1886, la construction d’un pont-levis pour relier l’île Madame, où se trouvait Arichat, au Cap-Breton. Le projet ne se réalisa
              défense de leur collègue George Irvine*, accusé de manoœuvres frauduleuses liées à la vente du chemin à lisses de Lévis à Kennebec, il se rangea de
              a accepté de lever l’excommunication qui pesait sur lui, mais sa famille continue d’en subir les effets. Au dire d’Aristide Filiatreault, les autorités du petit séminaire ne l’auraient inscrit comme
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