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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              ., Lévis, Québec, 1933), 4 : 170–172 ; les Juges de la prov de Québec.— Rumilly, Hist. de la prov. de Québec, 2 ; 5–8.— I. T. Saywell, The
               
              Abraham : « Lève-toi, par cours le pays dans sa longueur et dans sa largeur, car je te le donnerai » et « je l’ai choisi, afin qu’il ordonne à ses fils et à sa maison après lui de garder
              ), 8 nov., 6 déc. 1895, 6 mars, 1er mai 1896, 16 juill. 1897, 1er mars 1901.— Le Soleil, 24 juill. 1912.— Annuaire, Québec et Lévis, 1900–1902.— Jules
              BEEMER, SARA GALBRAITH (Calder), philanthrope, née le 19 août 1846 à Hamilton, Haut-Canada, fille de Levi Beemer, horloger bijoutier
              amassa des spécimens. La richesse des données qu’il recueillit est d’autant plus remarquable que, souvent, il voyageait sans cartes et devait faire les levés topographiques au fur et à mesure. On estime
               
              . J. H. Richardson et al., Quebec City : architects, artisans and builders (Ottawa, 1984), 101.— A.-B. Routhier, Québec et Lévis à l’aurore du XXe
              . Eh bien, nous avons prié pour que cet obstacle soit levé, et Dieu a bien voulu exaucer nos prières encore une fois : peu après, l’évêque [Alexander Neil
              solliciteur général. En outre, il fit une place aux jeunes opportunistes impatients du groupe de Joseph-Adolphe Chapleau* en nommant Levi
               
              de ce que pouvait être l’existence d’un homme instruit qui devait s’astreindre à un dur travail manuel pour gagner sa vie. Pendant la saison de pêche, Boyle se levait régulièrement à trois heures du
              Denaston Breakey et de Theresa Murray ; le 5 novembre 1867, il épousa à Lévis, Québec, Helen Anderson, demi-sœur du révérend Duncan Anderson, et ils eurent quatre fils et cinq filles ; décédé le 26
               major Philippe-Auguste Piuze crut pouvoir aider à combler ce besoin en levant lui-même un bataillon dans un territoire qu’il connaissait bien pour y avoir vécu et travaillé, le Bas-Saint-Laurent et la
               
              (Lévis, Québec, 1905).— Benjamin Sulte, Histoire de la milice canadienne française, 1760–1897 (Montréal, 1897).
               
              qu’il entreprend au collège de Lévis (1866–1869) et poursuit au petit séminaire de Québec (1869–1875). Brousseau laisse dans cet dernier établissement le souvenir d’un élève effacé, un peu paysan, mais
               
              . Amable Bélanger fait son apprentissage dans une importante fonderie de Lévis dirigée par la société D. Laîné et Compagnie [V. Charles William
              Brandon au 79th Infantry Battalion du Corps expéditionnaire canadien et l’autorisa à lever sa propre compagnie. Après avoir trouvé des hommes pour le 79th, Campbell demanda la permission de former son
              de Lévis ; en 1865, à la suite de la mort prématurée de son unique frère, Robert, destiné aux affaires, son père l’inscrit au « cours commercial » donné dans cet établissement, où il se
              au parti gouvernemental, il était en position d’influencer Macdonald et ses ministres – ou à tout le moins de les embarrasser. Le 20 mai 1872, il se leva aux Communes et proposa que
              , et déjà, en 1868, il avait une solide réputation d’arpenteur et d’agent immobilier ; il exécutait notamment des levés pour le Prince Edward Island Railway. Il ferait plus tard partie du comité
              lui apprit l’art du spectacle de force. Il donna, grâce à lui, sa première démonstration dans la métropole au Mechanics Hall. Il leva 450 livres d’un seul doigt et effectua un soulevé dorsal à l’aide
              de caisses populaires, né le 5 novembre 1854 à Lévis, Bas-Canada, fils de François Roy, dit Desjardins, et de Clarisse Miville, dit Deschênes ; le 2 septembre 1879, il épousa à
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