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Byron Fairchild
Les principales collections des papiers Pepperrell sont conservées à la Harvard College Library, à la New England
College de Guelph. S’il était retourné à la ferme à l’issue de sa formation, il aurait eu peu de chances d’assurer son autonomie, car son père, au début de la quarantaine, ne comptait probablement pas
envoyaient leurs enfants étudier en Angleterre. Joseph, lui, fréquenta une grammar school de l’Île-du-Prince-Édouard, le Prince of Wales College. Quand il avait dix ans, son père l’emmena à bord du
parus, Montréal, 1941– ), 8 : 299–302.— Maurault, le Collège de Montréal (Dansereau ; 1967) ; Nos messieurs (Montréal, [1936]), 101–121.— Meilleur, Mémorial
College dans la même ville. En 1885, il commença un apprentissage dans le bureau d’architectes Mawson and Mawson, qui appartenait à ses oncles et avait succédé au cabinet réputé Lockwood and Mawson. Après
College, puis à la Model Grammar School. Résolu à être soldat, il s’inscrivit à la School of Military Instruction de Kingston et obtint un certificat de deuxième classe le 25 avril 1865, puis de première
hockey et portait un intérêt à peine moins vif au rugby. Il fréquenta la Hillcroft Academy de Kingston, puis fut admis au Queen’s College en 1902 et étudia l’économie, l’anglais et la philosophie. Son
Londres et devint fellow du Royal College of Surgeons, et on annonça son affectation à son premier navire à Deptford (Londres). Pendant les guerres napoléoniennes, de 1806 à 1814, il fut en service en mer
Ottawa en 1877, lorsque John William Frederick accepta les postes d’organiste et de maître de chapelle à la cathédrale Christ Church et de directeur musical à l’Ottawa Ladies’ College. Il relança l’Ottawa
une ferme du canton de Boston, près d’Akron. Il fit ses études dans des écoles de la région, puis, vers 1855, fréquenta un moment le Western Reserve College de Cleveland, après quoi il enseigna. Au
. Sans doute obtint-il beaucoup d’aide, sur le plan éditorial, de son secrétaire, Nathaniel Potter, un diplômé du College of New Jersey (Princeton University), qu’il avait rencontré peu avant de quitter
College. En trois ans, il décrocha trois licences – en arts (1921), en lettres (1921) et en droit civil (1922) –, de même qu’un diplôme en économie avec distinction (1921). Dans la thèse de son deuxième
Laval. À l’automne de 1872, il entreprend des études commerciales au collège de Lévis ; l’année suivante, il se réoriente vers des études classiques au petit séminaire de Québec. En 1881, il entre au
les sulpiciens, après quoi il alla au collège Sainte-Marie, ouvert peu de temps auparavant par les jésuites. Pendant toutes ses études, il fut membre actif de diverses associations religieuses et
Willcocks, avec qui il partageait sa chambre, et il devint, au dire de Parkinson, « un élève accompli ». Il fréquenta le St John’s College à Cambridge pendant six mois en 1751, mais
pas de diplôme (ou l’ayant perdu), les examinateurs l’obligent à retourner aux études, ce qui l’amène à s’inscrire au Harvard College, de Boston, à l’automne de 1788. Il y étudie la médecine avec
Il existe des portraits de sir Charles Saunders peints par sir Joshua Reynolds et Richard Brompton ; celui de Brompton se trouve au Painted Hall du Greenwich Naval College, Londres
des honneurs. En 1879, il fut élu membre de la Dominion Law Society (il tint un cabinet d’avocat à Ottawa durant toute sa carrière politique dans cette ville) et, en 1889, le collège d’Ottawa lui
construit le McGill College [V. François Desrivières]. Sept ans plus tard, il fut l’un des principaux
évocatrice. On l’a trouvée avec « le crâne et la chevelure de Nancy, Béothuk Peau-Rouge de sexe féminin », dans la boîte de fer-blanc qui fut expédiée en novembre 1830 au Royal College of Physicians