travaillait comme meunier. Selon les archives du Royal College of Dental Surgeons of Ontario [V. Barnabas W. Day*], elle reçut « une bonne
Joseph put entrer en 1897 au University College de la University of Toronto. En 1901, après avoir étudié les humanités, l’anglais et l’histoire, participé à la vie étudiante et été rédacteur en chef du
*, put faire, à titre de boursier, des études classiques régulières au collège de Saint-Hyacinthe. De 1821 à 1829, il parcourut le cycle des classes, toujours le premier parmi ses camarades, succès
avoir enseigné un moment dans le comté de Brant, il entra au Royal Military College of Canada à Kingston pour étudier le génie civil. Diplômé en 1883 et médaillé de bronze dans une promotion de 23 cadets
Association en 1867. Plus tard, cette association devint l’Ontario College of Pharmacy dont Lyman fut le président pendant plusieurs années, à partir de 1873. Il fut aussi, en 1868, l’un des fondateurs du
College de Toronto, où il se fit remarquer par son application et son excentricité. Son parent Robert Peter MacKay, futur secrétaire du Foreign Missions Committee de l’Église presbytérienne au Canada
le mois d’août 1786 et fut agrégé le 21 octobre 1788. En septembre 1789, Jean-Baptiste Curatteau* quittait le collège Saint
secrétaire-receveur de l’Upper Canada Clergy Corporation qui gérait la location des « réserves » du clergé. Au cours de la même année, il devint secrétaire-archiviste à King’s College, institué en
établissement et au Huron College de London, dans les environs. Il fut fait diacre par l’évêque Isaac Hellmuth* à la cathédrale St Paul de London
en restant fonctionnaire. De 1860 à 1864, il fut greffier de la session à titre temporaire ; en 1862, il délaissa cet emploi pour fréquenter le Morrin College à Québec. Il agit à titre de
d’études à Édimbourg mais subit un échec aux examens du Royal College of Surgeons. Il n’avait pu, en fait, compléter le programme d’études et la période d’internat requis pour l’obtention d’un diplôme
carrière dans l’éducation. En 1862, il devint professeur de philosophie intellectuelle et morale au Queen’s College de Kingston, dans le Haut-Canada. En 1872, il se laissa attirer au McGill College de
Confédération des colonies d’Amérique du Nord britannique. De retour en Ontario en 1869, il fut deux ans professeur de mathématiques à l’Upper Canada College. De plus en plus renommé pour l’originalité de ses
. Probablement en 1864, il fait paraître à Montréal un Nouveau cours de langue anglaise selon la méthode d’Ollendorff à l’usage des écoles, académies, pensionnats et collèges, qui connaîtra plusieurs
Dalhousie College. Il interrompit ses études de 1843 à 1846 pour devenir le premier rédacteur en chef de l’Eastern Chronicle, publié à Pictou à cette époque. En 1846, il partit pour Édimbourg où
Penhallow appartenait à une vénérable famille de Portsmouth, dans le New Hampshire. En 1873, il obtint une licence ès sciences du Massachusetts Agricultural College d’Amherst. C’est dans ce collège que son
règles du collège et de ses règles personnelles (assiduité à la prière, constance dans l’effort), il cherche comment se dépasser. Sa quête spirituelle s’inscrit dans la vie quotidienne, à l’étude comme à
nouvelle fonction de régisseur à l’Ontario Agricultural College and Experimental Farm de Guelph [V. William Johnston*]. Comme il
-Joseph Richer fréquente l’école de la mission de Sabrevois, puis commence ses études en médecine en 1888 à la faculté de médecine du Bishop’s College, à Montréal. Diplômé en 1892, il fait un stage à la New
devint finalement l’un des fondateurs du Queen’s College à Kingston et, en 1840, il se rendit en Écosse avec le révérend John Cook*, de Québec, afin