pour enseigner au collège ou à l’université, mais aucun poste n’était libre à ce moment au Nouveau-Brunswick. Ainsi, en janvier 1897, il accepta le poste de directeur de la Chatham Grammar School, de
étudier non loin de là, à l’Upper Canada College, à Toronto. Sa mère lui offrit, en cadeau de départ, un guide de méditation quotidienne écrit par Eleanor Plumptre et intitulé The words of the Son of
vieillards, et le lazaret de Tracadie, N.-B., pour le soin des lépreux.
Le 21 juin 1852, sœur Mance fonda, dans l’ancien collège baptiste
, était curé à Carbonear. L’année suivante, il entra dans l’Ordre des franciscains et s’inscrivit au collège San Isidoro à Rome où il reçut les ordres en 1849. Il repartit alors pour Terre-Neuve où il fut
Québec le 23 mai 1744.
Jean-Pierre Daniélou entra au noviciat des jésuites, à Paris, en 1713. Il enseigna les humanités au collège des jésuites
. De 1855 à 1862, Dansereau fait ses études classiques au collège de L’Assomption où il a Wilfrid Laurier comme
l’église Holy Trinity à Toronto, Frank Darling étudia à l’Upper Canada College de Toronto et à la Trinity College School Weston (Toronto). En 1866, après avoir été un moment caissier dans une banque, il
fut directeur intérimaire du McGill College de 1853 à 1855 et chancelier de l’université de 1864 à 1884. Avec l’aide de Christopher
Demers depuis l’époque de la Nouvelle-France, le jeune Louis-Joseph entreprit des études commerciales au collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière en 1867 et les termina au collège de Lévis en 1873. C’est en
24 juillet 1880 à Belleville, Ont.
Abraham Diamond, méthodiste wesleyen, d’ascendance loyaliste, reçut son diplôme de Victoria College de
, fit son noviciat au collège de Verdun de 1594 à 1596 et mourut à Saint-Sauveur (près d’Ellsworth, Maine), le 3 juillet 1613.
Il vécut
.
Après avoir fréquenté le petit séminaire de Sainte-Thérèse puis le séminaire de Saint-Hyacinthe, où il est entré en 1850, Joseph Duhamel termine ses études classiques au collège Sainte-Marie, à Montréal
au Canada en 1835 et vécut à Niagara (Niagara-on-the-Lake) jusqu’en 1841. Le jeune Henry ne fréquenta pas l’école ; c’est son père, titulaire d’une médaille d’or de Trinity College, à Dublin
en 1846 et s’établit à Montréal, où Charles Esplin père devint manufacturier. Après avoir fréquenté une école privée de la ville, Charles Esplin fils étudia le génie au McGill College. Il servit peut
activement, aussi, à des entreprises religieuses et philanthropiques. Plusieurs fois porté à la présidence de la Société Saint-André de Montréal, il joua également un rôle de premier plan au McGill College, à
la région de Moidart, en Écosse, après avoir fréquenté l’école élémentaire de son district natal. En janvier 1794, il entreprit ses études théologiques au Royal Scots College de Valladolid, en Espagne
-fondateur » du collège Saint-Joseph de Memramcook, Revue Canadienne, nouv. sér., XVI (1915) : 481–495.— Édouard Lefebvre de Bellefeuille, Les lépreux de Tracadie, Revue Canadienne
bienfaiteur l’abbé Joseph Signay*, alors curé de Sainte-Marie-de-Monnoir (Marieville), qui l’envoya parfaire ses études au collège de Montréal en 1810
députés au premier parlement du Bas-Canada, [1792–1796] [...] (Montréal, 1946), 67.— J.-A.-I. Douville, Histoire du collège-séminaire de Nicolet, 1803–1903, avec les listes complètes
fréquenta la Model Grammar School et l’Upper Canada College dans sa ville natale. En 1879, à l’âge de 18 ans, il devint commis subalterne dans l’entreprise familiale. Seulement trois ans plus tard, sa