.
On connaît peu de chose sur la jeunesse de Louis-Élie Geoffrion. Il fait ses études au collège industriel de Varennes, puis fréquenterait une high school à New Haven, au Connecticut. En 1869
Institute.
Harvard College Library, Harvard University (Cambridge, Mass.), ms Sparks 4, Governor Bernard’s official
jeunesse de Pierre Gibault ; il fréquenta probablement le collège des jésuites à Québec. En 1759, il se rendit à Detroit et à Michillimakinac (Mackinaw City, Michigan), peut-être comme engagé d’une
d’excellentes études, d’abord au petit séminaire de Québec de 1765 à 1771, puis à Paris au collège jésuite Louis-le-Grand, où il fit ses humanités. Il fréquenta ensuite l’University of Oxford, en Angleterre, et
destinés aux collèges. En définitive cependant, ce fut grâce à des airs patriotiques, dont il avait le plus souvent écrit aussi les paroles, qu’il connut une renommée nationale. En 1897, il lança le Pays
prétendirent qu’en déplaçant de Mimico à Guelph, en 1873, le lieu choisi pour construire une école d’agriculture (le futur Ontario Agricultural College), on cherchait à mieux faire accepter son départ du cabinet
filles au collège commercial. En 1894, il vendit une partie de son ranch à Thomas Underwood, entrepreneur de construction de Calgary et mari de sa deuxième fille, Kate. Quatre ans plus tard, sa fille aînée
.
On trouve dans le Painted Hall du Royal Naval College de Greenwich un portrait de Graydon, œuvre de Kneller.
Michael
conseil d’administration du Wesleyan Female College de Hamilton.
Lorsque Gurney arriva à Hamilton, la population était inférieure à 3 500 âmes et, à
passa l’hiver de 1791–1792 au College of New Jersey, à Princeton, pour apprendre l’anglais ; son frère Étienne* fréquenta le même établissement
School, dans le Surrey, à la University of St Andrews et au University College d’Oxford, et avait obtenu de la University of Oxford, en 1871, une licence en histoire moderne et en droit. En digne héritier
College de Bristol. Il commença à voyager dès son jeune âge et vit notamment les Rocheuses, le Turkestan chinois et la Sibérie. Selon une notice nécrologique, c’est « afin de rendre ses voyages plus
Madras College de St Andrews, Hargrave devint un jeune homme généreux, honnête et méthodique. Il termina ses études d’arpenteur en 1859 et revint en Amérique du Nord britannique l’année suivante à titre
collège-séminaire de Nicolet, 1 : 405–409 ; 2.— Claude Lessard, le Séminaire de Nicolet, 1803–1969 (Trois-Rivières, Québec, 1980).— Lucien Brault, « Charles Harper, maître
compagnie et, par conséquent, aux tentatives de celle-ci visant à mettre la concession en valeur. John, le plus jeune, était diplômé du College of New Jersey où il avait reçu sa licence ès lettres en 1763
.
Hayman passa sa jeunesse à Tomes, dans le Devonshire, où son père, un marchand, était très en vue. En 1590, il terminait ses études secondaires à l’Exeter College d’Oxford ; en juillet 1596, on lui
resta pendant quatre ans. En 1694, il s’inscrivit au collège des Jésuites de Clermont, à Paris, afin d’y étudier la théologie et, en 1700, il alla poursuivre ses études au noviciat des Jésuites à Quimper
ouvrages importants, dont le manège militaire de Halifax, achevé en 1899, et le Nova Scotia Technical College, terminé en 1909.
Bien que les nécrologies de
discordante. En 1881, la faculté de médecine du McGill College eut vent d’une annonce dans laquelle elle se disait titulaire d’une licence de cet établissement, et le registraire reçut l’ordre de lui demander
King’s College de Windsor, où il s’intéressa particulièrement aux matières religieuses. Bien qu’admis comme attorney et barrister le 7 mai 1844, il ne pratiqua guère le droit car il n’avait nul