BROMLEY, WALTER, réformateur social, philanthrope, éducateur et administrateur scolaire, baptisé le 27 février 1775 à Keelby, Angleterre, fils aîné de Robert Bromley et d’une prénommée Jane ; il se maria en 1794 à Port-au-Prince (Haïti) et eut au moins deux enfants dont l’un, Stephen, épousa Ann DeLancey, fille de James DeLancey*, et étudia le droit auprès de Thomas Chandler Haliburton* ; le 25 décembre 1831, il épousa à Boston, Angleterre, Jane Ashton, et ils eurent plusieurs enfants ; trouvé noyé le 7 mai 1838 dans la rivière Torrens, Australie-Méridionale.

Issu d’une famille d’agriculteurs du Lincolnshire, Walter Bromley s’enrôla très jeune dans le 23rd Foot. Pendant les guerres contre la France révolutionnaire et napoléonienne, il servit sur des scènes aussi diverses que les Antilles, les Pays-Bas, le Danemark, Malte, l’Asie Mineure, la Nouvelle-Écosse (1808–1810) et la péninsule Ibérique. De retour en Angleterre en 1811, il quitta le service actif avec le grade de capitaine. Comme il toucha une demi-solde jusque dans les années 1830, Bromley put satisfaire librement son penchant pour le militantisme social. Cet enthousiasme s’était d’abord éveillé en lui au contact de ses supérieurs dans l’armée qui manifestaient de l’intérêt pour le renouveau évangélique, puis devant la pauvreté, l’analphabétisme et l’exploitation qui régnaient en Angleterre comme ailleurs, à la ville comme à la campagne, chez les Blancs comme chez les gens de couleur ; son esprit éclairé ne pouvait que réagir à la vue de ces misères.

Lorsqu’en 1813 Bromley revint en Nouvelle-Écosse pour s’attaquer à la réforme sociale, seul le menait le désir de faire le bien et de répandre outre-mer l’influence des évangéliques de Grande-Bretagne. Son choix, cependant, ne s’était pas porté d’abord sur la Nouvelle-Écosse. Après avoir consacré pendant quelque temps ses talents à l’étude des plaies sociales de Londres, il avait projeté d’aller poursuivre l’œuvre de la British and Foreign Bible Society auprès de la population de l’Espagne et du Portugal et parmi les soldats britanniques qui faisaient campagne dans la péninsule Ibérique. Comme la société avait refusé d’encourager cette audacieuse initiative, Bromley décida de promouvoir plutôt les objectifs de la British and Foreign School Society en Nouvelle-Écosse, sous le parrainage officiel du duc de Kent [Edward* Augustus].

Quand Bromley ouvrit à Halifax la Royal Acadian School au cours de l’année scolaire 1813–1814, il n’y avait pas, dans les colonies britanniques de l’Amérique du Nord, d’autre établissement d’enseignement de ce genre. Il s’agissait là d’une école multiconfessionnelle qui, à l’instar de la société biblique de Halifax, se gagna l’appui d’éléments libéraux qui provenaient de toutes les classes de la colonie et appartenaient ou non à l’Église d’Angleterre. Même si l’école avait pour but de diminuer l’analphabétisme, d’encourager les bonnes mœurs et de promouvoir le travail, elle défiait les notions de privilège et d’autorité qui avaient alors cours dans la société. La controverse que des anglicans déclenchèrent en s’opposant à sa fondation – le juge Alexander Croke était l’un des plus farouches détracteurs de l’école – aurait maté quiconque n’avait pas l’envergure de Bromley. Loin de se laisser abattre, celui-ci, à titre d’instituteur et d’administrateur, profita de la réclame que suscitait son initiative. Ceux qui, sous la direction de Thomas McCulloch, combattaient les privilèges de l’Église d’Angleterre se rangèrent à ses côtés. Son école bénéficia aussi du fait qu’elle répondait à des besoins locaux immédiats et se révéla, sur le plan social, une expérience importante. Elle offrait sous un même toit plus d’une possibilité : un enseignement peu coûteux aux enfants de la classe moyenne, laquelle commençait à prendre de l’importance ; un enseignement gratuit aux enfants des familles pauvres durant la grave crise économique qui suivit les guerres napoléoniennes ; un atelier aux chômeurs qui, à l’époque, comme l’ensemble des pauvres valides, ne recevaient encore aucun secours de la société de Halifax.

En dépit d’une situation financière toujours précaire, l’école conservait la protection de l’élite haligonienne et attirait une clientèle de boutiquiers et d’artisans qui n’avaient guère d’autre espoir de faire instruire leurs enfants dans une ville dépourvue d’écoles publiques. Ni gratuit ni privé, l’établissement de Bromley offrait à la nouvelle classe moyenne de Halifax, et ce pour la première fois, une solution dont elle avait grand besoin. La Royal Acadian School était l’un des premiers établissements coloniaux où pouvaient se conjuguer les intérêts de la classe moyenne et ceux d’une société où ce groupe occupait de plus en plus de place. Les élèves accueillis à titre gracieux – Noirs et immigrants – et les élèves payants – enfants des familles montantes de Halifax (tant catholiques que protestantes) – devaient tous recevoir un enseignement religieux et une formation professionnelle en plus d’apprendre à lire, à écrire et à compter. Les parents étaient ravis à l’idée de frais de scolarité si modestes ; quant aux élèves, la Royal Acadian School leur donnait une chance inestimable de bien débuter dans la vie. Le rédacteur en chef George Edward Fenety*, qui avait fréquenté l’école de Bromley au début des années 1820, affirmait en 1858 qu’outre de futurs journalistes comme lui, il avait eu pour compagnons des gens qui allaient devenir « des avocats, des hommes d’État, des marins (au service de Sa Majesté) et autres ». Joseph Howe* était de ceux-là, comme d’ailleurs Daniel Cronan* qui, au moment de sa mort en 1892, passait pour l’homme le plus riche de Halifax.

Utile aux membres des classes moyenne et inférieure, l’école de Bromley assura une base solide à l’essor du mouvement éducatif. Son succès entraîna la fondation par l’Église d’Angleterre et d’autres groupes et dénominations de nombreuses écoles assez semblables et qui desservaient les mêmes groupes socio-économiques, de sorte que le gouvernement provincial se trouva constamment pressé de subventionner un enseignement qui serait public. Le fait que l’école de Bromley appliquait une philosophie pédagogique précise fut l’un des facteurs qui provoquèrent un débat sur la nature et le but de l’instruction. De plus, la méthode d’enseignement employée, soit la prise en charge des plus jeunes élèves par les aînés (appelés moniteurs), prépara une nouvelle génération d’instituteurs dans les écoles publiques. L’idée de confier la gestion de l’école à des administrateurs bénévoles fut tout aussi importante. Ce mode de gestion assurait à l’école des appuis prestigieux et un soutien durable de la part du gouvernement et des particuliers ; il plaisait aux éléments respectueux d’une société traditionnelle qui étaient favorablement impressionnés de voir leurs employeurs et dirigeants s’intéresser à l’établissement. Longtemps après que Bromley eut quitté la Nouvelle-Écosse, son école (elle allait devenir une école de filles dans les années 1870) continua de jouer un rôle prépondérant dans la campagne en faveur de la gratuité scolaire.

L’école alimenta aussi le débat sur les mesures politiques à prendre pour enrayer la pauvreté et fut le tremplin qui permit à Bromley de se lancer dans ses activités d’« ami du pauvre ». À une époque où l’inertie du commerce et l’arrivée de vagues d’immigrants engendraient dans la colonie de graves problèmes économiques, Bromley se servit de son école pour suppléer à la faiblesse de l’industrie locale. Pour contrer le paupérisme, il privilégiait les solutions pratiques et énergiques, parmi lesquelles figuraient en bonne place les initiatives susceptibles d’accroître l’emploi. Particulièrement préoccupé de prévenir le mal et le vice parmi la classe démunie des domestiques de Halifax et convaincu qu’il n’y avait pas de meilleure prévention que de l’occuper à temps plein, il embaucha 67 filles et femmes en 1823 pour filer et tricoter de la laine du pays dans son école ou chez elles, sous la surveillance d’une de ses anciennes monitrices. La plus grande partie de cette laine servait à confectionner des chaussettes que Bromley vendait 2s la paire. Conformément à son habitude, il avait mis sur pied cette petite entreprise privée sans rechercher de profit personnel. Il payait ses ouvrières 2s par jour et considérait qu’il contribuait à réduire le chômage. « Halifax, soutenait-il, avait grand besoin de [cette] filature, car la dernière guerre avait détruit l’armature même du travail, de sorte que l’on avait du mal à trouver un seul rouet dans toute la ville, tandis que le lin et la laine abondaient dans tout le pays et que celle-ci était expédiée en grandes quantités aux Etats-Unis. »

À première vue, la manufacture domestique que Bromley avait installée dans son établissement rappelle beaucoup les fameuses écoles d’industrie qui existaient en Angleterre au xviiie siècle. Mais, comme il versait à ses employées un tarif à la pièce raisonnable, la situation était bien différente, et il faut accorder un certain crédit à sa prétention selon laquelle cet emploi s’avérait « une bénédiction pour bien des gens, qui [étaient] ainsi en mesure d’assurer leur subsistance par leur propre travail ». Comme il employait de la main-d’œuvre et des produits locaux, Bromley demanda en 1823 au Central Board of Agriculture [V. John Young] de soutenir sa fabrique de toile et de laine. L’initiative soulevait assez d’intérêt dans la région pour que le bureau d’agriculture offre une prime à la confection de vêtements de laine. Grâce à ce don, Bromley put combler les pertes financières que sa manufacture avait subies pendant l’année, même si, comme le dit un commentateur, « il devait acheter des roues, des métiers à tisser la laine, des métiers à tisser le lin et autres, et ne pouvait consacrer [à la fabrique] toute l’attention qu’y aurait portée celui qui aurait voulu en tirer des profits ». Toutefois, le bureau d’agriculture allait s’effondrer en 1825 et Bromley allait quitter la Nouvelle-Écosse peu après, de sorte que ces efforts ne rapporteraient aucun bénéfice à long terme.

Pour Bromley, faire la promotion du travail manufacturier était un complément à sa participation enthousiaste à la Poor Man’s Friend Society de Halifax, fondée en 1820. Il ne croyait pas à la charité aveugle et avait déjà, dans des tracts publiés en Angleterre en 1812, exprimé son aversion pour la mendicité. D’ailleurs, la Poor Man’s Friend Society, dont il était l’un des membres les plus actifs, avait pour but « l’adoption de mesures qui satisferaient plus efficacement les besoins de la multitude des pauvres et réduiraient à néant le système de la mendicité publique ». La mendicité à laquelle les enfants de la ville étaient réduits jetait le discrédit sur l’éducation hautement morale qu’ils étaient censés recevoir dans les écoles où des moniteurs les prenaient en charge. Il ne fait pas de doute que la Poor Man’s Friend Society, calquée sur le modèle d’organismes britanniques, fut créée en réaction à la crise des années 1820 et fixa son programme d’activités en conséquence. Ses membres, avec à leur tête des médecins praticiens de la ville, espéraient trouver une solution de rechange viable au secours dispensé sous l’égide de l’asile des pauvres, qui avait fort mauvaise réputation. L’accent que la société mettait, à ses débuts, sur la distribution sélective de matières premières et de vivres et sur la recherche d’emplois pour les pauvres valides plaisait à Bromley. Bientôt, cependant, les protecteurs de la Poor Man’s Friend Society se montrèrent moins enthousiastes et moins généreux, de sorte qu’elle se laissa aller à appliquer des méthodes moins constructives de secours massif, par l’intermédiaire des soupes populaires et de l’asile des pauvres.

Malgré sa compassion, Bromley déplorait probablement cette nouvelle orientation de la Poor Man’s Friend Society et devait se laisser gagner par les critiques d’inspiration malthusienne que publiait la presse de Halifax. Il se peut que son tempérament de militant ait été frustré par la tournure des événements et qu’en faisant, à la même époque, la promotion de sa manufacture domestique, il ait voulu encourager la Poor Man’s Friend Society à favoriser de nouveau l’initiative pratique. En 1824, Bromley allégua que la société était prête à adopter la mesure économique qu’il préconisait, c’est-à-dire la mise sur pied d’ateliers, comme modèle pour ses activités futures. Ce fut surtout à titre de membre du comité sur le travail que Bromley collabora avec cette société éphémère en compagnie de Samuel George William Archibald, qui le défendait dans les cercles politiques, de John Starr, généreux propagandiste de toutes les sociétés de bienfaisance, de John Young et de quelques ministres non conformistes. Les bourgeois, qui composaient l’élément actif de la Poor Man’s Friend Society, préféraient aider les pauvres à s’aider eux-mêmes en leur donnant de l’emploi et en créant une banque d’épargne où ils pourraient mettre de côté une part suffisante de leur salaire d’été pour traverser un dur hiver. L’effondrement de ces projets et, finalement en 1827, de la société elle-même doit être attribué à une organisation qui s’appuyait sur une poignée d’individus et à une meilleure conjoncture économique bien plus qu’à « la doctrine du laisser-faire et à l’opposition moralisatrice que les malthusiens exprimaient à l’endroit de l’aide aux pauvres », comme le prétend George E. Hart dans l’étude qu’il a consacrée à la société en 1953.

Quand Bromley quitta Halifax en 1825, il abandonnait non seulement une organisation de secours aux pauvres qui déclinait, mais aussi une expérience éducative qui n’avait pas comblé ses espoirs. Il avait voulu encourager l’ouverture d’écoles de la British and Foreign School Society sur tout le territoire des Maritimes. Les premiers rapports qu’il expédia à la société, à Londres, signalent la fondation de plusieurs écoles et, dès 1817, il affirmait avoir formé 12 instituteurs. Cependant, malgré l’optimisme constant de ses observations, il n’y avait que la Royal Acadian School et quelques écoles du dimanche au moment de son départ. Son rêve s’était évanoui lorsque la chambre d’Assemblée de la Nouvelle-Écosse avait conclu en 1815 « qu’il n’[était] pas expédient d’ouvrir des écoles [comme la Royal Acadian School] dans toute la province ». De 1826 à 1836, Bromley continua d’agir à titre de représentant de la British and Foreign School Society, à partir de sa résidence près de Boston, dans le Lincolnshire. Selon son témoignage, il réussit à promouvoir l’établissement d’écoles et de sociétés d’éducation dans tous les comtés les plus ouverts d’Angleterre.

Pendant son long séjour en Nouvelle-Écosse, Bromley s’occupa également d’une autre cause, celle des Indiens. On ne sait pas exactement comment il prit connaissance de leur situation, mais peut-être est-ce à travers son assistance aux pauvres et aux démunis. Il se trouvait certainement des Indiens parmi les mendiants et les ivrognes qu’il rencontrait dans les rues de Halifax. Dès que son œuvre haligonienne serait solidement établie, avait-il annoncé en 1814, il se rendrait « dans les bois, parmi les Indiens, où [il resterait] probablement jusqu’à la fin de [ses] jours ». Toutefois, au delà de son souci particulier à l’endroit des Noirs et des Indiens, Bromley mérite qu’on se souvienne de lui surtout parce qu’il dénonça publiquement les difficultés que connaissaient les populations indiennes de la Nouvelle-Écosse et du Nouveau-Brunswick, dont le nombre déclinait rapidement.

Bromley entreprit sa campagne d’aide aux Indiens en même temps qu’il ouvrait son école. Cependant, il ne parvint pas à éveiller suffisamment d’intérêt dans la colonie pour y maintenir une société bénévole qui se serait occupée d’améliorer leur condition. Le tableau s’assombrit encore après 1815 : la paix revenue, l’Assemblée se montra peu soucieuse du bien-être des Indiens, qui ne représentaient plus aucune menace et n’étaient plus que des résidants sans droit de vote. Bromley dut donc faire appel aux sociétés missionnaires d’Angleterre. Il put surtout compter sur la New England Company qui contribua à son travail auprès des Micmacs de Shubenacadie. À cet endroit, et pendant quelque temps dans des établissements similaires à Chester et à Fredericton, Bromley encouragea les Indiens à se prendre en main en pratiquant l’agriculture qui, selon lui, était une occupation plus « civilisée » que la chasse et pouvait les protéger des mauvaises influences de la vie urbaine. Toutefois, pour que le travail de Bromley se poursuive, il aurait fallu le financer en permanence et montrer plus de tolérance envers l’inébranlable foi catholique des Indiens, que son protecteur, le lieutenant-gouverneur lord Dalhousie [Ramsay], répugnait à contrecarrer. Au bout du compte, la plus grande contribution de Bromley fut d’avoir aidé à mettre au jour le plan scandaleux que la New England Company soutenait à Sussex Vale (Sussex Corner, Nouveau-Brunswick), où, comme il le découvrit en 1822, l’instruction religieuse et la formation professionnelle cédaient le pas à l’exploitation des jeunes Indiens [V. Oliver Arnold*].

En dépit de l’échec de son propre plan, Walter Bromley avait envers les Indiens une attitude singulièrement éclairée pour son époque, qui se refléterait dans son travail auprès des aborigènes de l’Australie-Méridionale, à partir de 1836 jusqu’à sa mort accidentelle, en mai 1838. Dans l’une et l’autre partie de l’Empire britannique, il rejeta complètement l’idée que les autochtones étaient inférieurs de nature et chercha à améliorer leurs conditions de vie en les encourageant à se sédentariser, à pratiquer l’agriculture et à développer leurs talents grâce à l’éducation. Il contribua aussi à stimuler leur fierté en étudiant lui-même leurs langues. Cependant, aux yeux des Haligoniens de l’époque victorienne, Bromley demeura non pas l’ami des Indiens mais le fondateur de la Royal Acadian School, ce qui démontre bien qu’au xixe siècle, pour devenir un héros du peuple, il fallait servir les intérêts de la classe moyenne.

Judith Fingard

Pour plus d’informations sur les publications de Walter Bromley de même que sur les sources et les études relatives à sa carrière, voir Judith Fingard, « English humanitarianism and the colonial mind : Walter Bromley in Nova Scotia, 1813–25 », CHR, 54 (1973) : 123–151. Les principales sources de même que les études pertinentes découvertes ou parues depuis la publication de cet article sont les suivantes :

APC, MG 24, B 16.— British and Foreign Bible Soc. Arch. (Londres), Home corr., 1812, 1815, 1836.— Church of Jesus Christ of Latter-Day Saints, Geneal. Soc. (Salt Lake City, Utah), International geneal. index.— Guildhall Library (Londres), mss 7920/2 ; 7956 ; 7969–7970 (New England Company papers) (mfm aux APC).— Lincolnshire Arch. Office (Lincoln, Angl.), Anderson Pelham, rental books ; Keelby, vestry records, 1775 ; Yarborough wapentake, land tax accounts.— PANS, MG 15, B, 3, doc. 24 ; MG 20, 180 ; RG 1, 230, 305, 411 ; RG 5, P, 80 ; RG 20C, 40, no 436.— PRO, CO 13/5 ; 13/7 ; 13/9 ; 13/11 ; 15/1 ; WO 25/751 : fos 128–128vo.— SOAS, Methodist Missionary Soc. Arch., Wesleyan Methodist Missionary Soc., corr., North America, box 4 ; Council for World Mission Arch., London Missionary Soc., corr., North America, folder 2, no 41, folder 5, nos 7–8, 12.— SRO, GD45/3/18–27 (mfm aux APC).— J. M. Beck, Joseph Howe (2 vol., Kingston, Ontario, et Montréal, 1982–1983), 1.— Susan Buggey, « Churchmen and dissenters : religious toleration in Nova Scotia, 1758–1835 » (thèse de m.a., Dalhousie Univ., Halifax, 1981).— Upton, Micmacs and colonists.— Herald (Halifax), 23 sept. 1892.— Morning Chronicle (Halifax), 10 juill. 1868, 11 juill. 1874.— Morning Herald (Halifax), 7, 12 sept. 1885.— Morning News (Saint-Jean, N.-B.), 2 août 1858.

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Judith Fingard, « BROMLEY, WALTER », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 7, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 2 oct. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/bromley_walter_7F.html.

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Auteur de l'article:    Judith Fingard
Titre de l'article:    BROMLEY, WALTER
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 7
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1988
Année de la révision:    1988
Date de consultation:    2 oct. 2024