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Titre original :  Phoebe Alberta Johnson (Vanevery; Claus). Date unknown. Image provided by the author.

Provenance : Lien

JOHNSON (Johnston), PHOEBE (Feebie, Phebe) ALBERTA (Vanevery ; Claus), femme de la Première Nation Tuscarora et ouvrière, née vers 1869 dans la réserve Six-Nations de la rivière Grand, Ontario, fille d’Elias Johnson et d’une prénommée Jemima ; elle eut un fils, de père inconnu ; vers 1890, elle épousa dans la réserve de la rivière Grand John Vanevery (décédé en octobre 1893), et ils eurent un fils, puis le 30 avril 1900 à Hagersville, Ontario, Isaac Powless Claus (décédé en 1956), et de ce second mariage naquirent deux filles et un fils ; décédée le 31 mai 1940 à Hamilton, Ontario, et inhumée dans cette ville au cimetière Woodland, dans la section des pauvres.

Phoebe Alberta Johnson naquit dans la réserve Six-Nations de la rivière Grand, dans le sud-ouest de l’Ontario. Situé près de Brantford, ce territoire avait été réservé aux membres et aux alliés de la Confédération des Six-Nations (Haudenosaunee) qui avaient fui les États-Unis après la guerre d’Indépendance américaine [V. Thayendanegea*]. Phoebe Alberta, qu’on appelait Phoebe, était issue de la nation Tuscarora, qui s’était jointe à la Confédération en 1722, quand ses membres avaient quitté la Caroline du Nord après une guerre avec les colons anglais. Ses ancêtres vécurent d’abord près des Onneiouts (Oneidas) dans le nord-est du futur État de New York, puis ils partirent s’installer au fort Niagara après la destruction de leur village par l’armée américaine en août 1779 [V. Kaieñˀkwaahtoñ*]. Au cours de la décennie suivante, de nombreux Tuscaroras s’établirent près de Lewiston, dans l’État de New York, où, en 1797, on créerait officiellement une réserve pour eux. L’arrière-grand-mère de Phoebe, dont le nom anglicisé était Catherine Big Williams, y naquit probablement en 1789.

Avec l’achèvement du canal Érié en 1825 [V. Alfred Barrett*], le gouvernement américain poussa les Six-Nations, dont les Tuscaroras, à se déplacer vers l’ouest. Les Six-Nations cédèrent leurs terres en vertu d’un traité signé en 1838 (que l’on révoquerait en raison des méthodes douteuses employées par les fonctionnaires fédéraux pour obtenir le consentement des Six-Nations). Conséquemment, les arrière-grands-parents de Phoebe s’installèrent dans la réserve de la rivière Grand dans les années 1840.

On sait peu de choses sur les premières années de la vie de Phoebe. Ses parents étaient fermiers, comme d’autres habitants de la réserve. En 1871, les Johnson occupaient 50 acres, où ils cultivaient principalement des aliments pour leur propre usage, tels que le maïs et les pommes de terre ; ils récoltaient aussi des produits, dont le blé, destinés à la vente. Propriétaires d’une vache laitière et de six cochons, ils ne possédaient aucun autre animal d’élevage, contrairement aux familles plus aisées. Phoebe et ses deux sœurs participaient aux corvées de la ferme en aidant leur mère Jemima à désherber son potager d’une superficie d’une demi-acre.

Les parents de Phoebe moururent dans les années 1870 (les statistiques de l’état civil pour les communautés autochtones étaient rarement consignées dans les registres de l’Ontario). Le Conseil des Six-Nations nomma un tuteur, John Anderson, et on plaça Phoebe au Mohawk Institute, pensionnat pour Autochtones à Brantford. Selon les descendants de Phoebe, cette dernière, après avoir terminé ses études, travailla comme domestique, possiblement à Hamilton ou à Buffalo, dans l’État de New York. En 1890, elle avait quitté le service domestique et regagné la réserve de la rivière Grand. Enceinte, elle se maria avec John Vanevery et donna naissance à un fils, Clinton. Les filles de ce dernier ne sauraient jamais s’il connaissait l’identité de son père biologique.

Vanevery, membre de la Première Nation Lower Cayuga, était veuf et père de deux filles et d’un garçon. Sa première femme, Maria, avait peut-être succombé à la tuberculose. Vanevery avait 57 ans et Phoebe, 21 ans. Une telle différence d’âge entre conjoints n’était pas inhabituelle ; les veufs épousaient souvent des femmes plus jeunes.

En mai 1892, Phoebe donna naissance à un autre fils, Harvey. L’année suivante, Vanevery mourut. Il laissa, par testament, la maison à Phoebe, mais légua la terre à ses quatre enfants biologiques. En outre, il nomma Phoebe tutrice de ses deux enfants mineurs. Le fils aîné de Vanevery, prénommé John, comme son père, contesta le testament. Cela mena à une enquête officielle pour déterminer si John devait recevoir une plus grande part de la récolte du champ de blé de son père. L’enquête envenima les relations entre Phoebe et ses beaux-enfants ; en 1894, elle renonça à la tutelle de la plus jeune fille de Vanevery. Au printemps de 1896, elle demeurait chez les Tuscaroras, près de Lewiston, avec ses fils. Elle continua ses déplacements entre la réserve de la rivière Grand et l’État de New York au cours des années suivantes. Les membres de sa communauté voyageaient fréquemment d’un territoire à un autre, car des réserves se trouvaient dans l’ouest de l’État de New York, et la plupart des habitants de la rivière Grand avaient des parents et des amis qui vivaient dans cet État.

Phoebe peinait à subvenir aux besoins de ses fils, Clinton et Harvey. En mai 1896, elle se rendit à Lockport, ville à l’est de Lewiston, et les laissa à la Niagara County Poor-house. On envoya les deux garçons à la Home for the Friendless, orphelinat protestant fondé pour accueillir les veuves et leurs enfants pendant la guerre de Sécession. Ils y restèrent quatre ans. Il n’était pas rare que des personnes en difficulté placent temporairement leurs enfants à l’orphelinat. En vertu de la loi sur les Indiens (loi fédérale canadienne de 1876), le statut d’Indien était transmis par le père. En raison du statut juridique des enfants de Phoebe, cette dernière pouvait difficilement envoyer ses enfants au Mohawk Institute ou au Thomas Asylum for Orphans à Cattarugus, dans l’État de New York. Clinton, né d’un père probablement blanc, n’était pas un Indien au sens de la loi ou membre des Six-Nations. De plus, parce que ses parents n’avaient pas été mariés, on le considérait comme illégitime. Cette fâcheuse situation n’était pas exceptionnelle ; beaucoup d’enfants à la rivière Grand naissaient de mères non mariées selon les normes chrétiennes ou de pères non autochtones. Entre 1869 et 1906, le Conseil des Six-Nations de la rivière Grand discuta longuement de la manière de concilier leur société matrilinéaire avec la loi sur les Indiens, patrilinéaire.

Phoebe paya vraisemblablement pour que ses enfants restent à l’orphelinat, ce qui constituait une pratique courante. En août 1898, se trouvant alors à Sanborn, dans l’État de New York, elle envoya une lettre à Edwin Duncan Cameron, agent des Affaires indiennes à la rivière Grand, dans laquelle elle affirmait avoir été malade et incapable de travailler : « [Ai subi] empoisonnement du sang n’ai pas pu gagner [d’argent] cet été ai été à l’hôpital ici n’ai pas pu subvenir aux besoins de mes enfants aimerais que vous me fassiez une faveur en me donnant 10 $ jusqu’au paiement de cet automne vous pouvez les prendre sur ma paie parce que j’en ai très besoin aimerais revenir à la maison quand tout est réglé ici. » Cameron recommanda qu’on lui remette l’argent, qui provenait des fonds distribués deux fois par an aux habitants de la réserve de la rivière Grand – les intérêts accumulés, détenus en fiducie, résultaient de la vente des terres des Six-Nations orchestrée par le gouvernement. La réserve, qui devait occuper une superficie d’environ 675 000 acres, selon les promesses de sir Frederick Haldimand* en 1784, ne comptait plus, en 1847, que 55 000 acres environ.

En avril 1900, Phoebe épousa Isaac Powless Claus. Le couple avait des points en commun : Claus, Mohawk et veuf, également membre de la communauté de la rivière Grand, avait lui aussi vécu occasionnellement dans l’État de New York. Même s’ils se marièrent dans une église méthodiste à Hagersville, Phoebe et Isaac étaient inscrits comme résidents de Lewiston. Un an après leur mariage, ils demeuraient à la rivière Grand, avec Clinton et son demi-frère Harvey, que Phoebe avait retirés de l’orphelinat. Ils résidaient dans la 2e concession, sur la terre dont Harvey avait hérité de son père, John Vanevery. Phoebe et Isaac auraient trois enfants entre 1899 et 1905. On ignore comment ils subvenaient aux besoins de leur famille grandissante ; en 1904, Clinton, âgé de 14 ans, quitterait la maison à la suite d’une dispute avec Isaac.

Après le début des années 1900, on ne trouve que des références occasionnelles à Phoebe dans les registres du département des Affaires indiennes. En avril 1902, le Conseil des Six-Nations approuva le « Quit Claim for Isaac Claus and Mrs Phebe Claus » (acte de renonciation pour Isaac Claus et Mme Phebe Claus). Le nom de Phoebe figure aussi dans un document de 1907 visant à déterminer si Harvey avait des droits sur la terre que ses deux demi-sœurs, filles de John Vanevery, avaient hérité de leur père. Les deux sœurs étaient mortes et leur propriété était passée aux mains de John, leur frère aîné. Phoebe contesta la décision, car elle croyait que Harvey méritait la moitié de l’héritage. Le Conseil des Six-Nations se rangea du côté de John, affirmant que l’Ontario Devolution of Estates Act de 1897 ne prévoyait pas de dispositions pour les demi-frères et les demi-sœurs de sang. John Douglas McLean, surintendant adjoint et secrétaire du département des Affaires indiennes, annula cette décision ; même si le conseil fonctionnait, en général, indépendamment du gouvernement, le secrétaire et ses fonctionnaires, notamment Francis Pedley*, intervenaient souvent dans les questions juridiques importantes.

En octobre 1910, Phoebe vendit les terres de Harvey à Clinton (qui s’était marié deux ans plus tôt), et quitta la rivière Grand avec Isaac et leurs trois jeunes enfants. Ils habitèrent avec les cousins de Phoebe à Lewiston. L’année suivante, Phoebe et sa famille vivaient sur une concession interrompue en front située dans le canton d’East Flamborough, le long de la baie de Burlington (port de Hamilton). Ils y louèrent des terres agricoles et y demeurèrent au moins jusqu’en juin 1913. On ne sait pas exactement où vécut la famille par la suite.

En septembre 1916, le nom de Phoebe réapparut dans des documents, quand Clinton s’enrôla dans le Corps expéditionnaire canadien au cours de la Première Guerre mondiale. L’attestation de Clinton indique que le bureau de poste le plus proche de l’endroit où Phoebe et Isaac vivaient alors se situait à Hagersville, village jouxtant le canton d’Oneida, où Clinton possédait des terres dans une réserve.

Clinton quitta le Canada en avril 1917. À titre de parents d’un soldat enrôlé, Phoebe et Isaac recevaient une partie de sa paie mensuelle pendant son service à l’étranger. L’argent contribua vraisemblablement à subvenir aux besoins de leur famille. Lorsque Clinton revint au Canada en mai 1919, Phoebe et sa famille vivaient dans le quartier ouvrier au nord de Hamilton.

Phoebe, Isaac et leurs trois jeunes enfants furent émancipés la même année, en vertu d’une loi fédérale qui permettait aux membres des Premières Nations de renoncer plus facilement à leur statut d’Indien en échange de la citoyenneté et d’une compensation monétaire [V. Frederick Ogilvie Loft]. Le surintendant général des Affaires indiennes, Arthur Meighen*, déclara dans une lettre que, dorénavant, Phoebe et les membres de sa famille « ne seraient plus considérés comme des Indiens au sens des lois relatives aux Indiens ». L’émancipation leur donna droit à un paiement forfaitaire, à partir du fonds de fiducie des Six-Nations, s’élevant à 865,20 $ (chaque part individuelle valait 173,04 $).

Les documents d’émancipation furent établis au nom d’Isaac, dont les actes s’appliquaient automatiquement à Phoebe et à leurs trois enfants. Pendant l’entre-deux-guerres, on émancipa ainsi quelque 2 400 membres des Premières Nations, soit environ 2 % des Autochtones du Canada reconnus comme Indiens inscrits. On ignore quel rôle joua Phoebe dans la décision, mais on sait que sa famille et elle vivaient dans la pauvreté. Phoebe croyait probablement qu’il y avait plus de possibilités à Hamilton que dans la réserve, où sa famille était soumise à la bureaucratie fédérale et possédait peu de terres, et où ses enfants élèveraient difficilement leurs propres familles.

Selon le recensement fédéral de 1921, en juin de la même année, Phoebe, Isaac et leur famille demeuraient au 83, rue Oxford, dans une petite maison de brique de deux étages au nord de Hamilton (maison qui s’y trouverait toujours au début du xxie siècle). Au moins 219 Autochtones résidaient dans la ville à cette époque ; ils venaient en grande majorité de la réserve de la rivière Grand. Le recenseur qui se rendit au domicile de Phoebe consigna que les membres de la famille parlaient « indien » et que Phoebe, ses enfants et sa petite-fille étaient Tuscaroras, tandis qu’il identifia Isaac comme Mohawk. Pour les familles issues des Premières Nations, on demandait aux recenseurs d’identifier les enfants en fonction de la lignée maternelle, conformément à la tradition commune chez plusieurs peuples autochtones selon laquelle le lien de filiation est déterminé par la mère.

Une fois émancipée, Phoebe ne figura presque plus dans les documents ; les seuls détails connus sur ses dernières années proviennent de souvenirs de membres de sa famille. Isaac travailla comme manœuvre à Hamilton, mais gagna peu d’argent, et Phoebe et lui allèrent d’une maison de pension à une autre dans l’extrémité nord de Hamilton jusqu’à la fin de leur vie. À un certain moment, elle devint aveugle.

Phoebe mourut le 31 mai 1940. Sa fille aînée rédigea la notice nécrologique parue dans le Hamilton Spectator : « Malade depuis longtemps, Mme Phoebe Claus, de la tribu Tuscarora, Indiens des Six-Nations, est décédée ce matin chez elle, au 105, avenue Victoria Nord. Elle était membre de l’association des étudiants de la Bible et de la Confederation of the Blind. » Avant la mort de Phoebe, on avait dissimulé les origines autochtones de la famille, décision courante à Hamilton au début du xxe siècle.

Au moins 46 personnes assistèrent à la veillée funèbre de Phoebe, dont des membres des Six-Nations, comme le laissent présumer leurs noms. La présence de Clayton et Edith Monture, Gordon Bairfoot, Susan Johnson et Louise Hill indique que Phoebe maintint des relations avec sa communauté d’origine et que certains membres des Six-Nations conservèrent des liens entre eux après leur installation en ville.

Comme la plupart des femmes de la classe ouvrière de son époque, Phoebe n’eut pas une vie facile. Dans une société et un cadre juridique qui la considéraient indubitablement comme une « Indienne », son identité autochtone la mit à l’écart et sa vie n’en fut que plus laborieuse. Elle subit des pertes et des bouleversements, et eut peu d’occasions d’améliorer son sort et peu de relations sociales pour l’aider. La mort précoce de ses parents, une grossesse non planifiée, son mariage avec un homme de 36 ans son aîné et la mort prématurée de ce dernier rendirent ses premières années difficiles. Cependant, grâce à sa résilience, Phoebe survécut.

En dépit des machinations des politiciens et des décideurs, l’espoir d’échapper à la pauvreté et de bâtir un meilleur avenir pour ses enfants poussa Phoebe Alberta Johnson à s’émanciper et à installer sa famille dans le nord de Hamilton. Pour Isaac et elle, la possibilité de partir vivre ailleurs constituait, dans le Canada du début du xxe siècle, un attrait plus grand que de demeurer des « Indiens » au sens de la loi. Phoebe se retrouvait certes libérée de la surveillance envahissante de l’administration fédérale, mais la vie urbaine avait un prix. Ses descendants et elle furent coupés de leur héritage, comme de nombreuses familles des Six-Nations qui choisirent des chemins similaires dans l’espoir d’améliorer leur sort. Les enfants et les dix petits-enfants de Phoebe (dont plusieurs furent placés en établissement – un au Mohawk Institute, deux à la Hamilton Boys’ Home et un autre à la Bowmanville Boys Training School) en vinrent à se considérer comme blancs, chrétiens et appartenant à la classe ouvrière, conformément à la politique d’assimilation du gouvernement [V. Edward Francis Wilson*]. Les conséquences à long terme de l’émancipation s’avérèrent inégales : il se peut que certains des petits-enfants de Phoebe en bénéficièrent et eurent une vie meilleure que dans les réserves, mais ce ne fut sans doute pas le cas pour d’autres. De telles réflexions demeurent toutefois réductrices, car les choix que l’on imposa aux Premières Nations du Canada du début du xxe siècle, tout comme à Phoebe, ne furent jamais bons.

William Craig Wicken

Ancestry.com, « Recensement des résidents des almshouses et poorhouses, New York, États-Unis, 1830 à 1920 », Clinton Vanevery et Harvey Vanevery, 19 mai 1896 : www.ancestry.ca/search/collections/1083 ; « Décès de l’Ontario et décès à l’étranger, Ontario, Canada, 1869 à 1948 », Phoebe Claus, 31 mai 1940 : www.ancestry.ca/search/collections/8946 ; « Mariages, Ontario, Canada, 1826 à 1938 », Phoebe Vanevery et Isaac Powless Claus, 30 avril 1900 : www.ancestry.ca/search/collections/7921 (documents tous consultés le 23 mai 2023).— BAC, R233-30-3, vol. 49–157, Canada-Ouest, dist. Brant (comté) (2), sous-dist. Tuscarora (12) : 7 ; R233-34-0, Ontario, dist. Brant (15), sous-dist. Tuscarora, (e) : 8 ; R233-36-4, Ontario, dist. Haldimand (70), sous-dist. Oenida (e) : 7 ; R233-37-0, Ontario, dist. Haldimand et Monck (67), sous-dist. Oneida (J), div. 6 : 3 ; R233-114-9, Ontario, dist. Hamilton Ouest (88), sous-dist. quartier no 4 (29) : 15 ; RG10-B-3-e-xvi, dossier 479/37-2-11-160 (Individual case files – Estates – John (Alex) Vanevery Sr. – Six Nations of the Grand River-Upper Cayuga Band – Six Nations Agency) ; RG10, vol. 1975, dossier 5689 (central.bac-lac.gc.ca/.redirect?app=fonandcol&id=2077816&lang=fra) ; RG10, vol. 2279, dossier 55902 (central.bac-lac.gc.ca/.redirect?app=fonandcol&id=2077590&lang=fra) ; RG10, vol. 2335, dossier 67806 (central.bac-lac.gc.ca/.redirect?app=fonandcol&id=2079256&lang=fra) ; RG10, vol. 2767, dossier 153394 (central.bac-lac.gc.ca/.redirect?app=fonandcol&id=2066948&lang=fra) ; RG10, vol. 2940, dossier 197395 (central.bac-lac.gc.ca/.redirect?app=fonandcol&id=2069557&lang=fra) ; RG10-B-3, vol. 7241, dossier 8032-47 (Six Nations Agency – enfranchisement – Claus, J. P.) ; RG 150, Acc. 1992–93/166, boîte 1775-25 (central.bac-lac.gc.ca/.redirect?app=pffww&id=104473&lang=fra).— FamilySearch, « Census, United States, 1900 », Clinton et Harvey Vanevery, Phoebe et Isaac P. Claus : www.familysearch.org/search/collection/1325221 (consulté le 18 mai 2023).— Fold3, « War of 1812, pension files », William Johnston, service : Pvt Capt Solomon Longport’s or Longfoot’s Co NY Militia : www.fold3.com/publication/761/war-of-1812-pension-files (consulté le 6 juin 2023).— Hamilton Spectator, 31 mai 1940.— Annuaire, Hamilton, Ontario, 1920.— The Valley of Six Nations : a collection of documents on the Indian lands of Grand River, C. M. Johnston, édit. (Toronto, 1964), 264.— Vernon’s farmers and business directory for the counties of Haldimand, Lincoln, Welland and Wentworth for the year 1914, Hamilton, 1914.

Bibliographie générale

Comment écrire la référence bibliographique de cette biographie

William Craig Wicken, « JOHNSON (Johnston), PHOEBE (Feebie, Phebe) ALBERTA (Vanevery ; Claus) », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 27 avril 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/johnson_phoebe_alberta_16F.html.

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Auteur de l'article:    William Craig Wicken
Titre de l'article:    JOHNSON (Johnston), PHOEBE (Feebie, Phebe) ALBERTA (Vanevery ; Claus)
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 16
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    2023
Année de la révision:    2023
Date de consultation:    27 avril 2024