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WÜRTELE, JONATHAN SAXTON CAMPBELL, avocat, seigneur, homme politique, fonctionnaire, homme d’affaires, professeur et juge, né le 27 janvier 1828 à Québec, fils de Jonathan Wurtele, marchand, et de Louisa Sophia Campbell, sœur du notaire Archibald Campbell* ; le 7 janvier 1854, il épousa à Montréal Julia Nelson (décédée en 1870), fille de Wolfred Nelson*, et ils eurent cinq enfants, puis le 1er juin 1875, à l’île Staten (ville de New York), Sarah Braniff, veuve d’un dénommé O’Brien ; décédé le 21 avril 1904 à Montréal.

Fils aîné d’une éminente famille marchande d’origine allemande qui s’était intégrée à l’élite anglo-protestante du Bas-Canada, Jonathan Saxton Campbell Würtele grandit à Bourg-Marie-Est, la seigneurie que son père avait héritée en 1831 de son père Josias*. Instruit en français par des précepteurs à la seigneurie, Würtele fréquenta ensuite la Quebec Classical School du révérend Francis James Lundy ainsi que la Quebec High School, puis il eut pour précepteur Frederick B. Calvert. Il étudia le droit auprès de Jean Chabot* et fut admis au Barreau du Bas-Canada le 6 août 1850. Il s’installa à Montréal, où il pratiqua le droit avec Henry Hague Judah jusqu’en 1852. La Compagnie de dépôt et de prêt du Haut-Canada prit alors Judah comme solicitor et chargea Würtele d’administrer les 400 000 $ qu’elle avait avancés pour aider les victimes des graves incendies survenus à Montréal cette année-là.

Ayant hérité du domaine paternel, qui s’étendait sur 3 450 acres et englobait les seigneuries de Deguire (aussi connue sous le nom de Rivière-David), de Bourg-Marie-Est, de Saint-François et de La Lussaudière, Würtele jura foi et hommage au château Saint-Louis le 3 février 1854. Il fut le dernier Canadien à le faire. Homme sévère et consciencieux, il alla s’installer avec sa femme, Julia Nelson, au manoir de Saint-David-d’Yamaska. Il devint juge de paix, maire de la paroisse, président de la commission scolaire, commissaire chargé de la décision des petites causes et président de la société locale d’agriculture. En outre, il participa à la fondation de la Société Saint-Jean-Baptiste de Saint-David, dont il serait plus tard président. Il fut aussi secrétaire de l’Association des seigneurs. À ce titre, il réclama des amendements importants au projet de loi que Lewis Thomas Drummond* avait présenté à l’Assemblée législative en 1852 en vue de réduire les redevances et privilèges seigneuriaux. Finalement, le Parlement adopta une loi qui abolissait le régime seigneurial, mais était très avantageuse pour les seigneurs. Pour montrer à quel point les censitaires étaient satisfaits de la manière dont les litiges seigneuriaux avaient été réglés dans leur région, les marguilliers de la paroisse de Saint-David réservèrent en permanence un banc à la jeune femme de Würtele.

En 1856, une révolte suscitée par un impôt scolaire aigrit temporairement les relations entre Würtele et la population locale, surtout quand il fit appel à la milice de Québec pour restaurer l’ordre après que « les éteignoirs » [V. Jean-Baptiste Meilleur*] eurent mis le feu à sa scierie. Le climat s’améliora lorsque, en janvier 1858, il fonda la Compagnie de navigation d’Yamaska avec son frère Edward Campbell et son ami Louis-Adélard Senécal*. L’entreprise, dont il était président, transportait des céréales et des produits manufacturés le long des rivières Yamaska et Saint-François. Elle rapportait des revenus intéressants dans la région et donnait de l’emploi à la population locale.

À l’aise dans les deux langues, Würtele accepta le poste de greffier principal de la Commission seigneuriale, établie en vertu de la loi de 1854 et dont Judah était président. Il retourna donc à Montréal en 1862. En raison du talent avec lequel il avait réglé le litige seigneurial à Rigaud, on lui confia le cas, difficile, de la seigneurie de Beauharnois. Ce mandat l’obligea à résider à Beauharnois durant deux ans. Pendant cette période, il fut président du comité local d’hygiène et juge de paix.

De 1866 à 1868, Würtele pratiqua le droit avec John Joseph Caldwell Abbott*. En 1868, il s’associa à un neveu de Henry Hague Judah, Frederick Thomas Judah. Les deux associés se spécialisaient dans l’immobilier et les finances. La Banque d’Épargne de la Cité et du District de Montréal et la Compagnie de dépôt et de prêt du Canada figuraient parmi leurs clients montréalais.

Pendant qu’il travaillait à la Commission seigneuriale, Würtele s’inscrivit au programme de deux ans de la faculté de droit du McGill College. Il finit deuxième de sa classe en 1863 et reçut une licence en droit civil en 1870. Chargé de cours en droit commercial et civil et obligations dans cet établissement à compter de 1867, il fut nommé en 1871 professeur associé de droit commercial. En 1880, il devint professeur ; puis six ans plus tard, il fut nommé professeur émérite.

En décembre 1873, Würtele, qui avait reçu cette année-là le titre de conseiller de la reine, dénonça publiquement, avec 11 autres avocats montréalais, la façon dont la Cour du banc de la reine rendait la justice et réclama qu’une commission d’enquête se penche sur cette « situation lamentable ». En 1878, il fonda un cabinet d’avocats avec Charles-Joseph Coursol*, Désiré Girouard* et James Ponsonby Sexton. En 1883, Robert Davidson McGibbon s’associerait à eux.

Élu député d’Yamaska à l’Assemblée législative en 1875, Würtele remercia ses électeurs par un don de 250 $ en vue de la construction d’un couvent à Saint-David. D’abord libéral modéré, il soutint son parti dans l’opposition et critiqua la prise de possession de la Compagnie du chemin de fer de la rive nord par le gouvernement, car il estimait que cette acquisition imposerait à la province des dépenses trop lourdes pour elle. Cependant, comme on passait aisément d’un camp à un autre sur la scène provinciale, il ne tarda pas, par amitié et pour mieux défendre ses intérêts commerciaux, à se joindre aux conservateurs modérés de Joseph-Adolphe Chapleau*. Il fit partie des célébrités invitées par les conservateurs en octobre 1876 au gala d’inauguration de la section du chemin de fer de la rive nord reliant Montréal et Saint-Jérôme (le chemin de fer, fusionné avec un autre, avait été rebaptisé chemin de fer de Québec, Montréal, Ottawa et Occidental). Bien qu’élu en 1878 sous la bannière conservatrice par une marge de 810 voix, il se démarquait à l’occasion de son parti. La même année, il refusa obstinément de se joindre à ses collègues qui quittèrent l’Assemblée pour protester contre une décision du président, Arthur Turcotte, et résista à Chapleau, à Joseph-Israël Tarte et à Narcisse-Marie Le Cavalier, qui tentaient de le sortir de force de la Chambre.

Würtele participa beaucoup aux travaux de l’Assemblée dans la seconde moitié des années 1870. Il présenta des projets de loi qui constituaient juridiquement diverses entreprises commerciales, tels le Montreal Open Stock Exchange, la Compagnie des terres de Montréal et le Crédit foncier du Bas-Canada, ou qui modifiaient des lois relatives aux assurances, des lois constituant des sociétés et l’Acte des chemins de fer de Québec. On peut en déduire qu’il était plus que le simple représentant de ses 3 159 électeurs, en grande partie ruraux et catholiques. Sur le plan législatif, sa plus grande réussite dans les dernières années de la décennie fut l’Acte concernant la fiducie, qui visait à greffer le droit anglais sur le code civil. Il le rédigea lui-même et le présenta sous forme de projet de loi privé en 1879. On dit qu’il présenta cette loi pour protéger sa sœur ; le mari de celle-ci avait connu de graves difficultés financières et « souhaitait [la] protéger » en soustrayant ses biens à ses créanciers.

Würtele fut encore plus actif une fois que Chapleau fut devenu premier ministre de la province en octobre 1879. Il fut président de plusieurs comités : celui des comptes publics, celui des lois arrivant à échéance, celui des privilèges et élections et celui des projets de loi privés. Il appuya l’adresse en réponse au discours du trône en 1880, et se porta souvent à la défense du gouvernement. Tous ces faits suggèrent qu’il était plus qu’un membre ordinaire du parti au pouvoir. Selon l’historien Robert Rumilly*, au moment de la formation du gouvernement Chapleau, Würtele, Senécal, Clément-Arthur Dansereau* et Alexandre Lacoste* devinrent les plus proches conseillers du premier ministre. Ils formaient un cabinet parallèle qui, dans les faits, dirigeait la province, ce qui déplaisait fort au cabinet officiel. Par exemple, lorsque le gouvernement eut besoin de crédit au printemps de 1880, Chapleau envoya à Paris non pas le trésorier de la province, Joseph Gibb Robertson*, mais Würtele, qui obtint un emprunt de 4 millions de dollars chez des banquiers français. En plus, Würtele négocia avec ces mêmes banquiers la création du Crédit foncier franco-canadien, société d’hypothèques et de crédit à long terme [V. Chapleau]. Doté d’un capital de 5 millions de dollars, le Crédit foncier obtint une charte provinciale avant la fin de 1880. Chapleau en était le vice-président ; Würtele, Jean de Beaufort et Isidore Thibaudeau* en étaient les administrateurs. Proclamée premier grand effort de coopération économique entre la France et la province de Québec depuis le traité de Paris, l’initiative de Würtele amena les capitalistes français à s’intéresser à d’autres entreprises industrielles et commerciales du Canada français. En récompense de ses services, Würtele fut fait officier de l’Instruction publique en 1880 et reçut la croix de chevalier de la Légion d’honneur deux ans plus tard.

Toutefois, le gouvernement et le Crédit foncier étaient trop intimement liés pour que cela ne soulève pas des protestations. Le 28 avril 1881, l’Électeur de Québec déclara que Chapleau, le secrétaire de la province Étienne-Théodore Pâquet et « possiblement » Würtele avaient touché 14 000 $ chacun pour avoir appuyé le Crédit foncier à l’Assemblée. En fait, tous trois s’étaient vu offrir de l’argent : Würtele l’avait refusé et Chapleau n’avait pas touché à la somme déposée dans son compte, mais Pâquet avait encaissé le chèque, qui, disait-il, représentait un juste dédommagement pour ses dépenses. Après cette affaire, Würtele prit soin d’éviter tout ce qui pouvait le faire soupçonner de corruption, même si cette attitude lui aliéna son ami Senécal et l’obligea à soutenir les libéraux à l’occasion.

Pourtant, Würtele était loin d’être populaire auprès de l’opposition et surtout des jeunes libéraux, qui le surnommaient « le Prussien » à cause de ses antécédents allemands, de sa solennité, de son obsession de l’ordre et de son allure : « tête carrée, traits épais, lunettes et favoris ». Sa popularité auprès de certains conservateurs n’était probablement pas plus grande, car il était rigide, ne respectait pas toujours les consignes du parti et faisait partie du cabinet parallèle. En tant que président du comité permanent des projets de loi privés, il avait déplu à la hiérarchie catholique de Québec et au clan des « castors » de son parti [V. François-Xavier-Anselme Trudel*] en appuyant la requête dans laquelle l’école de médecine et de chirurgie de Montréal demandait d’être indépendante de l’université Laval. Malgré tout cela, Chapleau estimait Würtele pour son intelligence, son ardeur au travail et son savoir. Il faisait appel à lui pour défendre le gouvernement et rédiger des lois. Il lui confia la présidence du comité spécial du Code municipal. Enfin, le 28 janvier 1882, quelques mois avant d’entrer au cabinet fédéral, Chapleau nomma Würtele, « le plus sage des conseillers intimes », trésorier de la province, peut-être pour qu’il protège leurs intérêts politiques et personnels communs au sein du nouveau gouvernement provincial. Würtele eut ce même poste dans le cabinet formé par Joseph-Alfred Mousseau* en juillet.

Sous la surveillance infatigable d’un Parti libéral rajeuni et dirigé par Honoré Mercier*, Würtele s’efforça de rétablir la situation financière de la province. La vente du chemin de fer de Québec, Montréal, Ottawa et Occidental rapporta à la province des recettes dont elle avait bien besoin et la libéra d’un lourd fardeau. Entre-temps, pour refinancer la dette provinciale, Würtele emprunta 3 500 000 $ sur le marché canadien, en partie par l’intermédiaire du courtier montréalais Louis-Joseph Forget*. Faisant preuve d’encore plus d’imagination, il imposa une taxe provinciale à toutes les sociétés commerciales. Les milieux d’affaires résistèrent vigoureusement, il y eut contestation au Parlement et devant les tribunaux, mais finalement, le comité judiciaire du Conseil privé déclara que la province était tout à fait habilitée à imposer cette taxe. Par ailleurs, le bureau de poste qui abritait l’Assemblée législative brûla en 1883, ce qui força le gouvernement, encore dans une situation précaire, à trouver des fonds pour se loger temporairement en attendant l’achèvement du nouveau Parlement conçu par Eugène-Étienne-Taché*.

En janvier 1884, les castors du parti de Mousseau l’obligèrent à démissionner du poste de trésorier en faveur de John Jones Ross, Würtele obtint la présidence de l’Assemblée deux mois plus tard. Cette fonction lui allait comme un gant. Homme digne et organisé, conscient de la limite ténue « qui sépare la liberté de parole de la licence », il entendait que les choses se déroulent dans l’ordre et dans les formes. Pendant son mandat, a-t-on dit, il rendit « bien des décisions [...] qui [firent] autorité » par la suite. En plus, son bureau publia en 1885, à Québec, un guide bilingue de 722 pages, le Manuel de l’Assemblée législative de Québec, qui contenait l’Acte de l’Amérique du Nord britannique, des lois provinciales pertinentes ainsi que le règlement de l’Assemblée et de la Chambre des communes de Grande-Bretagne. Une version abrégée de ce guide paraîtrait en 1895. Avant de quitter la présidence de l’Assemblée, Würtele fut appelé à terminer, « sans rémunération », la codification des lois provinciales entreprise par le juge Thomas-Jean-Jacques Loranger*.

Würtele était un protecteur des arts et de la musique. On trouvait dans son salon un piano imposant, « une belle harpe dorée », un violoncelle et d’autres instruments. C’était aussi un homme d’esprit, sociable, cultivé, fin causeur. Il s’acquittait avec plaisir des devoirs mondains qui lui incombaient à titre d’homme public. Sa deuxième femme, Sarah Braniff, le secondait bien. Éduquée dans des écoles privées, elle appartenait au National Council of Women of Canada et au Victorian Order of Nurses [V. Ishbel Maria Marjoribanks*]. Durant 16 ans, elle fut présidente de la section féminine de la Société de numismatique et d’archéologie de Montréal.

Le 28 juin 1886, Würtele fut nommé juge à la Cour supérieure de la province de Québec pour le district de l’Outaouais. Le 20 septembre 1888, il fut muté au district de Montréal. Devenu juge associé à la Cour du banc de la reine en 1891, il fut élevé à la distinction de juge puîné le 12 octobre 1892. Würtele présidait les audiences avec fermeté. Son vieil adversaire politique, Mercier, révoqué de ses fonctions de premier ministre, et Ernest Pacaud, agent financier du Parti libéral, comparurent devant lui en octobre 1892 sous l’accusation d’avoir conspiré en vue de frauder de 60 000 $ le trésor public. Le jury les acquitta. Würtele présida en 1897 le procès en diffamation intenté par Tarte à W.-A. Grenier, propriétaire de la Libre parole illustrée. Ce fut également sous son autorité que se déroula en 1899 le fameux procès pour fraude de William Weir, président de la Banque Ville-Marie. Bien que Würtele ait été connu comme un juge sévère qui, dans ses dernières années, avait tendance à négliger la présomption d’innocence, ce fut lui qui ordonna en juin 1898 la tenue d’un nouveau procès pour Cordélia Viau et Samuel Parslow, accusés d’avoir tué le mari de celle-ci, Isidore Poirier. Würtele fit valoir que le tribunal présidé par Henri-Thomas Taschereau avait accepté et utilisé des preuves irrecevables.

En 1897, Würtele, fervent loyaliste, fit placer les armoiries royales au-dessus du siège de tous les juges de la province. La même année, il occupa la présidence de la United Empire Loyalist Association of Quebec. L’histoire du Canada et l’histoire naturelle du pays le passionnaient ; il fut d’ailleurs vice-président de la Société d’histoire naturelle de Montréal. Président du Club St James, il n’en fut pas moins à l’aise à la table d’honneur du banquet du cinquantenaire de la Société Saint-Jean-Baptiste. Il contribua à l’érection du monument des patriotes à Saint-Denis, sur le Richelieu. Ce monument commémorait un événement dans lequel son premier beau-père avait joué un rôle primordial. Non moins fier de ses origines allemandes, Würtele fut avocat-conseil honoraire de la Société allemande de Montréal.

Tôt le matin du 24 avril 1904, Jonathan Saxton Campbell Würtele mourut chez lui d’une hémorragie ; il était dans le coma depuis une soixantaine d’heures. Peu avant sa mort, il s’était converti au catholicisme, sous l’influence de sa femme, présume-t-on. Célébrées au Gesù à Montréal par l’archevêque Paul Bruchési*, ses funérailles attirèrent une foule nombreuse.

Carman Miller

Le Répertoire de l’ICMH fait mention de plus d’une dizaine d’exposés au jury présentés par Jonathan Saxton Campbell Würtele et de plusieurs discours qu’il a prononcés à l’Assemblée législative du Québec.

AN, MG 25, 438 ; MG 30, D129.— ANQ-M, CE1-63, 7 janv. 1854.— ANQ-Q, CE1-61, 19 févr. 1828.— Musée McCord (Montréal), Wurtele papers.— Montreal Daily Star, 25 avril 1904, 17 juin 1910.— Annuaire, Montréal, 1850–1886.— Borthwick, Hist. and biog. gazetteer.— Pauline Cadieux, la Lampe dans la fenêtre : étude de mœurs sociales et de criminologie (Montréal, 1976).— Yves Caron, « The trust in Quebec », Rev. de droit de McGill (Montréal), 25 (1979–1980) : 421–444.— McGill Univ., Annual calendar (Montréal), 1862–1870.— D. N. Mettarlin, « The Quebec trust and the civil law », McGill Law Journal (Montréal), 21 (1975–1976) : 175–241.— Québec, Assemblée législative, Débats, 1875–1880.— RPQ.— Rumilly, Hist. de la prov. de Québec.— J.-I. Tarte, 1892, procès Mercier : les causes qui l’ont provoqué, quelques faits pour l’histoire (Montréal, 1892).

Bibliographie générale

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Carman Miller, « WÜRTELE, JONATHAN SAXTON CAMPBELL », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 13, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 19 mars 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/wurtele_jonathan_saxton_campbell_13F.html.

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Auteur de l'article:    Carman Miller
Titre de l'article:    WÜRTELE, JONATHAN SAXTON CAMPBELL
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 13
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1994
Année de la révision:    1994
Date de consultation:    19 mars 2024