.
En juin, son bataillon fut dépêché au fort Frontenac (Kingston, Ont.) pour constituer la garnison, puis il prit part à la capture d’Oswego [V. Montcalm]. Il reçut une pension de 500ª en récompense
attaqué par une troupe commandée par Montcalm ; James Mercer, l’officier qui commandait le fort
Montcalm* et l’aide de camp de ce dernier, le capitaine Louis-Antoine de Bougainville, mais il eut à faire face sur-le-champ à l’hostilité de Vaudreuil et de Lotbinière. Pontleroy se plaignit au ministre
On peut trouver quelques références à Saint-Ours aux AN, Col., C11A et dans le Journal du marquis de Montcalm (Casgrain). Cependant, les documents les plus intéressants et les plus
décidé de capituler sans offrir de résistance. Montcalm note au sujet de Villeray : « c’est des
lettres prophétiques dans lesquelles Montcalm* prédisait à l’avance la prise du Canada parles Anglais et la rébellion des Treize Colonies
la Vocation de Paul), six pièces de théâtre historiques (Colomb dans les fers, la Découverte du Canada, Champlain, Maisonneuve, Dollard, Montcalm ou la Trahison) et trois drames bibliques
. Durant l’été, il commande l’avant-garde des forces de Montcalm* qui, le 11 août, cerne les forts de la région d’Oswego (New York
Montcalm* détruisirent la base américaine fortifiée de Chouaguen (ou Oswego ; aujourd’hui Oswego, New York), ce qui valut aux Français la maîtrise des Grands Lacs. En 1757, le fort George (également
Montcalm*. En 1818, il devint membre du conseil d’administration de l’Institution royale pour l’avancement des sciences [V. Joseph Langley
Montcalm au soir du 14 septembre 1759. Outre que le curé de Québec était à cette date M. Jean-Félix
Montcalm*, qui fut, lui aussi, selon Guy Frégault*, « de la cour de la grande
monument à la mémoire de James Wolfe* et de Louis-Joseph de Montcalm* de son
[Rigaud] et du marquis de Montcalm*. Ramezay, responsable de la défense de la haute ville, a sous ses ordres 700 soldats et
Montcalm* au fort Carillon (Ticonderoga, New York). Mais certains se méfiaient de Péan ; en effet, André Doreil*, qui chargea le lieutenant
Montcalm*, dans la région du lac Champlain. Au cours de l’hiver de 1757–1758, il se trouvait à Québec où il fréquentait la bonne société et s’adonnait au jeu. L’été suivant, il était fait prisonnier par
Desandrouins*, l’ingénieur inexpérimenté de Montcalm, afin d’établir des ouvrages de fortification. La
professionnelles limitées qui se trouvait dans le pays depuis de nombreuses années et que Montcalm*, commandant des troupes régulières françaises
. Éclaireurs vigilants, ils multiplient les raids dans les colonies anglaises. Un an plus tard, Montcalm fait