Montcalm* et de James Wolfe* (installées en mai 1894). Les deux groupes allégoriques, Poésie et Histoire et Religion et Patrie
.
Plus intéressé par la politique que par la pratique du droit, Le Sage se porte candidat pour l’opposition dans Montcalm, sous la bannière libérale modérée de Louis-Victor
1882 d’enquêter sur le Bureau des commissaires d’écoles catholiques romains de la cité de Montréal, qui se voyait dans l’obligation de fermer l’école Montcalm et de licencier des professeurs. Les membres
fonctions de président de la commission scolaire, de préfet de comté, de président de la Société d’agriculture du comté de Montcalm et de lieutenant de milice. Il adressa une pétition aux autorités afin
Casgrain. Ce dernier confia de nombreux et importants travaux d’impression à Demers, dont les deux tomes de son Montcalm et Lévis. Leur correspondance révèle que chacun veillait de près à
recours aux documents de l’époque pour tracer le portrait de l’Ancien Régime dans Montcalm et Lévis (Québec, 1891), Casgrain signait l’une de ses œuvres importantes. Ardent défenseur du peuple
naissante, incarnation du progrès et de la liberté des protestants anglo-saxons, à la Nouvelle-France, symbole de l’absolutisme catholique. Comme il l’écrivait dans Montcalm and Wolfe, paru en 1884
le faubourg Saint-Roch pour s’établir dans la haute ville. À l’automne de 1857, il brigue les suffrages pour un poste de conseiller municipal dans le quartier Montcalm, où sont regroupés la plupart des
-Julienne ; Saint-Jacques-de-Montcalm.— Allaire, Dictionnaire.— É.-J.[-A.] Auclair, Histoire des Sœurs de Sainte-Anne ; les premiers cinquante ans, 1850–1900 (Montréal, 1922
la « revenche de Montcalm [Louis-Joseph de Montcalm*] », à « la plus grande victoire que jamais nation ait accomplie
Cartier[*], le premier des navigateurs ; Montcalm [Louis-Joseph de Montcalm*], le premier des généraux français ; l’évêque
s’interrogeait sur le sort réservé au drapeau rapporté de la bataille de Carillon (près de Ticonderoga, New York) [V. Louis-Joseph de Montcalm
Parkman, de Montcalm and Wolfe, qui contenait un chapitre intitulé « Removal of the Acadians ». Pour rédiger ce chapitre, où il affirmait que la Déportation avait été
, l’année suivante, à l’occasion du centenaire de la mort de Louis-Joseph de Montcalm*, il amorce une vaste étude biographique sur ce
maison Montcalm à Québec (1759) », BRH, 8 (1902) : 337.— La Musique (Québec), I (1919) : 74.— P.-G. Roy, « La famille Glackmeyer », BRH, 22 (1916
1, 1871, Quebec City, Montcalm Ward : 82.— AVQ, Procès-verbaux du conseil, 1872–1877.— Canada Gazette, 23 août 1856.— Canada, prov. du, Statutes, août–oct. 1863, c.61
Leinster (scindée, en 1853, en L’Assomption et Montcalm). Préfet du comté de Leinster depuis 1848, il est réélu à l’unanimité en septembre 1854, pour un an, dans le comté de L’Assomption et, de nouveau, en
Saint-Jacques-de-l’Achigan (Saint-Jacques, comté de Montcalm) le 1er août 1844, du mariage de Joseph Dupuis, cultivateur, et d’Euphrasie Richard, d’ascendance acadienne, décédé à Montréal le 24
(Bibliothèque canadienne, « Collection Montcalm », Montréal, 1912).— Michel Dassonville, Crémazie (« Classiques canadiens », no 6, Montréal et Paris, 1956).— Gilles
, maire de Montréal, né le 17 janvier 1827, à Saint-Jacques-de-l’Achigan (comté de Montcalm), de parents irlandais, Francis Cassidy et Mary McPharlane, qui avaient quitté le comté de Cavan, en