gouverneur de la ville, Louis-Hector de Callière, construisaient une palissade destinée à renforcer les
. Callière mentionnait à son sujet dès 1701 : « bon officier ».
En 1689, il est nommé conseiller au Conseil souverain en l’absence
Callière et Bochart de Champigny au comte de Pontchartrain [Phélypeaux], le 18 octobre
Callière*, donna lieu à un fâcheux incident, « l’affaire du prie-Dieu ». À cette occasion, l’évêque jeta l’interdit sur l’église et plus tard sur les religieux eux-mêmes. Le père Hyacinthe
Callière* envoya Tareha à Québec, où Frontenac [V. Buade] consentit à l’échange. L’Indien avait présenté au
gouverneur de Callière répondit au message des deux chefs en leur envoyant à son tour deux ceintures de
rares personnes qui se soient gagné l’estime de Callière « et qui l’applaudissent avec une
Chevalier de Callière [Louis-Hector de Callière*], lequel l’envoya à Québec pour ensuite la faire passer en France », mais qu’elle
Français. En 1700, le gouverneur Louis-Hector de Callière le délégua, avec Augustin
, Callière, gouverneur de Montréal, l’envoie « au pied du long sault de la grande rivière se poster du côté nord dans le lieu qu’il jugera le plus propre pour en garder les deux bords
[chevalier de Saint-Flour], qui mourut à l’Hôtel Dieu de Québec. » Le gouverneur Louis-Hector de Callière
*], par Callière, par Champigny
.
Le gouverneur de Callière et l’intendant de Champigny
* des difficultés avec le gouverneur de Callière « qui se mesle de la justice et de la police comme
. Roy, Ce que le gouverneur de Callières pensait de nos officiers militaires en 1701, BRH, XXVI (1920) : 329 ; La famille Margane de Lavaltrie, BRH, XXIII (1917) : 42.
, tenue à Montréal du 3 au 8 septembre. À la suite du chevalier de Callière, de
Noro qui demandait au gouverneur de Callière de renvoyer Nicolas Perrot à la rivière Saint
Callière essaya d’amener toutes les nations autochtones à conclure entre elles une paix générale. C’est grâce à l’éloquence du chef huron
Louis-Hector de Callière l’envoya à Michillimakinac pour enquêter sur les agissements de Charles
Callière, lui confia la mission de se rendre en France, en 1698, informer le roi de la mort de Frontenac et solliciter en son nom le poste de gouverneur de la Nouvelle-France. Courtemanche plaida