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, Callière le dit bon officier er le recommanda de nouveau, « Sa Majesté ayant pardonné audit s. de Portneuf quelques petites fautes dont on l’avoit accusé » . Nommé une seconde fois
 
Callière, gouverneur de Montréal, qui avait la direction des plans de combat, et Philippe de Rigaud
 
Callière, il y fut très bien accueilli. Il présenta un collier de porcelaine choisi pour la circonstance et rappela que les missionnaires avaient tenté d’établir des liens amicaux entre les
 
Callière firent appel à ses services à maintes reprises ; il se fit leur émissaire auprès des Onontagués au cours des longues négociations qui aboutirent à la paix de 1701. Comme première
 
cours des trois années suivantes. En 1703, sous Callière (qu’il avait soutenu contre Vaudreuil
 
important propriétaire de la ville. Ses 23 propriétés, dont certaines très grandes, sont situées surtout à l’intérieur du périmètre de la vieille ville et à Pointe-à-Callière. Il a 61 locataires qui louent
 
autochtones, conclu à Montréal en 1701, Garnier traduisit en huron la harangue du gouverneur Louis-Hector de Callière
 
les postes de l’Ouest. Cette maladresse aurait pu ruiner sa carrière. Le gouverneur de Callière
 
Lajoüe eut des prolongements jusqu’en 1743. La carrière de Lajoüe bénéficia de l’administration énergique des gouverneurs Frontenac, Callière
 
, 225, 237, 260, 267, 269, 334.— Michigan Pioneer Coll., XXXIII : 483–485, 495–497, 506–508, 510–512, 517, 528–552, 554, 561, 572.— P.-G. Roy, Ce que Callières pensait de nos officiers
somme en une année. Puis, en 1688, Denonville envoyait son commandant en second, le gouverneur de Montréal, Louis-Hector de Callière
Vaudreuil, soit le gouverneur de Montréal, Louis-Hector de Callière, commandant de la colonie en cas
, prudemment, préféra soumettre le projet à Louis-Hector de Callière et à Jean
 
. Anderson s’établit comme marchand de porcelaine à Pointe-à-Callière, près du port de Montréal, où il reçut des marchandises dès 1841. Ses liens avec la Verreville Pottery lui furent sans aucun doute utiles
 
Callière, gouverneur de la ville, assistèrent à ce mariage. Deux ans après son mariage, M. Des Bergères quitta le commandement du fort
 
Callière, gouverneur de Montréal et ennemi acharné de l’évêque, rendait sa position encore plus difficile. Quand il osa s’opposer aux nombreuses restrictions et cas réservés imposés par Mgr de
Callière et Vaudreuil, du gouvernement de Montréal à celui de la colonie. Il fut déçu. On refusa de placer un Canadien à la tête de la Nouvelle-France à cause du népotisme dont avaient fait preuve
 
faire la traite des peaux de castors ne firent qu’irriter davantage les autorités de la Nouvelle-France et donnèrent lieu à une nouvelle série d’accusations de la part de Callière. En avril 1702, Le
 
, épousa Le Gardeur de Courtemanche. En 1702 celui-ci obtenait du gouverneur Callière* et de l’intendant François de
 
Callière que, pour se conformer à la demande de ce dernier, il amènerait son peuple à Détroit. La majorité des Outaouais tinrent promesse après 1702, en dépit de l’appréhension que leur
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