DCB/DBC Mobile beta
+

Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

              621 à 640 (de 649)
              1...29  30  31  32  33  
              demeures du grand-père Papineau. Après la mort de Louis-Joseph en 1871, lorsque l’été arrive, Napoléon loue de temps à autre une maison à Montebello ou des pièces au presbytère d’Augustin-Médard. Femme
              britannique. Il y épousa la jeune Margaret Shippen, fille d’un ancien juge en chef de la Pennsylvanie, une femme dont la beauté, à ce qu’on a prétendu, devait éblouir George III. Mais, à Philadelphie
              de 1859 à 1861 et en 1863–1864. Il exploitait un magasin général en 1866. Après son mariage en 1860 avec une femme de la région, O’Brien rangea son
              . John Fitzwilliam Stairs se maria deux fois. Sa première femme, Charlotte Jane Fogo, mourut de la diphtérie en 1886. En 1895, il épousa une veuve de 32 ans, Mme Helen Eliza Gaherty, dont il avait presque
              à la petite ferme paternelle aux abords d’Amherst. Son père, coministre à l’église baptiste locale, et sa mère, « femme pieuse et fervente », lui enseignèrent les vertus du travail acharné
              négoce, sa sœur, mariée à Paul Buisson, marchand voiturier, l’invita à venir habiter chez elle. D’abord, Marie assuma les besognes les plus obscures de la maison. Tour à tour cuisinière, femme de chambre
              avaient fini par s’installer dans le futur comté de Bruce, où leur petite-fille Mary Florence était née en 1872. William Thomas Diefenbaker et sa femme
              hypothèques sur plusieurs propriétés avoisinantes. Il eut quatre enfants avec sa femme, Elizabeth Johnson, surnommée Eliza, mais aucun ne survécut jusqu’à l’âge adulte. Ils adoptèrent de manière informelle le
              ’à cinq discours par jour. Il n’y avait pas suffisamment de femmes
              que celles de la femme remariée avant même que son mari n’eût été enterré, et de Martine Messier*, sauvée des Iroquois grâce à une ferme
              ). John Kelsey laissa trois fils, et Henry est le premier nommé dans son testament. Notre identification repose principalement sur les faits suivants : la femme d’Henry Kelsey était originaire d’East
               ; décédé dans cette ville le 7 mars 1914. En 1831, James Ross, cordonnier à Tain, en Écosse, immigra dans le Haut-Canada avec sa femme, leurs
              célibataire timide, riche et distingué de 36 ans eut la chance d’épouser Jean Wedderbum, âgée de 21 ans. Femme attrayante, intelligente et courageuse de
              Brant a été reprise par l’historien Lyman Copeland Draper. En 1879, une vieille Agnière du nom de Katy Moses, parente éloignée de la troisième femme de Brant, informa Draper que la mère de Brant
              mariage ne donne que 40 ans au mari. Dans les registres, il vieillira toutefois à un rythme plus accéléré que sa femme, car si celle-ci n’a toujours que 25 ans au recensement de 1716, 4 ans après le mariage
              femme, de même que de Chipman, de Jonathan Odell, de Gabriel George Ludlow et d’autres fonctionnaires
              hommes, sans compter les femmes et les enfants, et qu’ils avaient capturé un si grand nombre d’esclaves qu’on pouvait les aligner sur un front de quatre arpents. Dans son mémoire à Maurepas, en 1744, La
              missionnaires et les communautés de femmes – mais non point les jésuites, récollets et sulpiciens. L’expérience de Murray, pendant la guerre, ne l’avait nullement prédisposé en faveur du clergé. Il voyait en lui
              femmes, 600 enfants et 6 000 esclaves noirs, fut faite prisonnière. On s’empara de 24 vaisseaux anglais à l’ancre dans le port, des plantations, des marchandises, des archives et des bâtiments de la
              . Non seulement il mourut prématurément, après de grandes déceptions, mais, quelque cinq mois après son premier mariage, soit le 15 octobre 1845, sa femme, Mme Mary Weymouth, une veuve de 11 ans
              621 à 640 (de 649)
              1...29  30  31  32  33