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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              préservation fortuite demeurerait la contribution la plus considérable de ces deux femmes à l’histoire acadienne. En effet, l’aînée des Vénérande avait entretenu une longue correspondance avec son frère Otho
              . Eliza Ritchie grandit dans un milieu privilégié et reçut une éducation privée. Elle fréquenta la Dalhousie University en 1882–1883, l’année suivant les premières admissions de femmes au premier cycle
              Philharmonic Society ; on lui attribue certaines des premières représentations d’œuvres de Bach et de Mendelssohn au Canada, auxquelles sa femme participa souvent à titre de chanteuse ou de pianiste
              fondatrices reçoivent leur premier malade le 5 novembre. La population locale semble ressentir de la réticence envers ces femmes, dont elle se méfie et qu’elle craint de devoir soutenir financièrement. Les
               
              mars 1932 au même endroit. Il est difficile de décrire les premières années d’Ada Ramsay, comme celles de tant d’autres femmes nées en région rurale à
              femme Minnie et leur garçonnet Dennis quittèrent l’Angleterre pour le Canada en mai 1874. La famille s’établit d’abord à Toronto. Ernest George y trouva un emploi (l’annuaire municipal de 1877 le
               
              accompagné d’un chien, marchant dans le parc en pleine nuit ». En octobre, il fut admis au Nova Scotia Hospital for the Insane à Dartmouth ; sa femme, en proie à une dépression postnatale, l’y
               
              Victoria et s’y installa avec sa femme, son fils et ses quatre filles, dont Maria Heathfield. Le révérend Pollard ne tarda pas à assumer, e
              , et sa femme Marie Itchamipek. Une série d’alliances entre la progéniture des Piwapiskus et des Opikokew viendrait solidifier les liens étroits qui rattachaient les deux familles, dont
              ). Mary Martha Phillips, qu’on appelait May, fit ses études à Montréal, sa ville natale, au séminaire pour jeunes femmes de Mme Lucy Simpson et à l’école des Mlles Symmers et Smith. En 1872 et 1873, elle
              maison située à la périphérie de la ville, peut-être au moyen d’argent venant de la famille de sa femme, et était connu en tant qu’« homme cultivé et raffiné
              qu'il enseignait, il fit la connaissance d'une jeune femme de la région de Balcarres, Mary Elizabeth Stephens. Ils se marièrent en 1886 et, ensemble, commencèrent à bâtir une ferme appelée Bluffs
              retour rue Powell afin de fonder une mission catholique pour les Japonais, avec l’appui de l’archevêque. Secondée par quelques femmes bénévoles, elle donna des cours d’anglais et de catéchisme, et effectua
              , tailleur prospère, elle reçut une éducation postsecondaire ; rarement offertes aux femmes de cette époque, de telles études étaient toutefois compatibles avec la position sociale et la confession
               
              , Mlle McNaughton devint secrétaire-trésorière du groupe de femmes missionnaires de l’église First (Calvary) Baptist fondé par sa mère. À l’été de 1877, elle obtint son diplôme de la Victoria High School
              milieu des années 1890, elle voyagea à maintes reprises en Europe, et fit notamment un séjour marquant chez une tante à Glasgow. Elle découvrit là le Queen Margaret College, collège pour femmes associé à
              contribuerait à améliorer les perspectives d’éducation offertes aux femmes au Nouveau-Brunswick à la fin du xixe siècle et au début du xx
              , William Anderson habitait dans l’Ouest américain depuis de nombreuses années et était retourné en Écosse dans un but précis : trouver une femme qui pratiquerait l’agriculture avec lui dans les plaines
              baptiste pour femmes en Illinois, le Mount Carroll Seminary. Elle entreprit ensuite des études de troisième cycle à la University of Chicago, à laquelle le collège s’était affilié en prenant le nom de
              l’engagement évangélique de leurs parents en donnant généralement leur appui à l’éducation des femmes. William Muir travailla dans l’entreprise familiale. Par contraste, la mère de Henrietta Louise, Jane
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