avec Bomoseen à la tête de partis d’Indiens abénaquis lors de l’attaque d’Oyster River (Durham, N. H.) en juillet. Buade* de Frontenac

Cavelier* de La Salle : la dite concession est bornée par celle du sieur You, sergent de la garnison du fort Frontenac. Pierre You accompagnera par la suite La Salle dans ses expéditions

gouverneur Frontenac [Buade*] l’envoya patrouiller les environs du fort Frontenac (Kingston), à la recherche d’Iroquois, dans l’espoir d’obtenir d’eux

confiance des Indiens, malgré sa petite taille. Après un apprentissage comme commandant en second au fort Frontenac (Kingston, Ont.) en 1727 et 1728, il fut affecté au poste de Détroit en 1731. À

détails touchant la carrière de Louis Aubert de La Chesnaye. Il eut pour parrain et marraine des personnages aussi importants que le gouverneur Frontenac

régions des forts Frontenac (Kingston, Ont.) et Niagara (près de Youngstown, N.Y.), et celle de l’Ohio puis rentra à Montréal le 10 novembre. Il avait constaté que les nations indiennes passaient de plus en

Frontenac (Kingston, Ont.) et Niagara fussent largement approvisionnés en marchandises destinées à la traite et que la couronne subventionne leur commerce afin de les rendre aptes à faire concurrence aux

pour affaires privées ; en 1734, il était nommé au fort Frontenac (Kingston, Ont.). L’année suivante, il fut envoyé au fort Niagara (près de Youngstown, N.Y.), et en 1736, lorsque le commandant du

lac Ontario. Il prit part également aux expéditions dirigées par Denonville [Brisay*] et par Frontenac

, semble-t-il, au cours des années 1690 et 1696, aux expéditions de Frontenac [Buade*] contre les Anglais et les Iroquois. Dans une lettre

, on lui confia le commandement du fort Frontenac (Kingston, Ont.), où on rassemblait les troupes en prévision de l’opération. Le 5 août, Montcalm, accompagné de Bourlamaque et de la plus

d’informateurs de Joncaire négligea de donner l’alerte qui aurait pu empêcher le fort Frontenac (Kingston, Ont.) d’être pris par John Bradstreet* en août

Sabrevois*, Sault-Saint-Louis (Caughnawaga, Québec) et le fort Frontenac (Kingston, Ont.). À mesure qu’il avançait vers l’ouest, guidé par Jacques Hertel de Cournoyer, Charlevoix, à chaque étape du voyage

l’attaque tant du fort Frontenac (Kingston, Ont.) et du fort Niagara (près de Youngstown, N.Y.) que du fort Saint-Frédéric (Crown Point, N.Y.) sur le lac Champlain. Pour Vaudreuil, les deux premiers plans

défenses de la ville. En 1691, Frontenac [Buade*] visita la ville, et le travail du jeune officier l’impressionna si favorablement qu’il le promut

, semble-t-il, puisqu’il fut nommé, par la Compagnie de la Colonie, trafiquant de fourrures pour cinq ans au fort Frontenac (Kingston, Ont.). Nul doute que son commerce fut prospère, car lorsque la compagnie

la Marine, François de Galiffet était nommé dès l’année suivante commandant à Trois-Rivières. En 1692, dans un mémoire au gouverneur Frontenac

. Au printemps de 1738, Hocquart envoya Gaudron vérifier les livres des gardes-magasin du roi aux forts Niagara (près de Youngstown, N.Y.) et Frontenac (Kingston, Ont.). Le roi se réservait le

abandonna son poste en 1668, et Talon*, puis Frontenac [Buade*], lui concédèrent des

remplaça Alphonse Tonty* comme commandant du fort Frontenac (Kingston, Ont.), où il dut souvent faire usage de nombre de dialectes indiens qu’il