journal de Niagara indiquait avoir reçu le premier numéro. En 1835, Cawdell lança un autre périodique du même nom. Convaincu que la colonie avait « alors atteint un stade de développement
d’Angleterre l’Église établie dans la colonie. La même année, en juillet, son nom figurait en tête de la pétition que les propriétaires du district de Home adressèrent au gouvernement impérial en faveur du
frère Daniel, connu sous le nom de sieur de Chabert et de Clausonne, fut une figure éminente dans la région de Niagara au cours de la guerre de Sept Ans. Impliqué dans « l’affaire du Canada
Mohawks le nommèrent chef honoraire du clan de la Tortue. Le nom Shagotyohgwisaks, c’est-à-dire « celui qui cherche à rassembler les gens », lui fut donné parce qu’il avait préconisé la formation
rédaction, n’ignore pas l’ampleur du travail. Dans de gros registres, il note les noms des tenanciers et délimite chacune des parcelles en prenant en considération sa taille, son emplacement, son habitat, son
xixe siècle, le nom de Jean-Charles Chapais est écrit en caractères bien lisibles et ineffaçables dans les institutions et dans l’histoire de Saint-Denis
mission iroquoise (haudenosaunee) de Saint-François-Xavier, à Sault-Saint-Louis (Kahnawake, Québec). En 1677, on trouve son nom inscrit aux registres de Laprairie et de Lorette. Cette année-là Kateri
Quiblier*, supérieur du séminaire de Saint-Sulpice à Montréal. Au nom de Mgr Jean-Jacques Lartigue, évêque
. Bien que Chewett ait fait la carte de nombreux cantons et districts, ainsi que celle de la province, son nom ne figure que sur une seule carte publiée, qui parut à Londres en 1813. Après la mort de
1835, il délivra des permis de magasin et de taverne au nom du secrétaire de la province. À cette fonction s’était ajoutée, le 2 avril 1834, celle de coroner de Trois-Rivières. En novembre 1835
hospitalité de Christie. Par contre, un prospecteur américain du nom de John W. Jones, qui s’arrêta au fort Edmonton en 1858 avant de poursuivre sa route vers les placers du fleuve Fraser, ne garda pas un
les mémoires de John, James et son frère aîné, Peter, devinrent marchands à Montréal ; le nom de Peter apparaît sur les rôles des permis de traite avec les Indiens pour les années 1782 et
commença à tenir régulièrement une chronique d’agriculture dans le Montreal Witness ; il la signait « Lindenbank », du nom de la ferme qu’il possédait en bordure de Guelph
la retraite en 1696 avec une pension de 600# par an. Après cette date, son nom ne figure plus sur le rôle des officiers des troupes de la colonie. On peut dire de lui qu’il personnifiait toutes les
fit la connaissance vers juillet 1789. On ne connaît pas le nom de cet homme, mais on sait qu’il habitait à 40 milles de Fredericton et que Cobbett courtisa sa fille. Il faillit d’ailleurs l’épouser
*, servirent dans ce qui deviendrait le Canada. Douglas Mackinnon Baillie Hamilton Cochrane, second fils d’un capitaine aristocrate, mais sans éclat, de l’armée britannique, connu sous le nom de lord Cochrane
Belhaven Henry Cochrane, Hugh Graham ainsi que les frères Ted et Frank Jenkins formèrent la Little Bow Cattle Company, connue sous le nom de CC Ranch à cause de la marque qu’elle apposait sur son bétail. En
ouest du Haut-Canada. L’île Cockburn ainsi qu’un hameau et un canton du district de Manitoulin portent son nom en souvenir de sa participation à cette tournée. L’année suivante, Cockburn visita la
douanes, et d’Elizabeth Barnes ; le 3 avril 1811, il épousa Elizabeth Browne Greenly, après quoi il prit le nom et les armoiries des Greenly pendant deux ans ; décédé le 23 juillet
*]. À compter de 1788, au moins, il remplit les fonctions de sous-inspecteur des forêts et sous-inspecteur général de police à Québec. L’année suivante, son nom figura au nombre des propriétaires du