de Gand), commissaire général de la Compagnie des Cent-Associés, bienfaiteur des missionnaires et des Amérindiens, décédé à Québec le 20 mai 1641
ROQUEMONT DE BRISON, CLAUDE, amiral de la flotte de la Compagnie des Cent-Associés en 1628
Daniel, de Dieppe, membre de la Compagnie des Cent-Associés, captura et rasa le fort et emmena les colons à Cibou (St. Ann’s, Cap-Breton), où ils demeurèrent environ cinq semaines avant d’être ramenés en
« de controlleur général, d’Intendant et de Juge Souverain audit pays de Canadas », octroyée par la Compagnie des Cent-Associés, seigneur du pays. Aussitôt, il entreprit de vérifier toutes les
fut le premier à se qualifier, dans les actes qu’il rédigeait, de notaire royal. C’était en prendre gratuitement le titre puisque, de 1627 à 1663, la Compagnie des Cent-Associés détenait le droit de
excellent prestige dans les milieux officiels, car le 2 janvier 1651 son nom est proposé au roi par la Compagnie des Cent-Associés, avec celui de
originaire de Clermont-Ferrand, en Auvergne.
En 1636, un certain Bertrand de Champflour est membre de la Compagnie des Cent-Associés et
DANIEL, CHARLES, capitaine de navires, membre de la Compagnie des Cent-Associés, fondateur du fort Sainte-Anne au Cap-Breton, second
JUCHEREAU DES CHATELETS, NOËL, licencié en droit, membre de la Compagnie des Cent-Associés et commis général de la Communauté des
faire tenir des postes clefs de son administration durant 30 ans à venir. Quand Richelieu résolut de former la Compagnie des Cent-Associés, Jean de Lauson en fut un des premiers membres, agréé le jour
ce but, en 1864, ils créèrent la Fonderie canadienne à Lévis qui fut dirigée par la société D. Lainé et Compagnie. Six ans plus tard, à l’arrivée d’un troisième associé, Pierre-Sévère Riverin, la
Monts). De toute évidence, un coup de barre s’imposait. Au début de l’année 1663, le monarque acceptait la démission de la Compagnie des Cent-Associés. La Nouvelle-France redevenait
Kirke. Sans doute pour le récompenser des bonnes relations qu’il avait entretenues avec les Indiens, la Compagnie des Cent-Associés lui accorda, par un titre daté de Paris le 16 décembre
.
La famille de Caën détint le monopole de la traite vers les années 1620–1627 ; en 1628, il fut partagé avec la compagnie des Cent-Associés jusqu’en 1632, alors qu’il fut accordé de nouveau
NICOLLET DE BELLEBORNE, JEAN, interprète et commis de la Compagnie des Cent
de rôle marquant dans l’entreprise.
Malgré les difficultés du début, la compagnie prospéra, à en juger par ce que les associés prétendirent avoir
société paya à ses actionnaires un dividende de 32 p. cent. L’année suivante, les Torrance entrèrent dans la compagnie et David
était lui aussi libraire ; Étienne, Ignace et Thomas, qui arrivèrent probablement à Québec avec Charles, au plus tard en 1636. Ils emmenaient leur mère, qui était veuve. La Compagnie des Cent
LETARDIF, OLIVIER, interprète, commis général de la Compagnie des Cent-Associés, juge prévôt de la seigneurie de Beaupré, né en
établi un poste à Miscou, peut-être en vertu d’une concession de la Compagnie des Cent-Associés. En 1647, Menou