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À six ans, soit en 1832, Édouard Masson quitta Montréal. Son père venait d’acheter la seigneurie de Terrebonne. Le nouveau seigneur, qui était déjà « le plus grand et le plus riche marchand de
Marguerite-Adèle Kelly, cohéritière de la seigneurie de Rimouski, lui permet d’entrevoir un avenir prometteur
VETCH, SAMUEL, commandant de la garnison d’Annapolis Royal, gouverneur de la Nouvelle-Écosse et auteur d’un plan pour la conquête de
l’abandonner publique m[en]t apres l’avoir autant soutenu. » En même temps, La Forest avait accepté, en indemnisant Lamothe, d’exploiter le poste avec les bénéfices de la seigneurie et d’un privilège
maître d’école, né vers 1611 dans le diocèse de Paris, fils de Claude Souart, apothicaire de Son Altesse royale, et de Magdeleine Le Caron, décédé le 8 mars 1691 à Paris et inhumé le lendemain dans la même
, la Compagnie des Indes occidentales, à qui il concédait la Nouvelle-France en toute propriété, justice et seigneurie. Le roi se réservait toutefois le privilège de délivrer lui-même leurs commissions
BEAUHARNOIS DE LA BOISCHE, CHARLES DE, marquis de BEAUHARNOIS, seigneur de Villechauve, officier de marine, gouverneur général de la
dans des campagnes contre des établissements anglais à Terre-Neuve et à la baie d’Hudson. Envoyé en Louisiane dès 1699, aux côtés de son cousin Pierre Le Moyne d’Iberville, il participe à plusieurs
ROCBERT DE LA MORANDIÈRE, ÉTIENNE, garde-magasin du roi, subdélégué de l’intendant
seigneurie de Brisay, sur la rive gauche de la rivière Vienne, remonte au xie siècle.
Pierre de Brisay, né
, Debartzch commence à acquérir des propriétés foncières. En 1802, il prête foi et hommage pour une partie de la seigneurie de Saint-Hyacinthe. Admis au barreau le 9 juillet 1806, il part le mois suivant en
avait été fort profitable car il se lança dans d’importantes transactions. Il fit l’achat notamment de la seigneurie de Loire en Aunis et, de concert avec Iberville, il acquit du trésor royal un certain
l’Hôtel-Dieu de Montréal, devant le notaire A. Demontreau à La Rochelle, le 8 juin 1659. Par cet acte, il devenait serviteur de l’hôpital de Ville-Marie à un salaire annuel de 75#. Dès l’automne, il
à Plaisance (Placentia) ; circa 1699–1712.
Originaire de la paroisse de Saint-Nicolas de Paris, Loppinot reçut une
Nicolas Le Verrier, seigneur de Boisguibert, et de Madeleine Houdon, inhumé le 7 novembre 1732 à Québec.
Le Verrier fait d’abord une
classe, il était d’une grande prodigalité et criblé de dettes. En octobre 1648, il épousa en secret Anne de La Grange, fille du seigneur de Trianon et de Neufville, riche maître des requêtes. Elle était
l’exploitation forestière et à la culture du chanvre, mais il ne posséda aucune seigneurie et il ne semble pas qu’il ait prêté de l’argent aux colons. Contrairement à
, devient en janvier 1624 baron du Cap-Tourmente, fief qui englobe le cap, l’île d’Orléans et quelques autres îles ; dès 1626, il porte le titre de seigneur de La Motte ; en 1640, il ajoute à
judiciaires. En 1739 et 1740, il fut juge de la seigneurie de Boucherville et, le 13 novembre 1744, il recevait une commission de greffier pour la juridiction de Montréal où il remplit aussi
magasin de Québec. L’ex-propriétaire de La Friponne avait toutefois eu tout le loisir de s’enrichir et, le 28 octobre 1754, il achetait la seigneurie de la Rivière-du-Loup-en-haut, sur le lac