roi, colon, le premier des d’Entremont de la Nouvelle-Écosse, né en Normandie (probablement à Cherbourg) vers 1601 (ou 1609), décédé vers 1700 (ou 1701) en Acadie
.
En 1653, Eustache Lambert acquit une terre à la Pointe-Lévy, dans la seigneurie des Lauson. C’est là qu’il
MESSIER, dit Saint-Michel, MICHEL, lieutenant de milice, seigneur, traiteur, né en 1640 à Saint
.
Gaillard fit l’acquisition, le 20 mars 1712, pour 24 000# cours de France, de la seigneurie de l’île et comté de Saint-Laurent (île d’Orléans), qu’il acheta de François Berthelot, conseiller
FORGET DUVERGER, JACQUES-FRANÇOIS, prêtre, missionnaire, supérieur de la mission des Tamarois, originaire du diocèse d’Angers, France
preuves et il leur remet leurs titres de concession. Les droits seigneuriaux sont minimes : juste ce qu’il faut pour subvenir aux besoins communaux, car il cultive lui-même ses terres. La seigneurie
LESSARD, ÉTIENNE DE, pionnier de la côte de Beaupré, seigneur de l’Île-aux-Coudres
IRUMBERRY DE SALABERRY, IGNACE-MICHEL-LOUIS-ANTOINE D’, officier dans l’armée et dans la milice, seigneur, homme politique, juge de
Legardeur de Repentigny. En 1733, Noyan avait obtenu la concession d’une seigneurie sur la rivière Richelieu, qui fut connue sous le nom de Noyan, et, en 1740, une autre sur la rivière Outaouais
Québec et l’installation d’un seigneur écossais, James Stewart, Lord Ochiltree, au port de la Baleine, d’où il
Chambalon* posséder 60 000# en biens meubles et immeubles. Dans cette somme était incluse la seigneurie de Kamouraska « prisée et estimée » à 15 000#, que Louis Aubert Duforillon et
, il en était réduit à la seule fonction de greffier, qui ne lui procurait guère de satisfaction. Dans une lettre qu’il adressa à cette époque au seigneur Louis Couillard Des Islets, il comparait la
l’évacuation des populations, de la seigneurie de L’Islet-du-Portage jusqu’à Rimouski. Il participa à la bataille des plaines d’Abraham ; il fut blessé et fait prisonnier par les Britanniques qui
VIENNAY-PACHOT (Vieney-Pachot), FRANÇOIS, seigneur, commerçant, directeur de la Compagnie du Nord, capitaine de
1684, fils de Michel Poulin, seigneur du fief de Saint-Maurice, et de Marie Jutra ; il épousa Madeleine-Louise Le Boulanger au Cap-de-la-Madeleine, le 19 novembre 1717 ; décédé
Damours, seigneur de Jemseg, un des compagnons d’armes de Jean-Vincent à la prise de Pemaquid (1696). En décembre, les sœurs du baron épousaient respectivement Philippe Mius d’Entremont et
BÉCART DE GRANVILLE ET DE FONVILLE, PAUL, officier dans les troupes de la Marine, seigneur, né à Québec le 18 janvier 1695, fils de
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Jean Bouillet était de descendance noble ; son père était avocat au parlement de Paray et seigneur du fief de la Chassagne. Aussi cette noblesse familiale lui a-t-elle permis de songer à faire une
. En récompense pour ses services, Bienville reçut du roi, en octobre 1716, la concession de l’île à Corne (île Horn), sur la côte du golfe, non pas en seigneurie tel qu’il l’avait demandé, mais en
Desauniers était issu d’une famille bien établie dans les affaires. Son oncle, Étienne Charest, le seigneur de Lauzon, possédait un gros commerce à Québec. C’est peut-être à la suggestion de celui-ci que