161 à 180 (de 534)
1...7  8  9  10  11  ...27
 
l’armée et dans la milice, seigneur, né le 16 septembre 1716 à Montréal, troisième fils de Louis Liénard* de Beaujeu et de
 
1644, de l’Ermitage de Caen, qui joua un rôle remarquable dans l’histoire religieuse de la France. Après les divisions et guerres de religion qui suivirent la réforme de Luther, le besoin d’un renouveau
 
titre. Une sœur, Jeanne, était demoiselle d’honneur de Marie Stuart. Jean reçut la seigneurie de Marsilly-sur-Seine en 1565 et il devait hériter de la seigneurie de Champagne, qui comprenait la baronnie
 
LE COQ DE LA SAUSSAYE, RENÉ, agent et lieutenant d’Antoinette de Pons, marquise de Guercheville, en Acadie, résidant ordinairement à
 
], le lièrent étroitement à la noblesse canadienne. Quand naquit Marie-Anne-Louise, son père était depuis déjà sept ans propriétaire de la seigneurie
Denys, soit aux îles de la Madeleine, à Chedabouctou ou à Percé. Ce démembrement de sa seigneurie lui causa de grands soucis. Pendant les dernières années de sa vie, l’effritement de son domaine d’Acadie
 
ministre d’autres plaintes contre Joseph Robinau : les seigneurs et les habitants de la rivière Saint-Jean, en particulier, accusent le gouverneur de «menaces et mauvais traittemens » à leur égard
, Gustave Joly prend au sérieux son nouveau rôle de seigneur. En effet, sa femme a hérité de la seigneurie de Lotbinière en 1822. Tout en conservant ses droits de propriété, elle reconnaît à son mari les
 
-Maurice continuèrent leurs opérations jusqu’en 1883. En avril 1737, Cugnet obtint la seigneurie de Saint-Étienne, qu’il convoitait depuis longtemps
 
habitation dans la seigneurie de Saint-Ours, avec l’intention de s’établir au pays, mais il quitte la Nouvelle-France en 1701. L’historien Claude de Bonnault prétend que son rappel est dû à des démêlés avec
 
). Toutefois, l’inimitié de Duchesneau n’eut pas beaucoup d’influence sur le roi qui, en mars 1681, érigeait la seigneurie de Portneuf en baronnie. René Robinau avait obtenu ce fief de son beau-père
RAMEZAY, CLAUDE DE, écuyer, lieutenant et capitaine dans les troupes de la marine, commandant des troupes, seigneur, chevalier de
 
Fidelle » au roi d’Angleterre, reconnu comme « le Souverain Seigneur de la Nouvelle-Écosse et l’Acadie ». Pourtant le 25 avril La Goudalie et Noinville rédigèrent un certificat
 
-Baptiste Neveu*, seigneur de Lanoraie et Dautré et colonel de la milice du gouvernement de Montréal, et de Françoise-Élisabeth Legras ; de
 
ROBINAU DE BÉCANCOUR, PIERRE, baron de PORTNEUF, chevalier de Saint-Louis, seigneur de Bécancour, procureur du roi, grand voyer de la
 
Grant*, futur seigneur de Saint-Roch, l’arrière-fief de la Mistanguienne – aussi connu sous les noms de Grandpré et de Montplaisir – dépendant de la seigneurie de Notre-Dame-des-Anges, qu’il
 
Rigaud de Vaudreuil, commet ce dernier pour les recevoir tous trois. Le 30 octobre de la même année, les Sulpiciens, seigneurs de Montréal, accordaient à Crisafy à titre de fief noble, sans
superficie, sur la rive sud de Montréal, taillés à même l’immense seigneurie de La Citière. À ce fief vinrent s’ajouter en 1665 les concessions de l’île Sainte-Hélène et de l’île Ronde. En 1669, il avait un
 
Blaise* Des Bergères de Rigauville la seigneurie de Berthier-en-Haut au coût de 6 000#, calculant que c’était un investissement avantageux. En 1721, il expliqua, qu’« ayant déjà dépensé de
 
 ! Lorsque, en 1669, les Jésuites, seigneurs du Cap-de-la-Madeleine, donnèrent une commission de notaire, procureur fiscal et greffier à Cusson, l’intendant
161 à 180 (de 534)
1...7  8  9  10  11  ...27