181 à 200 (de 534)
1...8  9  10  11  12  ...27
, fut le premier seigneur de Saint-Augustin. Au cours des deux siècles suivants, la famille Juchereau s’est apparentée à toute la noblesse de la région de Québec
 
, il hérita d’une seigneurie à Miramichi, celle- même qui avait été promise à son père en 1687. Il s’y établit lui-même sur la rive nord de la rivière, vis-à-vis du remous (« tickle ») qui se
CHARTIER DE LOTBINIÈRE, RENÉ-LOUIS, écuyer, seigneur, substitut du procureur général, conseiller, lieutenant général au siège de la
Le marchand et seigneur Jacques Le Ber (mort en 1706) a été l’un des hommes les plus riches et les plus respectés de la Nouvelle
 
, greffier, juge sénéchal, praticien et seigneur, né vers 1656 (selon le recensement de 1716), fils de Jean de La Cetière et d’Anne de Bier, de Poitiers, inhumé à Québec le 30 octobre 1728
Charles-Joseph d’Ailleboust Des Muceaux. Marie Favery reçut en héritage les seigneuries de Repentigny et de Bécancour, que son mari avait obtenues en 1647. Elle fut, en 1657, la fondatrice de la
en avance d’hoirie une somme de 10 500#. La seigneurie de Lotbinière lui était échue en partie à la mort de son père en 1709 et il en devint l’unique propriétaire en 1713, après que son frère
. Toutefois, incapable de prendre la relève du seigneur, il reconnaît que seule la création de manufactures peut enrayer l’émigration vers les États-Unis
 
RAUDOT, ANTOINE-DENIS, commissaire et inspecteur général de la Marine, économiste, intendant des classes, conseiller
 
au poste de major des troupes de la Nouvelle-France et siégea à sa place au conseil de guerre. On lui concéda, à la même époque, une seigneurie sur le lac Champlain. Cette année- fut riche en
 
. Arrivé au Canada le 6 juillet 1734, Chevalier se range cependant sous la houlette des sulpiciens qui lui assignent la fonction d’assistant du curé-seigneur de Terrebonne, Louis
 
qui La Vallière, seigneur de Beaubassin (Chignecto), qui avait reçu le commandement de l’Acadie en 1678, avait vendu des permis en vue de la pêche le long de la côte et de l’utilisation des ports
 
concession (parfois désignée à tort comme seigneurie) le long de ce qui est aujourd’hui la côte du Québec et du Labrador, en bordure du détroit de Belle-Isle. Le domaine s’étendait de la rivière Kegaska
 
s’établit définitivement à Sainte-Anne-de-la-Pérade. Il y exerça d’abord son métier de forgeron, puis il se mit à la culture du sol. Le 24 juillet 1747, le seigneur du lieu, Pierre-Thomas
 
dépendances sur une terre de la seigneurie d’Argentenay, en l’île d’Orléans ; mais comme il « n’a pas trouvé occasion de se pouvoir habituer audit lieu pour cause d’incommodités qui s’y rencontrent
 
Prévôté et à l’Amirauté de Québec. Le 17 octobre 1739, il succédait à Jacques Barbel* comme juge bailli de la seigneurie de Beaupré
 
Ursulines de la Nouvelle-France, née à Québec le 28 août 1644, fille de Jean Bourdon*, ingénieur arpenteur et procureur général de la Nouvelle
. Cuthbert se tailla une place dans la société en achetant, le 7 mars 1765, la seigneurie de Berthier, où il se fit construire un manoir, et en acquérant, entre 1770 et 1781, la seigneurie Du Sablé, dite
 
Bégon lui accordait une commission de notaire royal pour exercer dans l’étendue de la Prévôté de Québec. Quatre ans plus tard, le 20 janvier 1730, il succédait à son père, décédé
auprès de grands seigneurs, elle ne lui donnait pas accès à des responsabilités prestigieuses dépendant directement du roi ou réservées à la grande noblesse, ce qui explique qu’il n’ait jamais porté le
181 à 200 (de 534)
1...8  9  10  11  12  ...27