Frobisher*. Au fil des années, Rocheblave acquit aussi au moins 12 terres, sinon davantage, dans les seigneuries de Châteauguay et de La Salle. Il affermait ces terres, tout comme il louait ses
seigneur Pierre Boucher* de Boucherville, épousa le major John Lennox. Du côté de ses compatriotes, la famille s’unit à Jacques
[La Croix], supérieur de diverses communautés. religieuses, neuvieme supérieur du séminaire de Québec, vicaire général, né en 1645 à Vannes en Bretagne, décédé le 1er juillet
alors de la cure de la paroisse Sainte-Madeleine, à Rigaud, et de la desserte de la seigneurie de la Petite-Nation. Le 16 février 1832, il se vit confier la paroisse Sainte-Famille, à
lui Claude de Pontbriand (fils d’un seigneur de Montréal, du Languedoc), Charles de La Pommeraye, Jehan Poullet, auteur présumé de la relation du deuxième voyage, et quelques gentilshommes. Guillaume Le
Grandes Épreuves (1638–1640)).– Marcel Trudel, Histoire de la Nouvelle-France (6 tomes en 7 vol., Montréal, 1955–1999), vol. 3 (la Seigneurie des Cent-Associés, 1627–1663), tome 2
déclarations des seigneuries de la colonie). Le travail, dont la durée impatientait quelquefois le ministre, ne fut terminé que huit ans plus tard. Le 4 octobre 1740, Hocquart informa le
l’incendie, les pauvres peuvent regagner leur logis. Elle vend une terre de Chambly qui donne un rendement médiocre, et achète de l’une de ses pensionnaires, Marie-Anne Robutel de La Noue, la seigneurie
fit d’abord forgeron. Il aimait bien quitter parfois la musique de l’enclume pour écouter l’unique piano de son village, chez le seigneur de Saint-Hyacinthe, Jean
LEFEBVRE DUPLESSIS FABER (Fabert), FRANÇOIS, seigneur, officier dans les troupes de la Marine, né
.
La famille Papineau avait commencé à sortir de l’ombre avec le père de Louis-Joseph, Joseph Papineau, arpenteur et notaire, qui, à l’occasion, construisait des moulins et gérait des seigneuries. Homme
seigneur ; né en France vers 1644, fils de François Perrot, lieutenant de justice de la baronnie de Darcey en Bourgogne, et de Marie Sivot ; mort le 13 août 1717 à Bécancour et inhumé le
permission de poursuivre ses explorations, puis la concession d’une seigneurie dans les territoires qu’il pourrait découvrir. Si on lui avait accordé cette requête, il se serait sans doute taillé un empire
montrera une image d’homme du peuple qui tranchera avec ses origines bourgeoises. Sa mère, Diane Dionne, est fille de médecin et appartient à la lignée des seigneurs de Tilly, près de Québec. Originaire de
habilitait Mondelet à agir à titre de notaire du gouvernement et de l’armée. Un de ses principaux travaux consista à dresser toutes les concessions foncières de la seigneurie de la couronne à Sorel ainsi que
Saint-Augustin avec Jacques Perrault*, dit Perrault l’aîné. En 1766, il acheta de Dunn un tiers de la seigneurie de Mille-Vaches, située elle
-Dessaulles dans la carrière de Bourassa mérite une étude fouillée de même que les filières oblate et dominicaine. On n’a pas non plus étudié Bourassa comme administrateur de certaines parties de la seigneurie
seigneurie de Mingan où la Hudson’s Bay Company avait loué les droits de traite et de pêche jusqu’en 1831. Ni l’une ni l’autre de ces activités ne s’avéra profitable et si l’on poursuivait les opérations
procureur de la communauté pour veiller à la bonne marche de la seigneurie de Prairie-de-la-Madeleine. Il s’occupait surtout de vendre des emplacements. Puis, le 22 juin 1801, George
McGillivray* en tête – qui vivaient dans le grand confort et selon la situation qui convenaient aux « seigneurs du Nord ». C’étaient presque tous des Écossais, contents d’accueillir un compatriote