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, passim ; Greffe de Nicolas Senet, passim ; Registre d’état civil, Notre-Dame de Montréal, 12 août 1726.— APC, MG 23, GIII, 25, A.— Correspondance de Mme Bégon (Bonnault
 
, Raudot avait nommé Lepallieur huissier audiencier à Montréal, charge qu’il détint jusqu’en juillet 1722. Bégon*, le 24
 
eut comme parrain François-Pierre de Rigaud de Vaudreuil et, comme marraine, Jeanne-Élisabeth Bégon, fille de l’intendant. Il était le frère de Jean-Urbain
 
Rigaud* de Vaudreuil et Michel Bégon écrivirent qu’il était dans l’intention des Anglais de
 
, Bégon* écrit qu’ « il remplit bien ses fonctions et avec capacité ». À sa mort, il laisse deux propriétés à Montréal et un fief appelé La Moinaudière sur le lac Champlain
 
Le Moyne d’Iberville et Michel Bégon, l’intendant de La Rochelle, et il donna des ordres sévères afin qu’on garde au secret Sagean et son précieux récit
 
obligent l’intendant Michel Bégon* à intervenir et, le 9 juillet 1721, il ordonne que François Darles reste seul en charge
à Rochefort le 10 novembre 1693, fils de Roland Barrin de La Galissonière, lieutenant-général des armées navales, et de Catherine Bégon, sœur de l’intendant Michel
 
carte, que le père Aubery avait préparés avec l’aide de l’intendant Bégon, ne firent aucune
 
[...] da gette [d’acheter] toute la cargeson au si bien que le vingt [vin] et audevis [eau-de-vie] ». Madame Bégon
 
l’église Saint-Étienne-de-Beaumont (vers 1727). En décembre 1720, une ordonnance de l’intendant Bégon
l’assurer que les Abénaquis s’opposaient aux empiétements des Anglais sur leur territoire. En 1720, Vaudreuil et l’intendant Bégon
 
autorités de la colonie, le gouverneur Philippe de Rigaud* de Vaudreuil et l’intendant Bégon, doutaient des aptitudes du frère
 
. Le 15 avril 1714, l’intendant Bégon* donnait à Jean-Baptiste
 
 ; Ramezay et Bégon*, citant le père Joseph Aubery* qui
 
. L’année suivante, le 26 août 1724, dans une commission qui ressemble à un bulletin de santé, l’intendant Michel Bégon
 
Bégon. D’après un document, daté de 1724, il était aussi « ecrivain au bureau de Mgr l’intendant ». Vers le même temps, il investissait, à titre privé, dans la traite des fourrures et
l’intendant Bégon selon Hawkins ou de Bigot
 
mansarde, que sont venus se réfugier les Bégon*, chassés du palais dans la nuit tragique du 5 au 6 janvier 1713
 
Bégon et Dupuy* ne produisent pas moins de quatre ordonnances pour obliger les paroissiens à verser au curé les dîmes et autres
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