). En argile, il façonna un buste de vieillard (1871) et deux sangliers qu’il présenta à l’exposition provinciale de Montréal en 1882. Il conçut les catafalques de sir George-Étienne
principaux critères sur lesquels l’évêque se fondait pour accorder son appui politique. En 1861, pour ne prendre que cette année-là, il écrivit à Macdonald, à George-Étienne
, qui comprenait les comtés de Terrebonne et de Deux-Montagnes. En politique, il s’opposait aux « rouges » du temps, mais il resta très indépendant vis-à-vis du parti conservateur dont George
Macdonald* et de George-Étienne Cartier* ; il fut aussi membre du Conseil des commissaires des chemins de fer, sauf pendant la
impressionnant, formé tant d’un certain nombre de fonctionnaires américains que de George-Étienne Cartier* et de John Hillyard
) de la chambre, Augustin-Norbert Morin* et son ami, George-Étienne
-Henriette, fille d’Étienne-Paschal Taché*, et ils eurent deux fils et deux filles ; décédé le 4 août 1888 à Montmagny, Québec
.
Habile tacticien mais mauvais stratège, le 13 septembre 1854, Dorion passe alliance avec George Brown*, réformiste du Haut-Canada, et indispose
pro-maire jusqu’en 1872.
Depuis sa sortie du collège, Baby évolue dans les cercles politiques proches de George-Étienne
Gauthier, Georges (baptisé Louis-Antoine-Alexandre
George-Étienne Cartier*. Mais le gouvernement Macdonald-Dorion devra abandonner le pouvoir au printemps de 1864. Laframboise laisse son
sérieusement avec le premier ministre sir John Alexander Macdonald* et sir George-Étienne
Bellingham*. Aussi, il conserva toujours l’amitié intime et dévouée de George-Étienne Cartier, qui, dit-on
par John Alexander Macdonald* et George-Étienne Cartier*, mais
WAKEHAM, WILLIAM, médecin et fonctionnaire, né le 30 novembre 1844 à Québec, fils de George Wakeham et de
-Étienne Cartier*, comme l’indique clairement la crise politique qui, en août, engendre l’éphémère cabinet de George
Taché* et George-Étienne Cartier*, non sans avoir, cependant, de fortes sympathies pour Louis-Victor
se tourner vers le gouvernement pour obtenir de l’aide, et George-Étienne Cartier* présenta au nom de cette dernière une pétition au