libre et instituteur, et de Mary Ann Taylor Bridie ; le 16 janvier 1883, il épousa à Glasgow Christina Jane Gordon Watt (décédée en 1934), et ils eurent deux fils et deux filles, dont
programme qui permit à des jeunes hommes, dont George Monro Grant*, d’aller se préparer au ministère à la University of Glasgow. Cependant, de
à Mountain Cross, Écosse, fils de Robert Rutherford, ministre de l’Église presbytérienne unie, et d’Agnes Gunion ; en 1887, il épousa Edith Boultbee, d’Ancaster, Ontario, et ils eurent trois filles et
suite, Scott ferait la promotion du Canada à des expositions tenues à Glasgow, à Londres, à Wolverhampton et à Cork. En outre, il supervisa la construction de la grande arche de céréales canadiennes
libéral en décembre, le poste de médecin non résident, qu’il avait sollicité avec insistance. Dans une lettre adressée le 21 décembre 1893 au secrétaire de la colonie, Robert
rebellion, fait aussi partie d’un projet prestigieux : les Chronicles of Canada [V. Robert Pollock Glasgow
entamer son apprentissage chez un fabricant de cuir à Glasgow. En 1875, sa famille – lui compris – immigra au Canada et s’installa dans une ferme près de London, en Ontario. Embauché par une
. Morrice rencontre plusieurs artistes américains installés en France : Maurice Brazil Prendergast, Robert Henri, Édouard Colonna et William James Glackens
prédicateur et l’orateur avaient besoin de l’« élément mystique » ; ce trait, il l’associait à ses antécédents celtiques. Son ami sir Robert Alexander
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