études en théologie au grand séminaire de Limoges et fut ordonné prêtre le 9 octobre 1853. L’année suivante, alors qu’il enseignait les humanités au collège d’Ajain, il rencontra l’évêque
études classiques au collège de L’Assomption de 1842 à 1853, puis fréquente l’école de droit du collège Sainte-Marie dirigée par François-Maximilien
vie durant, le timide garçon, lorsqu’il ne travaillait pas à la ferme, lisait avidement : il dévora plus de 1 000 livres entre l’âge de 15 et 25 ans. En 1919, il entra au Victoria College à la
poumons.
Il s’inscrivit au collège de Saint-Hyacinthe en 1838 et termina ses études classiques en 1845. Tous les témoignages confirment que, d’emblée, le
supervisa la construction du University College de 1856 à 1859 [V. Frederic William Cumberland*]. En 1860, avec le professeur
philosophie et de théologie au collège de Clermont, y enseignant aussi durant quatre années. Ordonné prêtre en 1633, il traversa en Nouvelle-France dès la fin de sa formation de jésuite et arriva à Québec le 20
dernier – qui meurt célibataire en 1864 – assume les frais d’éducation de son neveu. Après avoir fréquenté l’école du rang, le collège de Lévis (1861–1864) et le séminaire de Québec (1864–1869), le jeune
maison de campagne de ses grands-parents, Garrycloyne Castle, au milieu d’une gentry à l’esprit déterminé, renforcèrent ces traits de caractère. Ses brillantes études au Trinity College de Dublin firent de
Military College de Sandhurst, en Angleterre. Dès lors, dit Morris, « il porta toujours sur lui un dictionnaire de poche ».
Le 10
joindre au personnel de la section masculine de la Church of England Academy (connue plus tard sous le nom de Bishop Feild College). Sportif et apprécié de son entourage, il devint directeur adjoint en 1893
latin de cuisine, en dépit de quelques raisonnements plus faibles que d’autres, l’ouvrage est reçu avec faveur par les maîtres des collèges peu préparés à l’enseignement et forcés de bâtir hâtivement
MacDonell* of Scothouse. Après avoir terminé ses études à l’Iona College de St Raphaels, Donald s’installa aux États-Unis, où il participa en 1840 à la construction du canal Illinois. De retour dans le
salle et d’une bibliothèque que fit la succession à l’Ontario Agricultural College and Expérimental Farm. À titre d’exécuteur, il s’efforçait de préserver la réputation de son père et son propre
Church Academy de Halifax, dont il sortit en 1852. Ensuite, il alla au Free Church College, où il obtint son diplôme en 1857. L’Église libre de la Nouvelle-Écosse l’autorisa à prêcher en septembre 1858
Beatty*, à la Shaw Correspondence School, et aux écoles d’été de l’Ontario Society of Artists et de l’Ontario College of Art. Conférencier actif, il publia aussi des articles et des poèmes dans des
1803 à Lachine, Bas-Canada.
Issu d’un père catholique et d’une mère « hérétique », Alexander MacDonell entra au Scots College des jésuites
.
Michael O’Sullivan, qui était apparenté à l’élite du comté de Tipperary (république d’Irlande), arriva à Montréal dès son jeune âge et s’inscrivit en 1799 au collège Saint-Raphaël que dirigeaient les
Nouveau-Brunswick. De 1866 à 1872, il fait ses études classiques au collège Saint-Joseph de Memramcook, formation qui, selon ses dires, sera déterminante. C’est grâce à l’intervention de Camille
College, où il s’était fait davantage remarquer par son talent au cricket que par sa connaissance des classiques. Il demeurerait d’ailleurs un fervent sportif toute sa vie. Robinson fit partie de la
1883 et devint ensuite professeur de théologie au collège presbytérien de Montréal. Anglophones, les parents de Frank parlaient aussi le français et veillèrent à ce que leur fils fasse de même. Durant la