reconnaître officiellement une journée annuelle de célébration du patriotisme impérial.
Fessenden fit ses études primaires au DeVeaux College de Suspension
.
Francis Fulford appartenait à une famille de vieille souche de l’ouest de l’Angleterre. Après des études à Blundells School puis à l’Exeter College d’Oxford, il obtint sa licence ès arts en 1827, sa
femmes au McGill College (qui devint une université l’année suivante) de Montréal. En 1898, il y avait déjà financé la création d’un collège pour femmes, le Royal Victoria College [V. Ethel Hurlbatt
, Robert Edward Harris avait succédé à l’ancien juge en chef Townshend comme chancelier de la University of King’s College. Il entreprit de redonner vie à l’université, dont le bâtiment principal à Windsor
ans, il suivit les traces de son père et entra à l’Upper Canada College de Toronto, fondé en 1829 par John Colborne*, commandant de William
l’Écosse en 1827 pour desservir l’église St Andrew à Kingston. Il contribua à la fondation du Queen’s College et le dirigea de 1846 à 1853. Margaret Sim, elle-même fille d’un ministre du culte écossais
l’Upper Canada College. Des difficultés financières obligèrent le jeune homme à quitter cet établissement en 1848, mais il y retourna trois ans plus tard et réussit avec distinction les examens finals ainsi
New Brunswick. Le méthodisme était sa règle de vie, et ses convictions religieuses l’amenèrent au Mount Allison College, établissement confessionnel régional de Sackville alors dirigé par James Robert
d’Odell dans le Bedfordshire, en Angleterre. Après avoir été diplômé en 1754 du Collège of New Jersey, dont il recevra, trois ans plus tard, sa maîtrise ès lettres, Jonathan Odell enseigna en 1755–1756 à la
-Bretagne, Herbert Henry Asquith, du Balliol College. La question était de savoir si l’unité impériale était désirable, et Parkin soutint que oui, à l’encontre du fort courant d’opinion qui favorisait le
, de Cobourg, école préparatoire mixte d’allégeance méthodiste qui deviendra, en 1841, le Victoria College. Installé officiellement dans ses fonctions le 18 juin 1836, Richey allait les assumer
cadre d’une tentative qui visait à mettre de l’ordre dans les affaires du nouveau collège méthodiste à Cobourg. Fondée dans le plus grand enthousiasme au début des années 1830, l’Upper Canada Academy se
« promis au plus brillant avenir ». En 1792, il s’inscrivit au Corpus Christi College d’Oxford, où il obtint une licence ès arts en 1795 ; quatre ans plus tard, l’All Souls College lui décernait
modestement. Deuxième de trois garçons élevés dans une famille de fermiers écossais de Lower Montague, il fréquenta l’école de district de l’endroit, puis s’inscrivit au Prince of Wales College, dirigé par
enfants ; décédé le 15 août 1811 à Kingston, Haut-Canada.
John Stuart obtint sa licence ès lettres du College of Philadelphia en 1763 et
Bishop’s College avait une faculté de médecine dans la ville [V. Francis Wayland Campbell*] et Mlle Abbott fut invitée à s’y inscrire
Toronto. Après avoir fréquenté des écoles publiques à Malton (Mississauga) et à Brampton, il étudia à l’Upper Canada College et à la University of Toronto, où il reçut une licence ès arts en 1875 et une
les sourds-muets et les aveugles [V. Joseph Mackay*]. Membre du conseil d’administration du Congregational College of British North America, il
d’Angleterre. C’était l’époque du Grand Réveil, et le jeune Samuel grandit dans une atmosphère de vives discussions religieuses. Il sortit diplômé du Yale College en 1759 et passa deux ans comme prédicateur
d’hommes d’affaires dans la région, James en tant que professeur au Knox College de Toronto, Robert Mitchell dans la haute administration de l’un des principaux grossistes de produits laitiers de Grande