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School. En février 1854, il s’inscrivit à une série de cours de génie civil donnés par l’ingénieur anglais McMahon Cregan au King’s College de Fredericton. Au début d’avril, on dispensa les élèves d’être
 
et de Marie, dans le quartier Hochelaga, à Montréal, et le collège Sainte-Marie-de-Monnoir, à Marieville (1891–1903). La publication d’un Petit Traité de solfège, en 1892, approuvé
une carrière juridique. Il fréquente la faculté de droit de l’université Laval à Québec en 1858-1859, puis l’école de droit du collège Sainte-Marie, à Montréal, dirigée par François-Maximilien
1929 à Bathurst, Nouveau-Brunswick. David-Vital Landry fréquenta l’école publique et le collège Saint-Joseph [V. Camille
collège Saint-Joseph de Memramcook, au Nouveau-Brunswick. Dès l’année suivante, il retourna enseigner en Nouvelle-Écosse dans une école unilingue anglaise de Weymouth. En 1867, il s’installa à Saulnierville
 
29 octobre 1711 et y fut occupé pendant quatre ans comme instructeur au collège des Jésuites. On voit qu’en 1716 il avait charge de la bibliothèque ; cette fonction est mentionnée pour la première
Settlement, village situé à environ deux milles de sa paroisse natale. En 1889, il entreprend ses études classiques au collège Saint-Joseph de Memramcook, au Nouveau-Brunswick, sous l’égide des Pères de Sainte
 
, décédé le 12 avril 1881 à Toronto. Charles Legge fit d’abord ses classes au collège du village, à Gananoque. En 1846, il entra au Queen’s
du père Hugolin lui vaut d’être élu membre de la Société royale du Canada en 1928 et d’être envoyé, en 1933, au collège Saint-Bonaventure de Quaracchi, à Florence, pour participer à un grand projet de
bibliothèques de nombreux collèges et universités. En France, il passe « d’abord au bureau de l’Univers », puis rencontre le philosophe Pierre-Célestin Roux-Lavergne, le père Auguste Gratry, l’abbé
College de Toronto. On sait peu de chose sur les débuts de sa vie professionnelle, sauf qu’il entra dans la milice en 1862 et servit à Port Colborne, à Welland et au fort Erie (Fort Erie) au cours des raids
ses études classiques au collège Sainte-Marie. Les cours de droit de François-Maximilien Bibaud*, qu’il suivit ensuite au collège
 
 Catharine’s College de Cambridge, il fut ordonné en 1823 et obtint son diplôme l’année suivante. Au collège, il s’était apparemment lié avec l’un des frères de sir Peregrine
deviendrait le Tsuda College de Tokyo, école chrétienne privée pour filles fondée par Tsuda Umeko, célèbre pionnière de l’éducation des femmes. Dans son travail avec la YWCA, Mlle Macdonald bénéficia grandement
révérend James Williamson*. Ministre presbytérien et professeur au Queen’s College, Williamson fit de Hugh un adversaire des catholiques et lui
 
père occupait un poste d’officier fut envoyé pour faire face aux troubles dans la colonie. Il fréquenta le Dalhousie College de Halifax pendant un certain temps, puis la Bay Street Academy de Toronto
. Macdonell, qui parlait l’anglais, le français et le gaélique, fréquenta l’école publique du lieu, puis entra en 1857 au collège de Bytown à Ottawa [V. Joseph-Henri
. D’ascendance écossaise, John Joseph Mackenzie fréquenta le St Thomas Collegiate Institute. Grâce à de « grands sacrifices » de son père, il entra en 1882 au University College de Toronto, où il
 
conseil d’administration du Presbyterian College. En 1871, il participa à la fondation de la congrégation presbytérienne Fort Massey, où il fut tour à tour conseiller presbytéral, secrétaire du tribunal
millions de dollars. Fervent presbytérien, il léguait 20 000 $ au Manitoba College [V. John Mark King
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