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(Yip family and Yip Sang Ltd fonds).— Gordon Clark, « Man honored at family reunion », Province (Vancouver), 3 août 1996.— Peter McMartin, « The fabulous, overlooked life of Yip
guéries. Le texte suscite un tel intérêt qu’il donne immédiatement lieu à la parution, à Toronto, de la première biographie du frère André, The miracle man of Montreal, aussitôt traduite par Raoul
Workman*, ex-surintendant du Toronto Asylum for the Insane ; Notes on primitive man in Ontario (1895), synthèse des connaissances sur le sujet avec exposé de ses propres théories sur les
monde ([Montréal, 1946]).— G. F. Jowett, The strongest man that ever lived (Philadelphie, [1927]).— A.-N. Montpetit, Nos hommes forts [...] (Québec, 1884).— Yves Roby, les
littéraires ou de désastreuses transactions liées surtout à son écurie. En 1813, il entreprit des études de médecine à Édimbourg, mais il dut s’enfuir à l’île de Man afin d’éviter l’arrestation pour dettes. À
 
de retourner au fort La Reine (Portage-la-Prairie, Man.), qu’ils avaient construit au mois d’octobre précédent. En avril 1739, Louis-Joseph fut
 
, Londres, fils de Whitby lsham et d’Ann Skrimshire ; il épousa Catherine Mindham en 1748 à Londres ; décédé le 13 avril 1761 au fort York (York Factory, Man
pour lesquelles il luttait. Le jour du vol fatal, il avait emporté à bord de l’avion son exemplaire récemment acquis de Rights of man de Thomas Paine
 
service de la Hudson’s Bay Company et s’embarqua sur le Hannah avec le grade de lieutenant pour se rendre au poste de York (York Factory, Man.). Contrairement à la coutume chez les marins de la
tuberculosis from animals to man and from man to animals », Montreal Medical Journal, 21 (1892–1893) : 801–812 ; « On the prevention of tuberculosis in animals
). Bernice Larson Webb, The basketball man : James Naismith (Lawrence, 1973), constitue la meilleure biographie de Naismith ; elle comporte une bibliographie de ses écrits et se base
 
, 1885 : 131–136, « Metlakatlah inquiry, 1884 : report of the commissioners, together with the evidence » ; R. E. Cail, Land, man and the law : the
[MacPherson] dans la baie Boundary. Là, elle révisa The bridge et fit des recherches en vue d’un autre roman, The beaten man, qui devait se passer dans les régions sauvages britanno
.— I. K. Mabindisa, « The praying man : the life and times of Henry Bird Steinhauer » (thèse de ph.d., Univ. of Alberta, Edmonton, 1984).— M. B
 : initial contact in the Hudson’s Bay territory, 1820–1850 » (thèse de ph.d., Univ. of Man., Winnipeg, 1984).— J. E. Foster, « The Anglican clergy in the Red
 
, Esquimaux in the Saguenay, Primitive Man (Washington), XXII (1949) : 23–32.— Charles de La Morandière, Les Français au Labrador au xviiie siècle
ans, même si Thomas Gorst le croit « a little old man ». Ses guides l’abandonnèrent et il ne dut qu’à sa diplomatie d’en trouver d’autres
connection with the Church of Scotland (Galt, 1846). Un autre ouvrage, Is man responsible for his belief ? A lecture delivered before the members of the Hamilton Mercantile Library Association
thoughts on man’s relation to God and on God’s relation to man (Toronto, 1862) ; A plea for inebriate asylums ; commended to the consideration of the legislators of the province of Canada
British Assoc. for the Advancement of Science, a été publié dans Man (Londres), 1 (1901) : 166–170. La lettre adressée par Brant-Sero
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