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Titre original :  Henry Youle Hind. [ca. 1865]. Photographer/Illustrator: Cox, A. W. and H., Nottingham, England.
Image courtesy of Glenbow Museum, Calgary, Alberta.

Provenance : Lien

HIND, HENRY YOULE, enseignant, journaliste, géologue, explorateur et auteur, né le 1er juin 1823 à Nottingham, Angleterre, troisième fils de Thomas Hind et de Sarah Youle ; le 7 février 1850, il épousa à York Mills (Toronto) Katharine Cameron, et ils eurent sept enfants ; décédé le 8 août 1908 à Windsor, Nouvelle-Écosse.

Fils d’un important manufacturier de dentelle de Nottingham, Henry Youle Hind fréquenta des écoles de cette ville, puis de 1837 à 1839, l’Institut public d’enseignement commercial de Leipzig (Allemagne). Il termina sa scolarité – qui, semble-t-il, ne comporta aucune dimension scientifique – en passant l’année 1843–1844 à la University of Cambridge et en étudiant quelques mois en France en 1845. Hind arriva à Toronto au cours de l’hiver de 1846–1847, après être passé par les États-Unis, et se fixa dans cette ville. L’année suivante, il devint maître assistant et enseigna les mathématiques, la philosophie naturelle et la chimie agricole à l’école normale, qui avait ouvert ses portes depuis peu. Le surintendant des écoles du Haut-Canada, Egerton Ryerson*, était décidé à améliorer l’enseignement technique, et il fit de l’école normale de Toronto un centre de formation agricole. Hind se trouva donc associé à son programme et se vit confier la surveillance d’un jardin expérimental. Ses cours de chimie agricole parurent en 1850 mais furent vite déclassés par les manuels de John William Dawson*. Ryerson souhaitait aussi fonder une école technique à Toronto. Hind, très favorable à ce projet, dressa un programme que Ryerson publia en 1849 à Toronto dans le Journal of Education for Upper Canada.

En décembre 1851, Hind entra au Canadian Institute, réorganisé depuis peu. De 1852 à 1855, il fut le premier rédacteur en chef du Canadian Journal : a Repertory of Industry, Science and Art, que l’institut publiait à Toronto. Sous sa direction, le premier périodique scientifique du Canada rendit compte des travaux de l’institut (dont ce fut la période la plus active), publia des textes originaux des principaux hommes de science du pays, dont John Henry Lefroy*, Henry Holmes Croft*, William Edmond Logan* et Charles Smallwood*, et reproduisit des informations scientifiques parues à l’étranger. Les nouvelles scientifiques du Canadian Journal se caractérisaient par leur portée pratique, tout comme, à l’époque, celles du Scientific American de New York. Certains organisateurs de l’institut étaient très proches du mouvement des instituts d’artisans, et dans les années 1850, un assez large consensus s’établit à Toronto autour de l’enseignement technique. Étant donné que Hind s’intéressait depuis longtemps à ce type de formation, l’institut avait jugé qu’il était le candidat idéal pour lancer la revue.

En 1851, la faculté de médecine du Trinity College engagea Hind comme professeur de chimie, même si rien n’indique qu’il ait reçu une formation dans cette discipline. En 1853, il quitta l’école normale et devint professeur à l’université, qui la même année lui décerna une maîtrise ès arts à titre honorifique. Il enseignait à la fois la chimie et la géologie, mais c’est la géologie qui prit de plus en plus de son temps, bien qu’il fût également autodidacte en cette matière. À la même époque, il publia plusieurs textes scientifiques et articles de vulgarisation dans le Canadian Journal et d’autres périodiques, et il collabora au Canadian Almanac de Toronto. C’était un bon journaliste, mais ses publications scientifiques étaient plutôt quelconques.

En 1857, dans l’espoir de stimuler l’industrialisation, la province du Canada créa, dans chacune de ses deux parties constituantes, une Chambre des arts et manufactures. En janvier 1861, l’organisme haut-canadien lança à Toronto le Journal of the Board of Arts and Manufactures et en confia la direction à Hind. Cet intéressant mensuel d’information, dont Hind fut le rédacteur en chef jusqu’en 1864, ressemblait fort aux premiers numéros du Canadian Journal : on y trouvait des nouvelles scientifiques et techniques des États-Unis et de Grande-Bretagne ainsi que de l’information courante et des rubriques d’intérêt local sur l’agriculture, les manufactures, le commerce, les expositions et l’éducation. Cependant, son retentissement était faible, et la campagne que Hind et la Chambre des arts et manufactures menaient en enseignement technique ne donnait que des résultats décevants.

À compter de la fin des années 1850, Hind se montra très favorable à ce que le Canada prenne de l’expansion en se portant acquéreur des terres que la Hudson’s Bay Company possédait dans le Nord-Ouest. Lorsque, en 1857, un comité spécial du Parlement recommanda d’organiser une expédition afin d’évaluer le potentiel agricole et minier de cette région, il tint donc à y participer. Sa réputation d’observateur scientifique n’était pas impressionnante, mais sa qualité de professeur de géologie et d’auteur sur ce sujet en faisait un bon candidat. En outre, le ministre de l’Agriculture, Philip Michael Matthew Scott VanKoughnet*, appartenait au conseil du Trinity College. VanKoughnet adressa Hind au directeur de la Commission géologique du Canada, sir William Edmond Logan, qui recommanda sa participation, en partie parce que son propre personnel n’était pas libre.

L’équipe quitta Toronto à la fin de juillet 1857 sous la direction d’un ancien fonctionnaire de la Hudson’s Bay Company, George Gladman*. Elle devait emprunter le trajet habituel des canots entre Fort William (Thunder Bay) et la colonie de la Rivière-Rouge (Manitoba) afin d’en évaluer l’utilité. Hind était présent à titre de géologue et de naturaliste, et il était assisté de John Arnot Fleming*, le frère de son vieil ami Sandford Fleming*. Montée en toute hâte et mal organisée, l’expédition fut ponctuée de plusieurs mésaventures, dont une grave maladie de l’arpenteur Simon James Dawson. Néanmoins, Hind put faire des observations géologiques dans les vallées de la Rouge et de l’Assiniboine avant de rentrer à Toronto en octobre. Pendant l’hiver de 1857–1858, il enseigna au Trinity College, exerça la fonction de conservateur au Canadian Institute et rédigea sur l’expédition un rapport volumineux et éclectique. Faible sur le plan scientifique, le document suscita tout de même assez de critiques favorables pour que Hind soit nommé chef d’une expédition qui se rendrait à l’ouest de la rivière Rouge en 1858.

En vertu du mandat que lui avait confié le secrétaire du Haut-Canada, Hind devait étudier les formations géologiques, l’histoire naturelle, le climat et la topographie, et rédiger des notes sur le potentiel agricole. Toutefois, les observations scientifiques n’intéressaient le gouvernement que dans la mesure où elles pouvaient l’éclairer sur les possibilités d’exploitation agricole et minière. Pendant l’été de 1858, l’équipe de Hind traversa rapidement certaines parties des vallées de l’Assiniboine, de la Souris, de la Qu’Appelle et de la Saskatchewan-du-Sud. Il ne s’agissait pas de procéder à une véritable étude géologique, mais Hind recueillit des observations précieuses sur les dépôts miniers et le potentiel agricole. S’il surestima ce potentiel, c’est parce qu’il prêta foi à des données douteuses et inapplicables, et peut-être aussi parce qu’il tenait trop à vanter les mérites du Nord-Ouest.

Les rapports que Hind produisit à la suite de l’expédition révélèrent la médiocrité de ses talents de géologue, et ni Logan ni son successeur, Alfred Richard Cecil Selwyn, n’auraient recours à ses services par la suite. Par contre, l’ouvrage qu’il rédigea à partir de ces documents se range parmi les classiques de la littérature d’exploration du xixe siècle. En effet, le Narrative de 1860 dépeint de façon claire, détaillée et vivante ce qu’étaient les Prairies et leurs habitants à l’aube du mouvement de colonisation qui allait les transformer définitivement. Le succès de Narrative convainquit Hind que la rédaction d’ouvrages populaires constituait une activité gratifiante et lucrative. La sécurité financière comptait particulièrement pour lui, car il avait une famille nombreuse et ne tirait que de maigres revenus de l’enseignement.

En 1859, Hind tenta de convaincre le gouvernement britannique de financer une expédition dans le Nord-Ouest. Ayant échoué, il se consacra à autre chose. En 1861, avec une petite équipe qui comptait notamment son frère, William George Richardson*, il remonta la rivière Moisie vers l’intérieur du Labrador dans l’espoir de trouver un trajet qui menait à l’Atlantique. Stérile sur le plan scientifique, l’expédition donna quand même lieu, en 1863, à un autre ouvrage haut en couleur. À la même époque, Hind devint un bruyant champion de la Confédération. Il compila et rédigea en partie le recueil Eighty years’ progress of British North America, qui parut en 1863, dirigea le British American Magazine de Toronto de 1863 à 1864 et noua des relations dans les milieux politiques de Grande-Bretagne. En défendant ainsi l’expansionnisme canadien, il espérait avoir de nouveaux territoires à explorer et de nouveaux récits à publier.

En février 1864, Hind se rendit en Angleterre afin de présenter, devant la Geological Society of London, sa principale contribution à la science, une communication sur la dérive des glaciers. Là-bas, il rencontra Peter Mitchell*, membre du Cabinet du Nouveau-Brunswick, et se prit d’intérêt pour la géologie des Maritimes, où les premiers signes d’un boom minier se manifestaient. Il fit halte à Fredericton en avril et, apparemment, s’entendit avec Mitchell et le premier ministre Samuel Leonard Tilley* au sujet d’une expédition que le gouvernement parrainerait dans le nord de la province. Il démissionna du Trinity College en mai et commença ses levés en juin. L’année précédente, Loring Woart Bailey*, professeur de chimie et d’histoire naturelle à la University of New Brunswick de Fredericton, avait commencé une étude des comtés du sud. Hind et Bailey entretinrent d’abord des relations cordiales, mais une forte animosité ne tarda pas à se déclarer entre eux. De plus, une fois les deux études terminées, en 1865, on découvrit que l’Assemblée avait alloué des crédits pour un seul rapport. En fin de compte, le gouvernement publia les deux, mais les accusations et contre-accusations d’incompétence et de plagiat que s’échangèrent les partisans de Hind et de Bailey incitèrent les autorités à cesser de subventionner des études géologiques. Le rapport de Hind contenait bon nombre de sections bien étayées, et le portrait enthousiaste qu’il brossait des richesses du Nouveau-Brunswick aurait pu être utile, mais la controverse provoqua sa disgrâce. N’ayant aucune perspective d’emploi dans la province, il installa sa famille à Windsor, en Nouvelle-Écosse, à l’automne de 1866.

Hind devint géologue-conseil auprès du gouvernement néo-écossais et s’occupa de promotion pour des groupes d’exploitation minière. Il publia aussi un certain nombre d’articles scientifiques, de même que des textes dans lesquels il vantait les richesses minérales de la province. En 1876, un levé qu’il fit de la côte labradorienne fit naître chez lui un vif intérêt pour les pêcheries et les courants océaniques de cette région. Sa carte des courants du Labrador lui vaudrait une médaille d’or et un diplôme à l’Exposition universelle de Paris deux ans plus tard. En 1877, peut-être sur le conseil de Sandford Fleming, le gouvernement de Terre-Neuve l’invita à entreprendre une étude géologique de l’île. Cet été-là, il comparut à Halifax devant la commission des pêches [V. sir Albert James Smith*] en qualité de représentant de Terre-Neuve, et devant ses talents d’organisateur, la commission lui confia l’édition de ses documents. En 1878, il témoigna sur le peuplement du Nord-Ouest devant un comité du Parlement canadien.

À compter de 1878, peut-être parce que depuis des années il se battait pour obtenir une reconnaissance publique et un emploi permanent, Hind attaqua gouvernements, fonctionnaires et hommes d’affaires à maintes reprises, et de façon de plus en plus virulente. Il prétendait que le Canada avait obtenu de la commission des pêches, en falsifiant des statistiques, une indemnité injustement élevée, et que l’on complotait pour permettre aux hommes d’affaires de spéculer sur les anciennes terres de la Hudson’s Bay Company. L’argent provenant de ces spéculations servirait à financer le chemin de fer canadien du Pacifique, qui attirerait de malheureux immigrants dans les stériles Prairies du sud. En 1883, les publications de Hind étaient devenues diffamatoires et dénotaient un état proche de la folie. Puis, soudain, il cessa de publier sur des questions scientifiques et sur la promotion des richesses naturelles. Si l’on excepte une brève altercation avec le propriétaire d’une école de filles à Halifax en 1887, il mena une existence discrète. Il fut membre du conseil d’administration du King’s College à Windsor dans les années 1880, écrivit une histoire du collège et y reçut un doctorat honorifique en droit civil en 1890.

Bon nombre de Britanniques intelligents et débordants de projets furent attirés par les grands espaces et les radieuses perspectives d’avenir du Canada. Henry Youle Hind se range parmi ceux qui réussirent le mieux, et c’est principalement à ce titre que l’on se souvient de lui. Bien qu’il ait possédé un certain talent pour les observations géologiques et ait fait plusieurs commentaires perspicaces dans ses rapports, on ne saurait le considérer comme l’un des grands pionniers de la science canadienne. Pour lui, la science ne fut jamais qu’un moyen en vue d’une fin. Cette fin, ce n’était pas la constitution d’une fortune personnelle ; l’émerveillement de l’exploration et le plaisir de rendre compte de ses découvertes et d’en exposer l’utilité comptèrent toujours davantage à ses yeux.

Richard A. Jarrell

Une photographie de Henry Youle Hind vers l’âge de 60 ans se trouve au Musée McCord (Montréal), Notman Photographic Arch. La seule collection importante de ses papiers, quoique limitée, est aux PANS, MG 1, 470–471. Une petite collection de papiers, peintures et croquis est à la MTRL ; d’autres documents le concernant sont disséminés dans les papiers du Toronto Mechanics Institute, au même dépôt. La correspondance pertinente adressée à Hind ou expédiée par lui se trouve dans les papiers William Edmond Logan aux MUA, MG 2046 ; aux Trinity College Arch. (Toronto) ; dans les cahiers de correspondance de John Strachan aux AO, F 983 ; et aux AN, dans les papiers de sir Edward William Watkin (MG 24, E17) et ceux de Tilley (MG 27, 1, D15 ; mfm aux APNB). On trouve de la documentation sur les expéditions dans l’Ouest dans les registres du secrétaire de la province (AN, RG 5, C1, 523, 579), et dans les papiers de la famille Dawson aux AO, F 1008. Quelques références dispersées se trouvent aussi dans plusieurs collections aux AN.

Les sources secondaires utilisées comprennent : W. L. Morton, Henry Youle Hind, 1823–1908 (Toronto et Buffalo, N.Y., 1980), le DNB, Zaslow, Reading the rocks, et W. O. Kupsch et W. G. E. Caldwell, « Mid-nineteenth century cretaceous studies in the Canadian interior plains », HSTC Bull. (Thornhill [Toronto] et Ottawa), 6 (1982) : 59–84.

Une bibliographie complète des écrits de Hind, y compris des allocutions inédites ainsi que ses rapports et articles imprimés, figure dans la biographie de Morton. Narrative of the Canadian Red River Exploring Expedition of 1857 and of the Assinniboine and Saskatchewan Exploring Expedition of 1858 (2 vol., Londres, 1860 ; réimpr., 2 vol. en 1, Edmonton, 1971) est une version remaniée de ses deux comptes rendus officiels qui connut beaucoup de succès : Report on a topographical & geological exploration of the canoe route between Fort William, Lake Superior, and Fort Garry, Red River [...] during the summer of 1857 (Toronto, 1858), et North-West Territory : reports of progress ; together with a preliminary and general report on the Assiniboine and Saskatchewan Exploring Expedition [...] (Toronto, 1859).

D’autres publications importantes comprennent : Two lectures on agricultural chemistry (Toronto, 1850) ; Essay on the insects and diseases injurious to the wheat crops (Toronto, 1857) ; A sketch of an overland route to British Columbia (Toronto, 1862) ; Explorations in the interior of the Labrador peninsula, the country of the Montagnais and Nasquapee Indians (2 vol., Londres, 1863 ; réimpr., Millwood, N.Y., 1973) ; A preliminary report on the geology of New Brunswick, together with a special report on the distribution of the « Quebec group » in the province (Fredericton, 1865) ; The effect of the fisheries clauses of the Treaty of Washington on the fisheries and fishermen of British North America (2 vol., Halifax, 1877) ; Sketch of the Old Parish Burying Ground of Windsor, Nova Scotia ; with an appeal for its protection, ornamentation, and preservation (Windsor, 1889) ; et The University of King’s College, Windsor, Nova Scotia, 1790–1890 (New York, 1890). Il a aussi été l’un des éditeurs de Eighty years’ progress of British North America [...] (Toronto, 1863), qui a connu plusieurs rééditions ; celles de 1868 et 1869 ont paru sous le titre de The Dominion of Canada ; containing a historical sketch of the preliminaries and organization of confederation [...].

Les communications scientifiques de Hind comprennent « Observations on supposed glacial drift in the Labrador peninsula, western Canada, and on the south branch of the Saskatchewan » et « On two gneissoid series in Nova Scotia and New Brunswick, supposed to be the equivalent of the Huronian (Cambrian) and Laurentian », Geological Soc. of London, Quarterly Journal, 20 (1864) : 122–130 et 26 (1870) : 468–478. Les deux ont été réimprimées dans des périodiques scientifiques canadiens et ont été résumées dans Philosophical Magazine (Londres), 4e sér., 27 (1864) : 476, et 40 (1870) : 382–383.

Bibliographie générale

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Richard A. Jarrell, « HIND, HENRY YOULE », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 13, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 19 mars 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/hind_henry_youle_13F.html.

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Auteur de l'article:    Richard A. Jarrell
Titre de l'article:    HIND, HENRY YOULE
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 13
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1994
Année de la révision:    1994
Date de consultation:    19 mars 2024