SAFFRAY DE MÉZY (Mésy), AUGUSTIN DE, chevalier, gouverneur de la Nouvelle-France de 1663 à 1665 (le premier à servir immédiatement sous les ordres de Louis XIV après que le roi eut repris l’administration de la colonie des mains de la Compagnie des Cent-Associés en 1663), décédé à Québec dans la nuit du 5 au 6 mai 1665 et inhumé le 7 mai dans la même ville.

Issu d’une famille de la vieille noblesse normande, qui remontait au milieu du xive siècle, Mézy avait la réputation d’avoir eu une jeunesse très dissolue. Alors qu’il était major de la ville et du château de Caen, il tomba sous l’influence de M. Jean de Bernières, qui dirigeait un groupe de dévôts à l’Ermitage. Il fut par la suite connu pour sa grande piété. Il attira ainsi l’attention de François de Laval*, futur évêque de Québec, qui fut favorablement impressionné par son caractère.

En 1663, lorsque Louis XIV et Colbert décidèrent de rappeler le gouverneur de la Nouvelle-France, le baron Davaugour [V. Dubois], ils confièrent à Mgr de Laval la tâche de lui trouver un digne successeur. Plus que l’influence que pouvait exercer Mgr de Laval, le fait que le roi et son ministre étaient entièrement pris par les affaires domestiques du royaume explique leur démarche. En outre, il était extrêmement difficile de trouver des officiers compétents pour les postes de gouverneur des colonies. Lorsque Colbert demanda au comte d’Estrades de proposer quelqu’un pour ce poste au Canada, le comte refusa tout net, disant : « On se trompe tellement aus gens que vous trouveres bon que je ne vous nome persone pour le Canada » (BN, Mélanges Colbert, 112bis, f.573). Mgr de Laval hésitait tout autant à recommander quelqu’un, mais le roi insista, de sorte que l’évêque, se rappelant la piété et le désintéressement apparent de Mézy, proposa son nom. Mais Mézy paraissait rien moins que désireux d’accepter le poste, arguant que ses dettes très lourdes l’empêchaient de se rendre à la demande qu’on lui faisait. Comme aucun autre candidat n’était sur les rangs, Louis XIV, prétend-on, offrit de payer les dettes de Mézy s’il acceptait la nomination pour trois ans, ce à quoi Mézy consentit.

Le 15 septembre 1663, Mézy et Laval débarquaient à Québec. Ils amenaient 159 artisans et colons : 60 autres étaient morts en mer. Leur arrivée et la promesse d’une aide bien plus considérable de France dans un avenir rapproché relevèrent le moral de la population. Les 2 500 colons pouvaient dorénavant compter sur une suspension prochaine des attaques constantes des Iroquois qui avaient saigné la colonie à blanc. À cette époque, les Cinq-Nations de la confédération iroquoise étaient constamment harcelées par leurs ennemis amérindiens, c’est-à-dire les Hurons, les Algonquins, les Loups et les Andastes ; au surplus, ils avaient, peu de temps auparavant, subi de lourdes pertes par suite de la petite vérole. Quand ils apprirent de certains de leurs prisonniers français que des renforts venaient d’arriver à la colonie et qu’on en attendait d’autres, leurs attaques contre les établissements français se ralentirent et leurs chefs commencèrent à s’enquérir auprès des missionnaires jésuites de la possibilité d’un accord de paix. On lit dans la Relation de 1663 : « Nos ennemis qui se sont trouvés cette année occupés ailleurs, nous ont laissé cultiver nos terres en asseurance, & jouir comme d’un avant-goust du repos que notre incomparable Monarque nous va procurer [...] Il n’y a que le Montréal qui a esté teint de sang de François, & d’Iroquois & de Hurons ».

Le gouverneur sortant, le baron Davaugour, était déjà parti pour la France quand Mézy et l’évêque arrivèrent au pays. Le 18 septembre, le Conseil souverain était établi en vertu de l’édit royal du mois d’avril précédent qui donnait au gouverneur et à l’évêque le pouvoir de désigner conjointement cinq conseillers, un procureur et un greffier pour un mandat d’un an, renouvelable au gré du gouverneur et de l’évêque. L’évêque, ou, en son absence, le principal ecclésiastique de la colonie, siégeait aussi au conseil.

Pendant les trois jours qui s’étaient écoulés entre son arrivée et l’établissement du Conseil souverain, Mézy n’avait certes pas eu le temps de juger des mérites des personnalités choisies pour y siéger. Il est donc plus que probable que ce fut Mgr de Laval qui désigna Louis Rouer de Villeray, Jean Juchereau de La Ferté, Denis-Joseph Ruette d’Auteuil, Charles Legardeur de Tilly et Mathieu Damours de Chauffours aux postes de conseillers, de même que Jean Bourdon en tant que procureur général et Jean-Baptiste Peuvret Demesnu au poste de greffier et secrétaire. Il s’agissait d’hommes qui avaient joué des rôles de premier plan dans la direction des affaires de la colonie sous le régime de la Compagnie des Cent-Associés. De fait, pour l’administration en général de la colonie et la méthode d’administration de la justice, le Conseil souverain poursuivit l’œuvre du conseil précédent, agissant à titre de cour d’appel et de tribunal de première instance, et aussi en qualité d’organe législatif de la colonie. Un des premiers édits qu’il promulgua, le 28 septembre, interdisait à quiconque de faire le commerce des boissons enivrantes, directement ou indirectement, avec les Amérindiens, sous peine de fortes amendes ou de bannissement. Ainsi disparaissait de nouveau une des principales causes de conflit entre le clergé et les gouverneurs précédents. Afin de trouver de l’argent pour l’administration de la colonie, Mézy vendit à l’enchère le droit de percevoir l’impôt de 25 p. 100 sur l’exportation des fourrures ainsi que sur le monopole de la traite à Tadoussac, ce qui devait rapporter la somme de 46 500# par an pendant trois ans.

Il existait apparemment une divergence d’opinions entre Mézy et l’évêque au sujet de son traitement et de ses allocations. Certains membres du clergé ont prétendu plus tard qu’il avait des exigences excessives et que, essuyant un refus, il « déclara la guerre » à l’évêque et au Conseil souverain. Ces affirmations paraissent sans fondement. À la réunion que le Conseil souverain tint le 28 novembre 1663, Mézy déclara qu’une certaine « difficulté » avait surgi au sujet de cette affaire, mais qu’il consentait volontiers à permettre au Conseil souverain de lui accorder la même somme que chacun des trois derniers gouverneurs avait reçue. Une semaine plus tard, le conseil décidait, par un vote, de lui accorder le traitement et les appointements que recevait avant lui Voyer* d’Argenson, ce qui représentait une somme de 23 303#, avec laquelle Mézy devait pourvoir à l’entretien – soldes comprises – de la garnison de Québec.

L’année suivante, Mézy obtint du conseil qu’il abolisse l’impôt de 10 p. 100 sur toutes les marchandises importées dans la colonie à l’exception des vins, des spiritueux et du tabac. Pour protéger les consommateurs contre les exigences excessives des marchands, on taxa tous les prix de vente des marchandises importées, tout en autorisant une majoration de 65 p. 100 par rapport aux prix des marchandises semblables vendues en France. En même temps, on fixait à 80# la tonne le prix de transport par mer. Il apparut clairement qu’il ne fallait pas négliger ce règlement lorsque certains marchands se virent imposer de fortes amendes pour avoir exigé plus que le tarif autorisé.

Pour encourager les habitants à défricher de nouvelles terres et à cultiver une plus grande quantité de céréales en dépit d’un fort excédent de blé, le Conseil souverain en acheta, en 1664, 1 000 boisseaux au prix généreux de 5# le boisseau et les entreposa à l’intention des troupes régulières qu’on attendait de France l’année suivante. Par ailleurs, une loi stipula que les artisans liés par contrat toucheraient pendant trois ans un salaire annuel variant entre 60 et 90#, après quoi ils devenaient libres de se procurer une terre en propre. Ainsi donc, la première année du gouvernement de Mézy, on adopta des mesures utiles. Mais l’année n’était pas terminée qu’un différend s’élevait entre le gouverneur et l’évêque.

Bien qu’il représentât le roi dans la colonie et qu’il y possédât l’autorité suprême, Mézy avait en réalité moins de pouvoir que l’évêque. Mézy n’avait été nommé que pour trois ans et le roi pouvait le rappeler n’importe quand. Mais l’évêque était nommé pour un temps indéfini et, en plus de son siège au conseil, il jouissait du pouvoir et du prestige attachés à son rang dans la hiérarchie ecclésiastique. De toute évidence, le clergé avait espéré que Mézy resterait subordonné à Mgr de Laval et s’en remettrait à lui de toutes choses, mais le gouverneur fit bientôt voir qu’il n’avait pas l’intention de se contenter d’une situation subalterne.

Au cours de l’hiver de 1663–1664, il semble que Mézy se soit convaincu que l’évêque, avec l’appui de certains membres du conseil, cherchait à miner son autorité. D’après l’édit royal qui établissait le Conseil souverain, le gouverneur représentait la personne du roi ; Mézy décida donc de prendre des mesures pour faire valoir ses prérogatives. Le 13 février 1664, il envoya le major de sa garnison informer l’évêque de son intention d’exclure Villeray, d’Auteuil et Bourdon du conseil, sous prétexte qu’ils avaient formé une cabale et se conduisaient d’une manière contraire aux intérêts du roi et du peuple. Il déclarait aussi que les remplaçants des conseillers exclus seraient choisis par une assemblée publique. Comme on pouvait s’y attendre, Mgr de Laval refusa d’accepter cette innovation, ou de sanctionner le renvoi des deux conseillers et du procureur général. Toutefois, Tilly, La Ferté et Damours appuyèrent Mézy et signèrent une ordonnance pour suspendre les protégés de l’évêque.

Sans procureur, la justice ne pouvait être dispensée et les habitants qui avaient des procès en instance devant le tribunal protestèrent avec vigueur. Mézy demanda donc à l’évêque de consentir à la nomination d’un procureur suppléant. Mgr de Laval refusa sa sanction mais déclara qu’il ne s’opposerait pas ouvertement au gouverneur à l’égard d’une mesure qu’il prendrait de sa propre autorité. Le 10 mars, le conseil incomplet désigna donc Louis-Théandre Chartier de Lotbinière au poste vacant de procureur général et le conseil put reprendre son travail. Par la suite, les deux factions se réconcilièrent ; Lotbinière se retira de bonne grâce et Bourdon reprit ses fonctions.

Toutefois, en juillet, la querelle éclatait de nouveau, cette fois au sujet de l’élection d’un syndic à Québec. Au mois de novembre précédent, le conseil avait aboli les postes de maire et d’échevin et décidé de rétablir l’ancienne charge de syndic pour représenter la population du lieu auprès du conseil. L’élection n’eut lieu qu’au mois d’août suivant. Claude Charron, marchand de Québec, fut alors élu in absentia par 23 habitants de la ville.

Pendant ce temps, comme près d’une année s’était écoulée depuis l’établissement du Conseil souverain, Mézy demanda à maintes reprises à Mgr de Laval de consentir à remplacer certains de ses membres et à maintenir dans leurs fonctions certains autres. Sachant évidemment quels conseillers Mézy désirait exclure, l’évêque refusa de se rendre à cette demande légitime. Le 25 août, Mézy envoyait à Mgr de Laval une note rédigée en termes courtois pour lui demander que tous deux collaborent de bonne foi à la nomination d’un nouveau conseil, ainsi que le prévoyait l’édit royal d’avril 1663. Il proposait qu’ils dressent une liste de 12 hommes aptes à remplir les fonctions en cause et que l’évêque choisisse quatre conseillers parmi ces hommes ; ou bien, que l’évêque désigne 12 candidats, puis permette au gouverneur de choisir les quatre titulaires parmi ces candidats. Dans l’état des choses, c’était une proposition équitable. Mais, dans une note au ton sec, l’évêque informa Mézy qu’il avait appris du ministre de la Marine que le sieur de Tracy [V. Prouville], récemment nommé au poste de lieutenant général de toutes les possessions françaises en Amérique et muni des pouvoirs d’un vice-roi, arriverait à Québec au printemps et qu’ils devaient attendre son arrivée pour effectuer le moindre changement dans la composition du conseil. Il s’ensuivait que Mézy devrait faire face à l’opposition persistante du conseil pendant presque une année. Par malheur, l’édit royal qui avait établi le Conseil souverain ne donnait aucune indication sur la façon de sortir d’une telle impasse.

À la suite des protestations de certains habitants contre l’élection de Charron à titre de syndic sous prétexte que trop peu de gens avaient participé au scrutin et qu’il serait porté à favoriser l’intérêt des marchands plutôt que celui des consommateurs, on persuada Charron de se démettre et on convoqua une autre élection. Mais cette assemblée ne réunit encore que peu de votants, de sorte que l’élection n’eut pas lieu. À tort ou à raison, Mézy se convainquit que ses vieux ennemis, c’est-à-dire le clergé et ses partisans au conseil, étaient responsables de cet état de choses. Il fit donc envoyer une note à un grand nombre d’habitants de la ville pour les convoquer à une réunion dont il n’indiquait pas l’objet. Les citadins une fois assemblés, Damours tint l’élection à la suite de laquelle Jean Lemire devenait syndic dûment élu. À la réunion suivante du Conseil souverain, La Ferté, d’Auteuil et le suppléant de l’évêque, Charles de Lauson de Charny, protestèrent contre cette élection et ne voulurent pas recevoir Lemire. La patience de Mézy était à bout. Il considérait ce dernier geste des tenants de l’évêque comme un excès de chicanerie ; peu habitué à ces façons, comme il le déclarait lui-même, il décida de régler l’affaire de la seule manière qu’il connût, comme un chevalier défendant l’intérêt du roi. De sa propre autorité, le 19 septembre 1664, il chassa du conseil Villeray (qui était parti pour la France peu de temps auparavant), d’Auteuil, La Ferté et Bourdon. Pour les remplacer, il désigna Simon Denys de La Trinité, Louis Peronne de Mazé et Jacques de Cailhault de La Tesserie, puis Lotbinière de nouveau au poste de procureur général et Michel Fillion à celui de greffier. Mais, à l’inverse des autres, Jean Bourdon ne voulut pas accepter ce congédiement, déclarant illégal le geste du gouverneur, ce en quoi il avait raison. Une violente querelle s’ensuivit au cours de laquelle Mézy perdit la tête. Il se lança sur Bourdon ; il le frappa d’abord de sa canne puis du plat de son sabre ; il le poursuivit hors de la salle et le blessa à la main. Immédiatement, Mgr de Laval éleva une protestation contre la reconstitution du conseil par les soins de Mézy, qu’il tenait pour contraire à l’édit du roi. Le dimanche suivant, il fit connaître son point de vue au public dans une déclaration lue au prône par un de ses prêtres. Mézy, qui ne disposait pas d’une chaire, répliqua en faisant afficher de par la ville un placard dans lequel il présentait sa défense et se portait à l’attaque de l’évêque, à la suite de quoi le clergé lui refusa l’absolution. Le gouverneur répondit par la menace de refuser le versement semi-annuel de fonds au clergé.

On ne sait ce que la population de la colonie pensait de toute cette violence, qui ne pouvait certes accroître son respect pour les autorités séculières ou religieuses. Cependant, à travers tous ces incidents, le Conseil souverain reconstitué par Mézy continuait à fonctionner, dispensant la justice, se livrant à tous les actes ordinaires de l’administration et manifestant qu’il prenait ses responsabilités au sérieux. Alors, au début de mars 1665, Mézy tomba gravement malade. Quand il exprima le désir de se réconcilier avec le clergé, toutes les anciennes rancœurs tombèrent dans l’oubli. Jusqu’à la mort de Mézy dans la nuit du 5 au 6 mai, l’évêque célébra la messe à son intention chaque jour. Dans son testament, le gouverneur prévoyait des legs aux pauvres, à des œuvres de charité, à l’Église et à cinq habitants de Québec, dont, en particulier, Villeray.

Peu avant sa mort, Mézy avait désigné Jacques Leneuf de La Poterie pour lui succéder à titre de suppléant, mais, quand le procureur général par intérim présenta la lettre de nomination au Conseil souverain, ce dernier refusa de l’enregistrer, sous prétexte que le gouverneur n’avait pas le pouvoir de désigner son successeur, pouvoir qui revenait au roi seul. Pendant ce temps, en France, de nombreuses plaintes contre le comportement de Mézy étaient parvenues à la cour. Bourdon et Villeray purent présenter en personne leur version des événements. Le ministre se convainquit ainsi qu’il ne pouvait approuver la conduite de Mézy. N’ayant pas appris la mort du gouverneur, Colbert ordonna d’ouvrir une enquête sur les accusations qu’on portait contre lui. Si la preuve en était établie, Mézy devait être mis aux arrêts et renvoyé en France pour y subir son procès.

Il est malheureux que les papiers de Mézy ne nous soient pas parvenus. Si nous les avions aujourd’hui pour répondre aux accusations portées contre lui dans les écrits du clergé qui, eux, ont été conservés, il apparaîtrait peut-être sous un jour plus favorable. On peut au moins affirmer qu’il ne se trouvait pas dans une situation facile, à cause du partage de l’autorité avec l’évêque. Il agissait parfois avec violence, il est vrai ; mais ce n’était pas sans provocation. Même si les conflits de personnalités jouaient un rôle important dans ces querelles, il faut aussi songer qu’entraient en jeu de fortes divergences d’opinions sur les moyens d’améliorer l’administration de la colonie. En dernière analyse, l’impasse où l’on aboutit tenait surtout à la rédaction mal conçue de l’édit qui établissait le Conseil souverain. Le gouverneur et l’évêque devaient se partager l’autorité et collaborer en tout. Si, pour une raison quelconque, cette collaboration devenait impossible, le gouvernement de la colonie se trouverait paralysé, ou bien l’un des deux devait passer outre à l’autorité de l’autre et exercer un pouvoir arbitraire, afin d’assurer le fonctionnement de l’administration. L’évêque, de toute évidence, ne pouvait exercer un tel pouvoir, mais le gouverneur, qui était essentiellement un soldat habitué à commander et à se faire obéir, pouvait aisément exercer son autorité et n’y manquait pas. De toutes façons, ces conflits ne doivent pas faire oublier que, pendant le bref régime de Mézy, le gouvernement royal s’établit dans la colonie, que la justice y fut rendue équitablement et que furent adoptées d’utiles mesures législatives.

W. J. Eccles

On trouve une bonne partie de la documentation originale dans : Jug. et délib., I.— P.-G. Roy, Inv. ins. Cons. souv., 6–12, 15–17.— Le meilleur compte rendu de l’administration de Mézy paru jusqu’ici se trouve dans Cahall, The Sovereign Council of New France, 22–36.— Faillon, Histoire de la colonie française, III.— Gosselin, Vie de Mgr de Laval, I.— Lanctot, Histoire du Canada, II.— Parkman, The old régime (25th ed.), 145–158.

Bibliographie de la version révisée :
Bibliothèque et Arch. nationales du Québec, Centre d’arch. de Québec, CE301-S1, 7 mai 1665.

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W. J. Eccles, « SAFFRAY DE MÉZY (Mésy), AUGUSTIN DE », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 1, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 12 nov. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/saffray_de_mezy_augustin_de_1F.html.

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Auteur de l'article:    W. J. Eccles
Titre de l'article:    SAFFRAY DE MÉZY (Mésy), AUGUSTIN DE
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 1
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1966
Année de la révision:    2018
Date de consultation:    12 nov. 2024