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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

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              Champlain rendit visite en 1613, mort en 1636. Tessouat était un chef algonquin sagace et ambitieux dont la tribu jouissait d’un pouvoir tout à
              Champlain ont attesté l’exactitude. Il est évident que Thevet a causé avec des explorateurs ; qu’il a été reçu par Jacques Cartier à Saint-Malo ; qu’il a cité ce dernier en qualité de
               
               Grand Agnier combattit sous ses ordres. À la fin d’août, il se rendit au lac Champlain et rencontra une soixantaine d’Agniers qui venaient attaquer la colonie. Le Grand Agnier les persuada de rentrer
              Champlain en fixa l’orthographe actuelle en laissant tomber le r et Ganong en a retracé la marche lente vers le Nord dans des cartes successives jusqu’à l’endroit qu’il désigne maintenant dans les
               
              Champlain avant 1612. En 1611–1612, Vignau hiverna chez
              ASQ, Documents Faribault, 23, 25.— Champlain, Œuvres (Laverdière), II : 1 283–1 287.— JJ (Laverdière et Casgrain).— JR (Thwaites), XXII : 9–296
               
              Batiscan, de Champlain et même de Chambly. Il était sur le point d’aller s’établir à Champlain. À ses charges de notaire et d’huissier royal, il ajouta, selon des documents de 1681, 1682 et 1684, celles de
               
              Drapeau, né en France entre 1643 et 1645, inhumé à Champlain le 28 octobre 1708.  Arrivé au pays en 1662 ou peu avant, en
               
              voie du lac Champlain et de la rivière Richelieu, entre Albany et Montréal. Les vins français, l’eau-de-vie, les soieries et les peaux de castors partirent vers le sud, en échange des lainages anglais
              Champlain* et Talon, Pierre Boucher a cru à la possibilité de créer un peuple nouveau par l’alliance d’hommes français et de femmes autochtones. Il donna lui-même l’exemple en épousant en 1649 une Huronne
               
              ), ennemis des Français, forcèrent le petit groupe à séjourner pendant un mois au fort Sainte-Anne, à l’entrée du lac Champlain. Ce n’est qu’en
              .— Documents Relating to the Seigniorial Tenure in Canada, 1598–1854, William B. Munro, édit. (« Champlain Society Publications », III, 1909
               
              au Cap jusqu’en 1687, puis, de 1687 à 1700, dans la seigneurie de Champlain. En 1700, il s’en alla à Montréal, où il exerça quatre années. Il résidait à la Pointe-aux-Trembles. En 1704, âgé d’environ
               
              Dandonneau et d’Isabelle Fain, décédé à Champlain en 1702. Pierre Dandonneau fut un des plus serieux et des plus tenaces colons des premiers temps
               
               ». Entre-temps, le père Constantin était revenu des pays d’en haut, car nous retrouvons dans les registres de Champlain un acte de baptême, daté du 25 septembre 1701 et signé par lui, qui atteste son passage
               
              Rioux, sur l’île d’Orléans, en 1696 ; un emplacement, sur le quai Champlain, à Québec, acheté en 1692 ; une seigneurie à Antigonish en Acadie, concédée en 1697 ; un arrière-fief de la
               
              ), capitaine dans les troupes de la marine, major de Trois-Rivières ; il naquit à Carcassonne, France, en 1657 et mourut à Champlain en 1713. Il était le plus jeune fils de Pierre de Jordy et de Louise de
               
              plusieurs années », les curés de Batiscan et de Champlain, les sieurs Foucault et Bouquin, lurent en chaire un mandement de Mgr de Saint-Vallier
               
              Pierre*, inhumé à Champlain le 13 février 1723. Michel-Ignace Dizy n’a pas résisté à l’attrait de l’aventure qui captivait la jeunesse de
              « Champlain Society », de Toronto, en publie une édition critique accompagnée d’une traduction anglaise, grâce à M. et Mme
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