CALLIÈRE (Callières), LOUIS-HECTOR DE
allèrent à Montréal pour essayer de persuader le gouverneur de Callière de mettre fin à la guerre que les
Langloiserie », le nomme commandant à Montréal en l’absence de Callière et de
dettes. Le conseil décide l’aliénation d’une maison appartenant à la mission. M. de Callière, syndic apostolique des Récollets, y assiste également et signe le procès-verbal
.
Chichikatelo était le représentant des Miamis à la conférence de paix du gouverneur de Callière, qui réunit les
certains détails donnés par Callière, en 1701, sur la carrière du sieur de Chacornacle antérieure à sa
Callière lui confia le commandement des troupes de Sault-Saint-Louis. Il réussit par ruse à déjouer les tentatives de 800 Iroquois qui avaient formé le projet de détruire la colonie française. À
Callière, le sieur de Clérin serait arrivé au Canada comme enseigne réformé dès 1685. Il devint enseigne en pied en 1687. En 1688, Clérin était au fort Niagara et l’année suivante à Montréal où il
, 1922–23 : 290–298.— A. Roy, Inv. greffes not., V : 321 ; XII ; XVIII ; XIX.— P.-G. Roy Ce que Callières pensait de nos officiers, BRH, XXVI
Callière, apprenant que de petits groupes de Premières Nations tendent des embuscades aux Français, envoient des secours dans diverses directions ; Aloigny est chargé de diriger un
Callière* envoya guerroyer contre les Iroquois 300 Français et alliés indiens. À une courte journée de marche en deçà de Cataracoui, l’expédition se solda par une victoire française
. Callière écrit à son sujet, en 1701, qu’il est « de bonne conduitte et capable ». Lorsqu’il prend sa retraite en 1702, il touche une pension annuelle de 600#. Nommé conseiller au Conseil
.
En réponse à l’invitation du gouverneur de Callière les Renards des prairies de l’Ouest envoyèrent
.
En 1701, à la conférence de paix de Montréal, convoquée par Callière et qui réunissait les Français
Québec, Louis-Hector de Callière, gouverneur de Montréal. La présence de ces hauts dignitaires
Callière, puis il fut licencié. Le 25 avril 1699, il acquit des Sulpiciens une concession de 60 arpents à la côte Saint-Michel. Il vendit cette terre à Jean Guillebert, dit Laframboise, en 1705
Ohonsiowanne. Ils venaient demander au gouverneur de Callière de faire cesser les attaques
de Vaudreuil et Callière. Chacun veut être le premier à porter à la cour la nouvelle du décès du
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