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Région de naissance

      Régions d’activités

          Activités et autres caractéristiques

              181 à 200 (de 651)
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              campagne de l’Union chrétienne de tempérance des femmes du Canada en faveur du suffrage féminin. En 1884, l’Assemblée législative de l’Ontario avait accordé, aux veuves et femmes célibataires qui étaient
               
              McVICAR, VICTORIA, fonctionnaire, enseignante et femme d’affaires, née vers la fin des années 1830 dans la région de Montréal, fille
              d’une grâce remarquables ». Huit ans plus tard, l’artiste suisse Rudolf Friedrich Kurz dirait qu’elle était « l’une des plus belles femmes indiennes » et ajoutait : « Elle [aurait
              conventionnelle, organisée en fonction de son double rôle d’épouse et de mère, comme la plupart des femmes de sa génération. Fille d’un ministre anglican irlandais, elle était arrivée à Victoria en 1875 et y avait
               
              Groulx* signe la préface. Pendant dix ans, Annette Frémont aura été une voix importante pour les femmes et les enfants francophones de l’Ouest canadien. Elle a compté parmi les trois ou quatre femmes
              écrite pour elle sur le thème du droit de vote pour les femmes. Son talent pour la comédie était largement reconnu, et sa beauté continuait d’attirer l’attention. Dans Annals of the New York stage
               
              WATSON, ROSETTA ERNESTINE (Carr), photographe et femme d’affaires, née en 1845 dans le canton de Drummond, Haut-Canada
              . » Fanny Amelia Bayfield vivait à une époque où les peintres amateurs ne manquaient pas et où bien des femmes jouaient du piano, chantaient et peignaient sans pour autant en faire un métier. On raconte
              carrière politique de son mari et les œuvres culturelles et sociales dans lesquelles elle s’investit d’autant qu’elle n’a jamais eu d’enfants. En 1891, elle fonde, avec d’autres femmes de l’élite francophone
              Boulton* avait été procureur général – et femme d’un homme d’affaires réputé et prospère, Edith Sarah Louisa Nordheimer ne tarda pas à occuper une haute position dans la société torontoise. Elle
              particulièrement dynamique dans le mouvement pour le droit de vote des femmes. Les organisations féminines la sollicitaient souvent
              . En constatant les besoins du milieu, mère Saint-Raphaël décide d’adapter le programme d’enseignement et d’y ajouter une formation pratique, un apprentissage au métier de femmes de défricheurs et
               
              des derniers ministres néo-écossais de l’African Baptist Church à n’avoir pas fait d’études, et, du fait qu’elle était sa femme, Louisa Ann se dévoua beaucoup pour l’African Baptist Association et sa
               
              qu’il avait dans la colonie et les nombreuses relations familiales de sa femme ne l’empêchent de gouverner avec impartialité. En 1709, Mme de
               
              Knott Tate était à la fois une femme remarquable et bien de son temps. La durée de sa vie missionnaire indique une foi et une force de caractère incroyables. Selon l’historienne Rosemary Gagan, le travail
               
              , marchand de tabac de Hamilton, elle s’inscrivit à l’Alumnae Association du collège ; seulement 4 autres femmes mariées figuraient parmi les 35 membres de cette organisation. Bientôt, elle participa aux
              , Aberdeenshire, Écosse. Ishbel Maria Marjoribanks tient une place importante parmi ces « nouvelles femmes » vice-royales – que l’historienne
              . Dernière-née des enfants d’un couple aisé d’immigrants écossais, Agnes Deans Cameron semblait promise au même destin que bien des femmes de sa génération et de son milieu : le mariage et la maternité
              ). Mary Martha Phillips, qu’on appelait May, fit ses études à Montréal, sa ville natale, au séminaire pour jeunes femmes de Mme Lucy Simpson et à l’école des Mlles Symmers et Smith. En 1872 et 1873, elle
              . Eliza Ritchie grandit dans un milieu privilégié et reçut une éducation privée. Elle fréquenta la Dalhousie University en 1882–1883, l’année suivant les premières admissions de femmes au premier cycle
              181 à 200 (de 651)
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