, marchand de tabac de Hamilton, elle s’inscrivit à l’Alumnae Association du collège ; seulement 4 autres femmes mariées figuraient parmi les 35 membres de cette organisation. Bientôt, elle participa aux
les recherches de Mlle Scovil sur la diète appropriée pour les nourrissons. En 1904, le Gentlewoman de Londres ajouta le nom de Mlle Scovil à la liste des « femmes d’expression anglaise
. En 1831, Connolly, alors agent principal, abandonna la traite des fourrures et alla s’établir avec sa femme et ses enfants à Saint-Eustache, Bas-Canada. Quatre ou cinq mois plus tard, Suzanne et ses
.
Tante Hessie, comme l’appelaient les enfants, était l’un des chefs de file du mouvement de réforme morale. De confession congrégationaliste, elle œuvra à l’Union chrétienne de tempérance des femmes (elle
Mary Ann Wright ; il épousa Julia Elizabeth Gould, née Bramley, puis, en 1852, Caroline Cumberland ; décédé le 4 juin 1884 à Toronto, laissant dans le deuil sa femme et leurs deux
Bengough*.
Jean Graham était devenue une jeune femme bien instruite quand elle reçut sa maîtrise de littérature anglaise du Wesleyan Ladies’ College
–1921). En 1914, lui-même et sa femme célébrèrent leurs noces d’or dans son église, située rue Chestnut à Toronto. D’après le Toronto Canadian Observer, ils étaient entourés « de leurs
), institutrice, fermière et femme d’affaires, née le 25 septembre 1803 à Saint-Armand, Bas-Canada, fille d’Asahel Barber et de Polly Armes ; décédée le 23 février 1898 à Scottsmore, Québec
.
Il n’est guère de femme, dans toute l’histoire canadienne, qui ait plus mauvaise réputation que Marie-Josephte Corriveau, appelée communément La Corriveau. Cette malheureuse est morte voilà plus
GABOURY, MARIE-ANNE (Lagimonière), première femme blanche à s’établir dans l’Ouest, grand-mère de Louis
Smith en fut la première vice-présidente et exerça cette fonction jusqu’à sa mort. Dotée d’un esprit pénétrant, cette femme de décision présida des comités, organisa diverses manifestations et, au début
. Qualifiée de « l’une des plus belles femmes de la scène » new-yorkaise, elle ne tarde pas à devenir l’une des favorites du public américain. Ses partenaires comptent parmi les comédiens les plus
Françaises dans cette lutte, Marie-Louise écrit ainsi, en juin 1916 : « Un peuple magnifié par de telles femmes ne sera jamais vaincu. » Le 18 janvier 1919, dans une chronique quotidienne de la
Inch*, le poste de directrice des études – la plus haute fonction administrative accessible à une femme. En 1873, elle démissionna pour des raisons de santé ; sa carrière n’allait reprendre
campagne de l’Union chrétienne de tempérance des femmes du Canada en faveur du suffrage féminin. En 1884, l’Assemblée législative de l’Ontario avait accordé, aux veuves et femmes célibataires qui étaient
McVICAR, VICTORIA, fonctionnaire, enseignante et femme d’affaires, née vers la fin des années 1830 dans la région de Montréal, fille
d’une grâce remarquables ». Huit ans plus tard, l’artiste suisse Rudolf Friedrich Kurz dirait qu’elle était « l’une des plus belles femmes indiennes » et ajoutait : « Elle [aurait
conventionnelle, organisée en fonction de son double rôle d’épouse et de mère, comme la plupart des femmes de sa génération. Fille d’un ministre anglican irlandais, elle était arrivée à Victoria en 1875 et y avait
Groulx* signe la préface. Pendant dix ans, Annette Frémont aura été une voix importante pour les femmes et les enfants francophones de l’Ouest canadien. Elle a compté parmi les trois ou quatre femmes
écrite pour elle sur le thème du droit de vote pour les femmes. Son talent pour la comédie était largement reconnu, et sa beauté continuait d’attirer l’attention. Dans Annals of the New York stage