fermier et travailla comme forgeron. En 1862, John Lockerby abandonna le travail de la terre et déménagea à Charlottetown avec sa femme et sa fille, alors âgée de 31 ans. Elizabeth, qui composait des poèmes
respectèrent pas leurs engagements. Apparemment, en 1905, il tenta de se suicider en prenant du phénol. Il participa à quelques séances du Sénat avant sa mort en 1908. Il laissa dans le deuil sa femme ainsi que
témoins, souvent parmi leur propre famille, femme, frères ou sœurs, qui devaient attester de la nature de leurs pertes, de leur conduite au cours de l’insurrection et de la justesse du montant exigé en
préservation fortuite demeurerait la contribution la plus considérable de ces deux femmes à l’histoire acadienne. En effet, l’aînée des Vénérande avait entretenu une longue correspondance avec son frère Otho
Salem, Massachusetts, deuxième fils d’Epes Sargent et de sa seconde femme, Catherine Winthrop, descendante du gouverneur John Winthrop, de la colonie de la baie de Massachusetts ; en 1784, il épousa
stratégies de survie auxquelles avaient recours les femmes de sa race, de sa classe et de sa situation familiale.
On sait que Mme Maxwell fréquenta l’église
modestie lui avait jamais permis d’espérer. » Elle avait la responsabilité de superviser et d’instruire plus de 100 jeunes femmes « de tous caractères et comportements ». C’est à Wilbraham
la science.
Femme de tact, très appréciée pour l’affabilité de ses manières, sœur Mathilde Toupin-Fafard mérite une place d’honneur dans les annales
femmes de la classe moyenne dans la réforme sociale.
Mlle Rayside obtint son diplôme en 1901 avec les six autres étudiantes de la première cohorte du St
, Québec), troisième enfant de Lawrence Travers, journalier, et de sa seconde femme, Adéline Cyr ; le 17 août 1914, elle épousa dans la paroisse Sacré-Cœur-de-Jésus, à Montréal, Édouard Bolduc, et ils eurent
[Ferguson*] et d’autres femmes journalistes. Bien qu’elle ait participé, pendant le trajet, à la fondation du Canadian Women’s Press Club, elle ne s’associerait pas au mouvement de réforme sociale
chez sa tante. En 1818, elle va s’occuper de son frère François qui vient de perdre sa femme. Lorsqu’elle revient dans son foyer d’adoption l’année suivante, sa tante, trop âgée et infirme, confie
et les Pieds-Noirs. Pendant les 12 années de son supériorat, elle est une entrepreneure, une femme d’affaires, une négociatrice, une gestionnaire, et cela, à une époque où les femmes ne sont toujours
Society, association qui regroupait des femmes de diverses confessions et qui, dans une baraque abandonnée, fournissait depuis 1820 le seul service hospitalier dont bénéficiaient les pauvres de Kingston
de sa jeunesse, étudia en France et en Allemagne. À l’instar de nombreuses femmes du xixe siècle intriguées par la science, elle subit l’influence de son père
la bataille de Queenston Heights et secouru sur le champ de bataille par sa femme. L’été suivant, alors qu’aucun des deux adversaires ne possédait le contrôle de la péninsule du Niagara, Laura, le 21
les forces d’occupation américaines, et sa femme mourut de la fièvre des armées. Sa fille de 16 ans, Elizabeth, prit en charge les autres enfants, tout en assumant la tâche d’infirmière auprès des
Watson*. C’est là qu’il rencontra sa future femme, Marie C. Widenmann, fille du consul d’Allemagne. Diplômé en génie civil en 1872, il retourna exercer la profession d’arpenteur à Preston. Bientôt reçu
vivrait jusqu’à la fin de sa vie. En tant que femme mariée, Edith Sarah, qui se faisait désormais appeler Mme W. E. Groves, fut forcée d’abandonner l’enseignement, conformément à la politique du
retour rue Powell afin de fonder une mission catholique pour les Japonais, avec l’appui de l’archevêque. Secondée par quelques femmes bénévoles, elle donna des cours d’anglais et de catéchisme, et effectua