(Douglas ; Fisher), maîtresse de maison et sage-femme, née vers 1855 dans le sud de l’île de Vancouver ; à partir de 1870 environ, elle vécut en union de fait avec Abel Douglas (Douglass
1884 à 1889, lieutenant-gouverneur de la province. Après sa nomination au Sénat en 1891, sa femme l’accompagnerait régulièrement à Ottawa.
Elizabeth
, marchand natif de Horton, en Nouvelle-Écosse, traversa une période difficile après la mort de sa première femme en 1864. Il s’installa à Shediac, où il se remaria, et devint instituteur puis fermier. Lui et
ton péremptoire adressées par Marion Fairweather au Foreign Missions Committee avant leur départ, les deux femmes, semble-t-il, quittèrent le Canada avec l’entière approbation de cet organisme
se présenta toutefois à elle, en 1871, lorsque George Churchill, qu’elle avait connu à Truro comme étudiant, lui demanda de devenir sa femme et de l’accompagner en Asie pour un travail missionnaire
, Mlle McNaughton devint secrétaire-trésorière du groupe de femmes missionnaires de l’église First (Calvary) Baptist fondé par sa mère. À l’été de 1877, elle obtint son diplôme de la Victoria High School
.
Harriet Ann Boomer croyait beaucoup à l’instruction des femmes et estimait que, partout dans le monde, elles devaient avoir plus de chances de se faire valoir. « [Il faut] cultiver toujours davantage
baptiste pour femmes en Illinois, le Mount Carroll Seminary. Elle entreprit ensuite des études de troisième cycle à la University of Chicago, à laquelle le collège s’était affilié en prenant le nom de
, tailleur prospère, elle reçut une éducation postsecondaire ; rarement offertes aux femmes de cette époque, de telles études étaient toutefois compatibles avec la position sociale et la confession
Gallard. Missionnaire énergique, femme active, sœur Maumousseau remplit, à l’Hôtel-Dieu, les fonctions les plus difficiles. Lorsqu’en 1688 Mgr de Saint-Vallier
bonne femme Parmanda.
Martine Messier vivait encore en novembre 1681
Conception. Elle était la fille d’un grand chef huron, Pierre Ondakion, dont la famille avait été la première de cette nation à embrasser le christianisme, et de sa femme, Jeanne Asenragéhaon. Leur mariage
était une famille remarquablement unie et heureuse.
Annie Emma Thompson était une jeune femme pleine d’entrain, d’humeur changeante, et souvent
maltraiter et, le jour du crime, lui avait encore ordonné de se livrer à la prostitution, ou, comme elle le rapporta, de « se comporter [comme] une mauvaise femme ». Il l’avait menacée de la battre
éléments modelèrent la carrière d’Elizabeth Jennet Wyllie McMaster, comme celle de beaucoup de femmes de sa classe sociale et de son temps. Fille d’un drapier et marchand de nouveautés qui était l’un des
irlandais. En 1798, juste avant la rébellion en Irlande, celui-ci, patriote bruyant donc menacé, alla vivre en Angleterre avec sa femme, qui était anglaise, et leur fille Anna. En 1802, il s’établit à
responsabilité des colons. Celui-ci dut vendre sa maison, où sa femme ne fut autorisée à rester que grâce à la compassion du nouveau propriétaire.
Berczy
l’inlet Hamilton, Labrador, une des trois enfants de l’Anglais Ambrose Brooks et de sa femme inuit, Susan ; vers 1834, elle épousa à Rigolet, Labrador, William Blake, et ils eurent cinq enfants, puis
où il avait joué le rôle de conférencier, Case, alors âgé de 40 ans, prit femme le soir du 4 mai. L’esprit de famille triompha ; Hetty Hubbard était la mariée et Eliza Barres la demoiselle
femme, Elizabeth Dart, s’avérèrent toutefois insuffisants et, en 1846, Ann et Paul Robins furent choisis pour