cantonné les femmes. Il subsiste beaucoup plus d’éléments biographiques sur son mari, l’arpenteur Hugh Paine Savigny (1821–1881), bien qu’elle ait été plus connue que lui. De 1866 à 1880, Savigny figure
à son service à New York et en Amérique du Nord britannique. La jeune femme mourut en 1792, possiblement en couches et vraisemblablement après avoir été violée par George More, membre du Conseil
Woman’s Medical College de Philadelphie. À l’époque, aucune des écoles de médecine du Canada n’acceptait des femmes. Pendant sa première année d’études, les enfants habitèrent dans la famille de son mari à
des Maritimes, elle put en apprendre davantage, notamment du révérend Arthur Richard Ralph Crawley et de sa femme, Laura Johnston, en congé après un séjour en Birmanie. Elle résolut d’offrir à la
, commissaire des petites causes) et honorifiques (vice-consul de Suède et de Norvège).
Aglaée Rouleau, femme bonne et pieuse, née à L’Île-Verte, élève ses 13
rapidement la conviction qu’il avait trouvé la femme idéale en Letitia Mactavish, mais avant qu’il n’ait eu le temps de faire sa demande officielle, ses fonctions l’obligèrent à regagner précipitamment York
années avant sa démission en octobre 1884, elle fut chef de bureau, poste atypique pour une femme.
La démission de Sara Anne reflétait une pratique
à l’université, elle unit ses efforts à ceux de trois autres femmes pour convaincre la direction de l’Acadia College, réservé aux hommes, de les admettre. Lorsqu’elle obtint son diplôme ès arts, en
.
Douée d’un fort sens pratique et religieux, Mary McDougall était persuadée que les femmes pouvaient et devaient apporter leur contribution à la société ; c’est pourquoi elle ne tarda pas à s’engager
les droits des femmes. En 1877, notamment avec Emily Howard Stowe [Jennings*], elle forma le Toronto Women’s Literary Club, qui
avant-gardisme littéraire, ainsi que par son ouverture aux jeunes et aux femmes. Bien que cette première expérience de publication n’ait pas de suites immédiates, Attala entame néanmoins la réalisation
publique. Les femmes chez les Lossing participaient aussi pleinement que les hommes aux assemblées de la Société des amis (les quakers). De plus, elles avaient de l’instruction. Comme la famille avait des
.
Les Sheppard croyaient fermement à l’éducation des femmes : « Mon père […], observa Mlle Sheppard dans une lettre à son futur fiancé, pense que les parents qui laissent leurs filles grandir en
femme en physique à la McGill University. Tout au long de ses études, elle avait enseigné au Royal Victoria College, établissement pour femmes affilié à McGill
femmes. À son retour, elle examina les conditions de vie de certaines de ces nouvelles Canadiennes, installées dans les bidonvilles de North End. Alarmée par le taux de mortalité infantile élevé de la
. En 1874, mère Teresa en fonda une à Lindsay, en Ontario, où de jeunes femmes se prépareraient en vue des examens du département provincial de l’Éducation. En inaugurant cet établissement, les Sisters
.
Maria Susan Rye fut une figure importante du mouvement d’émancipation de la femme en Angleterre au milieu du xixe siècle. De 1855
afin de savoir comment elle pourrait devenir missionnaire. Le comité l’encouragea à étudier la médecine parce que, surtout en Inde, où l’on observait le purdah (tradition obligeant les femmes à
de Toronto, Sarah Anne Curzon y rédigea une chronique sur les questions féminines. Elle utilisa ce moyen en même temps que diverses tribunes pour défendre vigoureusement les droits des femmes, dont le
, près de Strathroy, dans l’espoir de devenir gentleman-farmer. Mais la jeune femme se lassa bientôt du travail ingrat de la vie de pionnier et, selon la tradition familiale, brava son époux, lui