souligner à cette « jeune femme très belle, éduquée et raffinée [...] la nature repoussante de la maladie et la terrible pression que cela pouvait exercer sur une femme sensible et délicate
et ont souvent pour thème l’éducation des femmes, clé de leur libération selon l’auteure.
Torfhildur Þorsteindóttir Holm ne publia rien
BARTHE, ÉMILIE (baptisée Marie-Louise-Émilie) (Lavergne), femme du monde, née le 26 mars 1849 à
inhabituel d’entrepreneure prospère. Elle n’était pas seulement une brillante femme d’affaires, mais aussi une brillante femme d’affaires noire. Cette situation peu commune à son époque la rend doublement
ish Nellie), mineuse, prospectrice, philanthrope et femme d’affaires, née vers
*, d’instaurer, avec les deux femmes désireuses de faire partie du groupe attendu de France, un embryon de communauté religieuse.
Dans l’intervalle, un premier
d’une œuvre destinée « à aider la femme moralement et socialement malheureuse ». L’initiateur du projet était l’Irlandais George Manly Muir, avocat et greffier de l’Assemblée législative de la
pour rendre les études supérieures accessibles aux femmes à titre de deuxième présidente de la Montreal Ladies’ Educational Association, de 1873 à 1875, où elle prit la relève de sa belle-sœur Anne
laquelle les femmes pouvaient jouer un rôle équivalent à celui des membres du clergé. Cela explique sans doute en partie la prédominance des femmes officiers. Plus frappant encore est le fait que la plupart
[Jury*], et milita pour la création d’une loi sur un salaire minimum pour les femmes. À l’instar d’autres Winnipegois progressistes, dont Mme Armstrong, Frederick John
WCTU auprès des jeunes femmes. Elle se dévoua à leur instruction en enseignant à l’école du dimanche, et en travaillant dans les bureaux de presse et de documentation. En 1886, dans le rapport annuel de
dans l’est de l’Ontario, mais son rêve était de devenir médecin. Comme le Royal College of Physicians and Surgeons of Kingston n’acceptait pas de former des femmes, elle demanda à s’inscrire à l’école de
du Canada à l’époque où les missions étrangères suscitaient le plus de zèle. En 1868, à Belleville, Marjory avait organisé un groupe de femmes pour soutenir ces missions. Puis, lorsque les diverses
l’idéologie de la fédération, elle cherche à encourager le développement intellectuel et moral des employées - pour la plupart des jeunes femmes - et la défense de leurs intérêts professionnels. Ses principales
. Comme sa mère avant elle, elle transmit à ses filles sa passion pour la tempérance et les droits de la femme. Anne Cecilia* et Florence
, les vieux et les jeunes, hommes et femmes, catholiques et non-catholiques étaient hébergés, soignés et on leur faisait même la classe s’ils étaient d’âge scolaire. De plus, on rendait visite à domicile
, de beaucoup son aîné. Comme elle n’était pas encore nubile, le contrat exigeait l’espace de deux années avant la cohabitation des conjoints. D’abord opiniâtre dans ses croyances, la jeune femme étudia
1863, la Halifax Protestant Industrial School, destinée à « remettre les jeunes garçons dans la voie du travail et de la vertu ». Isabella dirigea un groupe de femmes qui se donnaient pour
principal du fort Albany, John Hodgson*, semble s’être montré sympathique à la jeune femme, vu sa situation ; elle ne voulait pas retourner aux
cheval du Nord-Ouest, signala qu’une vingtaine de femmes avaient une chambre au-dessus du Flora Dora et qu’on les reconnaissait généralement comme des prostituées. Les policiers surveillaient de près les