, commandant des forts Niagara, Frontenac et Chambly, major de la ville de Trois-Rivières, baptisé le 26 avril 1655 à Orléans, en France, fils de Jean Blaise Des Bergères, maître des coches, et de Marie Boucher
son temps à l’industrie de la pêche, à la culture, à la colonisation et aux armes. Le 24 octobre 1676, Buade* de Frontenac lui octroyait un
du siège du fort Frontenac, en 1689, le père Millet fut remis aux Onneiouts qui l’emmenèrent à leur bourgade principale. Comme ils en approchaient, Gouentagrandi vint à la rencontre du père, lui délia
, lieutenant puis capitaine des gardes du gouverneur de Frontenac [V. Buade], né à Mirande (Guyenne), en 1644, de Jean de
and Watt au nom des propriétaires du Frontenac, bateau à aubes alors en construction à Bath, dans le Haut-Canada. La compagnie londonienne demandait également d’envoyer un mécanicien
seigneur de Mille-Vaches. Comme son père, il se voua au commerce. En 1697, il eut des difficultés avec Buade* de Frontenac au sujet d’un navire
de ses soldats s’établirent auprès de lui. Le gouverneur de Buade de Frontenac le nomma commandant sur la rive
Duchesneau* et le gouverneur Buade* de Frontenac. Mgr de Laval lui demande de s’abstenir absolument d’aborder cette question. Le 8
Montagne, à Montréal, et de Lorette, près de Québec, dans l’expédition de Buade* de Frontenac contre les Iroquois. En 1714, il fut nommé capitaine
souverain en 1703, il est installé le 16 novembre 1705 seulement. Frontenac [Buade*] avait pour lui « une estime et une amitié
Buade* de Frontenac comme un allié de toujours et l’avertit, en privé, du caractère perfide des Renards et des Mascoutens, dont les porte-parole assistaient également à la réunion. Quelques jours plus
rentra en France, Richard décida de rester au Canada. Peu après, on le nommait sergent dans les troupes canadiennes, et il accompagna le gouverneur de Frontenac [V
mauvais procédés de Frontenac [Buade*] dont l’inimitié ne se démentait pas, était malade depuis plusieurs années et menacé en outre de cécité. Déjà
) pour porter à Buade* de Frontenac un ultimatum lui enjoignant de capituler. Savage fut « amené, les yeux bandés, au milieu d’une assemblée
de Frontenac le commandement du fort de « Gemisick » (Jemseg) et de la zone de la rivière Saint-Jean. On peut douter qu’il se trouvât alors un seul habitant blanc sur la Saint-Jean, et sa
campagne et dans le régiment de Normandie, régiment dans lequel avait aussi servi Louis de Buade*, comte de Frontenac. Il reçut une commission de
dans les documents de la Nouvelle-France à titre de membre du personnel de Buade* de Frontenac. Benjamin Sulte le qualifie de valet, mais à tort
fort Frontenac dépêcha Clérin et Joannès de Chacornacle sur les lieux pour régulariser la situation. À la
et de Frontenac ; il s’intéressa également à la politique locale. Il fut élu premier maire de la ville de Kingston en 1838, mais il se vit disqualifier, du fait qu’il ne résidait pas
Meulles et, après le départ de ce dernier, en 1686, il travailla avec son père au greffe du Conseil souverain. Le 1er mars 1693, il reçut, à la demande de Frontenac