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LECHASSEUR, JEAN, secrétaire de Frontenac
 
Le Febvre* de La Barre, alors que celui-ci s’acheminait vers le fort Frontenac, allant punir les Tsonnontouans. Le père Millet prit part aussi aux négociations de l’anse de La Famine
 
* de Frontenac, il était nommé au Conseil souverain en janvier 1673, à la place de Nicolas de Mouchy*, et le roi le nommait conseiller à vie
 
Talon en 1672. Dans cet intervalle de trois années, c’est M. de Buade de Frontenac qui avait rempli la
 
abandonner la partie. En 1673, Frontenac [V. Buade] établit au lac
 
Frontenac [Buade*], à ce qu’il semble, il fut nommé, par lettres royales du 15 avril 1676, procureur du roi en la Prévôté de Québec, aux
 
, commandant du fort Frontenac en 1696, commandant du fort Chambly en 1711 et 1712, major de Trois-Rivières de 1720 à 1726 ; né en 1666 à Carcassonne, France, fils unique de Pierre-François de
 
 : Duchesneau et Frontenac [V. Buade] s’affrontaient ouvertement. Toutes les puissances, grandes et
 
confondre avec le dénommé Lussigny qui a fait partie de la garde de Buade* de Frontenac vers les années 1670, car Louvigny n’arriva en Nouvelle
 
de Frontenac. Ces fonctions et la jalousie dont les Récollets étaient l’objet de la part des autorités ecclésiastiques ne contribuèrent pas peu à paralyser son travail apostolique. Il s’en plaignit
le Haut-Canada et prenait le commandement du Frontenac. Ce bateau à vapeur n’était pas le premier bâtiment du genre au Canada ; le titre revenait plutôt à l’Accommodation, qui
 
gouverneur Frontenac [Buade*] l’envoya patrouiller les environs du fort Frontenac (Kingston), à la recherche d’Iroquois, dans l’espoir d’obtenir d’eux
 
1696 Sa Majesté lui accorda un brevet d’enseigne « pourvu qu’il ayt 18 ans ». Nicolas n’ayant pas atteint l’âge requis, ce n’est qu’en 1698 que Frontenac
 
 1684 faite au fort Frontenac. Le 7 août 1685, Juchereau engage Laurent Glory pour un voyage au pays des Outaouais ; en 1686, on le retrouve à Michillimakinac d’où il s’apprête à
 
Brisay* de Denonville, le gouverneur de Buade de Frontenac fit son éloge et lui accorda (1691) le grade de
 
 ; circa 1695–1701. Chingouessi vint à Québec en juillet 1698 pour informer le gouverneur de Frontenac
 
Denonville* avaient renoncé à donner de ces représentations dramatiques. Frontenac [V. Buade], au début de son second commandement, imita leur discrétion. Cependant, l’année 1693 avait été
 
Frontenac, soldat, cartographe, architecte du fort Cataracoui (Frontenac), né probablement à Écully, France, vers 1646–1648, fils d’Estienne Randin et d’Hypolite Saurel ; décédé le 12 février 1677 et
 
Buade de Frontenac, le nouveau gouverneur, songeait déjà à priver Villeray de sa charge de receveur de l’impôt. Tout en admettant que celui-ci était intelligent et instruit, il le trouvait
elle, car son nom apparaît dans les archives en relation étroite avec celui du découvreur et elle était la seule célibataire de son rang à habiter le fort Frontenac
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