: Duchesneau et Frontenac [V. Buade] s’affrontaient ouvertement. Toutes les puissances, grandes et
Buade* de Frontenac, avec qui il servit pendant neuf ans, il ne semble pas que Champigny ait été doué d’un grand charme personnel. Sa correspondance officielle, ne donne que très peu de preuves
1696 Sa Majesté lui accorda un brevet d’enseigne « pourvu qu’il ayt 18 ans ». Nicolas n’ayant pas atteint l’âge requis, ce n’est qu’en 1698 que Frontenac
, commandant des forts Niagara, Frontenac et Chambly, major de la ville de Trois-Rivières, baptisé le 26 avril 1655 à Orléans, en France, fils de Jean Blaise Des Bergères, maître des coches, et de Marie Boucher
Buade de Frontenac pendant un certain temps ; a donné son nom à la grande île du lac des Deux-Montagnes, au nord-ouest de l’île de Montréal ; né à Neuchâtel (Suisse) en 1642, fils de
fut nommé sous-enseigne dans les troupes de la marine et l’année suivante le gouverneur Frontenac [Buade*] l’envoya prendre le commandement
compagnie secrète pour l’achat des fourrures, provenant des forts Niagara (près de Youngstown, New York), Frontenac (Kingston, Ontario) et Rouillé (Toronto), qui devaient être mises à l’encan et cédées aux
attaquer systématiquement les alliés les plus éloignés des Français, formant le dessein de tomber sur la colonie du Saint-Laurent lorsqu’ils l’auraient isolée. Sur ces entrefaites, Frontenac
recensement de 1681 indiquent qu’il est le plus important cultivateur du fief de Villemur. La même année, un mémoire de Frontenac [Buade*] signale
réquisitoire contre l’accusé que le gouverneur de Frontenac [Buade*] tenta d’arrêter les débats. Mais La Martinière ne voulut rien rétracter et
Montcalm* au siège du fort George (appelé aussi fort William Henry ; aujourd’hui Lake George, New York).
La chute du fort Frontenac (Kingston
; R233-34-0, Ontario, dist. Frontenac (65), sous-dist. Kingston (A), div. 4 : 7 ; R233-35-2, Ontario, dist. Kingston (116), sous-dist. quartier Rideau (B) : 85 ; R233-36-4, Ontario
Frontenac (Kingston, Ont.) et Niagara fussent largement approvisionnés en marchandises destinées à la traite et que la couronne subventionne leur commerce afin de les rendre aptes à faire concurrence aux
fourrures en Nouvelle-France. Le 3 septembre de la même année, le gouverneur général de Buade de Frontenac, afin
Buade de Frontenac. Si les Français entendaient par là ébranler l’allégeance du gouverneur anglais, ils n’eurent guère de succès, pas même dans les conditions pénibles qui sévissaient à la baie
Febvre* de La Barre qui succédait à Buade* de Frontenac. Le nouveau gouverneur, circonvenu par le groupe de commerçants qui enviait les
BAUDEAU (Boudeau), PIERRE, chirurgien major, né en 1643, arrivé en Nouvelle-France en 1692 (suivant une note de Frontenac
régions des forts Frontenac (Kingston, Ont.) et Niagara (près de Youngstown, N.Y.), et celle de l’Ohio puis rentra à Montréal le 10 novembre. Il avait constaté que les nations indiennes passaient de plus en
franc-maçonnerie, de la St George’s Society, de l’institut des artisans et des sociétés d’agriculture et d’horticulture du comté de Frontenac. Il participa aussi à la fondation de l’église anglicane
, commissaire de la Marine. En 1696, il participa, à titre de major général, à l’expédition dirigée par Frontenac [Buade*] contre les Onnontagués