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Poulin* de Courval Cressé, seigneur de Courval, et elle administrait la seigneurie de Nicolet, dont son mari aurait hérité s’il n’était pas ‘mort prématurément. Le père de Nicolas-Eustache était
CHARTIER DE LOTBINIÈRE, MICHEL, marquis de LOTBINIÈRE, officier dans les troupes de la Marine, ingénieur militaire et seigneur, né à
 
LEFEBVRE, THOMAS, voyageur, « seigneur de Koessanouskek, interprète pour le Roi de la langue abénaquise », né
 
Rigaud, marquis de Vaudreuil, gouverneur de la Nouvelle-France ; mère de 11 enfants dont
 
(appelé aussi Charles-François-Xavier), officier dans les troupes de la Marine, seigneur, né le 4 novembre 1710 à Sainte-Anne-de-la-Pérade (La Pérade
 
Nations une bonne partie des seigneuries de Saint-François et de Pierreville. La vie qu’il mena au milieu d’eux était tout à fait apostolique, selon le témoignage de Bacqueville de La Potherie
 
environ, ce « chemin de vint et quatre pieds de large entre deux fosest de trois pieds de large » partait de la seigneurie de Saint-Étienne pour aboutir à la paroisse de Saint-Henri dans la
 
, document que Malapart publiait l’année suivante à Rouen sous ce titre : La prise d’un seigneur écossais et de ses gens qui pilloient les navires pescheurs de France, par Monsieur
avec les Premières Nations ainsi qu’à accorder des seigneuries pour favoriser la colonisation de la Nouvelle-France. Le printemps suivant, la compagnie dépêchait quatre navires, sous le commandement de
RENAUD D’AVÈNE DES MÉLOIZES, NICOLAS-MARIE, officier dans les troupes de la Marine, seigneur, né à Québec le 21
et réfléchi, le père Saint-Jure lui répondit qu’elle devait aller au Canada, « que c’étoit infailliblement Notre Seigneur qui vouloit cette liaison » avec la riche dame. Mme de Bullion fut
 
, Juchereau Duchesnay héritait de son oncle Joseph Giffard la seigneurie de Beauport, sans toutefois y exercer ses droits avant 1689. Il fit prospérer son domaine, qui est demeuré dans sa famille jusqu’à la fin
 
obtient la moitié de la seigneurie des Mille-Îles, avec son beau-frère, Charles-Gaspard Piot de Langloiserie. Cette seigneurie, concédée à Dugué de Boisbriand, son beau-père, en 1683, avait été réunie au
 
. Geoffroy commença ses études préparatoires à la prêtrise au séminaire des Trente-Trois, puis entra au séminaire de Paris en 1683 pour y faire sa théologie ; il le quitta, deux ans plus tard, après avoir
 
Talon le titre de la seigneurie de La Pocatière, « une lieue et demie le long du fleuve, par autant de profondeur, » qu’elle mit en valeur selon ses moyens, lentement. Le titre de
 
*, Marie-Charlotte Denys de La Ronde, pour exploiter un moulin à scier, construit par Ramezay dans la seigneurie de Chambly. À cause de ses liens de parenté avec les Boucher et les Hertel, Bleury se
 
était construit. Le seigneur de Lussaudière tenta de faire casser cette ordonnance mais il ne put y réussir car, à Versailles, on tenait à garder les Abénaquis dans la zone d’influence française et
 
ROGER, GUILLAUME, premier huissier et greffier au Conseil souverain, juge prévôt de la seigneurie Notre-Dame-des-Anges
, N.-É.) en 1650. D’Aulnay était de famille d’une très ancienne noblesse, originaire du Perche. Il doit son second nom à la seigneurie d’Aulnay, près de Loudun, que lui légua sa mère
 
, procureur fiscal de la seigneurie de Montréal. Il devait remplir cet office pendant dix ans avec le sieur Jean Gervaise comme substitut. Le 26 novembre
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