s’établit dans la seigneurie de Chambly. Il obtint le 12 décembre une commission de notaire royal pour exercer dans cette seigneurie ; peu de temps auparavant, il avait épousé Marguerite Lareau
JUCHEREAU DE MAUR, JEAN, seigneur, membre du Conseil de la traite et marguillier
mois de novembre 1719, le père Maurice desservait les paroisses de Saint-Roch-des-Aulnets dans la seigneurie des Aulnets, de Notre-Dame-de-Liesse (Rivière-Ouelle) dans la seigneurie de la Bouteillerie
d’Alexandre de Chaumont, seigneur d’Athieules, branche de la famille de Quitry, et d’Isabelle Du Bois Des Cours, fille d’Adrien, seigneur de Fafières ; mort le 28 janvier 1710
.
Peu après son arrivée, Faribault compta parmi sa clientèle Pierre-Noël Courthiau, seigneur de Berthier, ainsi que plusieurs de ses censitaires qui vinrent le consulter pour la vente de terres ou la
la Nouvelle-France. La Martinière devint ainsi propriétaire de l’immense seigneurie de Lauson et c’est en grande partie grâce à ses efforts que, au cours des 20 années qui suivirent, le domaine
exercer dans les seigneuries de Grande-Anse, de Rivière-Ouelle, de Kamouraska, de Rivière-du-Loup et de Port-Joli. Cet immense territoire, situé sur la rive sud du Saint-Laurent, était dépourvu de notaire
était revenu au Canada et avait apparemment décidé de se tailler une carrière dans l’Ouest. En 1694 et 1695 il vendit les propriétés qu’il possédait dans la colonie, soit la moitié de la seigneurie de
, Augustin Le Gardeur de Courtemanche et quelques autres, obtiennent des concessions de terres. Le 19 janvier 1689, on lui concède la seigneurie de Belle-Isle. En 1696, il loue
LEGARDEUR DE CROISILLE, CHARLES, seigneur, officier dans les troupes de la Marine
, d’obtenir de Seignelay, fils du ministre de la Marine, la concession d’une seigneurie dans les terres qu’il pourrait éventuellement revendiquer à l’ouest du lac Supérieur. En 1683, les deux frères, porteurs
en Nouvelle-France dès 1652. Personnage en vue dans la colonie, anobli par Louis XIV en 1669, il achète l’arrière-fief de La Clouterie, puis la seigneurie de Neuville. En 1685, l’intendant de Meulles
doute pas étrangère à la décision prise par Lavaltrie de s’établir au Canada plutôt que de retourner en France poursuivre une carrière militaire déjà bien amorcée. Héritier de la seigneurie de Lavaltrie
d’épouser le chevalier de Gruel, seigneur de La Peltrie. De cette alliance, qui ne dura que cinq ans, naquit une fille décédée au berceau. Veuve à 22 ans, Mme de La Peltrie se porta d’une façon particulière à
1666 ; Lintot, du nom d’une commune du pays de Caux, et non Linctot), interprète, seigneur, membre de la Communauté des Habitants, né en 1607 ou 1608, fils de Pierre Godefroy, écuyer, et de
PINAUD (Pinolt, Pineau, Pinault), NICOLAS, marchand, entrepreneur en pêcherie, seigneur, marguillier, un des directeurs de la Compagnie
remettait en fonctions.
Par sa femme, Rageot devint propriétaire de l’arrière-fief Saint-Luc, dans la seigneurie de la Rivière-du-Sud
Aubert de La Chesnaye ; c’est par son entremise qu’il acheta, le 26 octobre 1681, la seigneurie de Terrebonne dont le propriétaire, André Daulier, sieur Des Landes
incontestable à leurs terres. Certains avaient de simples billets, d’autres devaient se contenter de la parole du seigneur ; de telle sorte qu’il n’y avait à peu près pas de concession que l’on ne pût
un prêtre énergique et il s’employa à promouvoir les intérêts des jésuites, seigneurs de Prairie-de-la-Madeleine.
En 1704 et 1705