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Dufresne, veuve de François Demers Monfort, chez les huguenots de la Nouvelle-Angleterre. Les potins colportés par Mme Bégon
 
l’intendant Bégon*, ce qui est probable. Il exerça jusqu’en 1720, disputant au notaire seigneurial une clientèle déjà mince, si bien que
 
chemins et des ponts sous peine d’amende. Comme il y a beaucoup d’attentisme et d’opposition, Michel Bégon* émet une nouvelle
 
Bégon émet alors une ordonnance, le 1er août 1725, obligeant les paroissiens à recouvrir de planches solides les murs et le toit du presbytère
 
s’embarqua avec l’intendant Bégon* à bord de l’Éléphant. Avant de partir, il vendit sa maison à Jean-Joseph Feré Duburon
 
, Bégon* rappela à l’ordre ces paroissiens récalcitrants. Peu après, Horné perdait un enfant, qu’il fit ensevelir à Sainte-Croix. Sur la plainte que porta aussitôt le curé de Saint-Antoine, l’intendant
 
, Anne Morin, veuve de René Deneau. Le 15 mai 1717, une ordonnance de l’intendant Bégon* lui permit « au nom et
de Vaudreuil et l’intendant Bégon*. À la suite de l’incendie qui, en 1721, avait ravagé la plus vieille partie de Montréal
 
de Quindre alla se fixer à Detroit, où le poste avait été renforcé et où on encourageait les gens à s’établir. Selon madame Bégon
 
Rigaud* de Vaudreuil et de l’intendant Michel Bégon, « l’intention de Sa Majesté estant que
 
situer parmi les artisans les plus respectables du xviiie siècle. Cette opinion est d’autre part confirmée dans une lettre de madame Bégon
 
. Médard-Gabriel Vallette de Chévigny semble être arrivé en Nouvelle-France avec l’intendant Michel Bégon
 
Bégon*, juge seigneurial et notaire royal, né au Havre-de-Grâce, diocèse de Rouen, vers 1670, fils de Charles Barbel et de Catherine Provost, décédé à Québec le 29 juillet 1740 et inhumé le lendemain
 
. Il a une domestique et possède des esclaves ; il en aura dix alors que ses confrères les plus à l’aise se contentent de deux et même d’un seul. Il fréquente les notables. Mme Bégon
 
les ordres de l’intendant Michel Bégon. Le 11 août 1715, celui-ci le nommait garde-magasin du roi, poste qu’il occupa pendant 25 ans. Il réussit à garder la confiance de quatre intendants
 
Varin de La Marre, se joignit à Despins et Martel. Cette « société de grand commerce », comme le rapportait Mme Bégon
 
Bégon* établit ce que l’on peut appeler la Quarantaine et le premier homme de l’art chargé de surveiller et d’inspecter les navires avait été Michel Bertier. Dix ans plus tard, au cours d’une
 
Bégon, une commission d’arpenteur et de mesureur ; Beaupré était alors âgé de 34 ans. Bien qu’à partir du 4 juin 1731 et jusqu’à la fin de sa vie il s’intitulât dans ses actes
 
seigneuries de Grande-Anse, de Rivière-Ouelle et de Kamouraska. L’intendant Bégon l’autorisa à rédiger
 
église. En 1715, il s’adressa à l’intendant Bégon*, soulignant qu’il y allait du bien même de l’État de pourvoir d’une belle église
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